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viens goûté au plaisir et l'art de la baise
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Publié :13/2/2011 2h57
Dernière mise à jour :7/9/2015 18h45 5388 vues
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eben c'est tu veu bien gouté a une vrais séance de baise et de sentation forte et chaude contacté moi mon pseudo et le moyen de contacté directe n'attendais pas je suis pret a me déplacé c'est tu as les moyens de m'acceuillir au plaisire de vous entendre.
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la main du plaisir
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Publié :13/2/2011 2h13
Dernière mise à jour :19/4/2024 2h14 5373 vues
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Que vois-je mon amour, vous avez froid, Venez, venez, rapprochez-vous de moi.
Réchauffons-nous, ma tendre maîtresse, De cette couverture, ô combien si épaisse. De ma main, votre visage que je touche, Approchez-vous, tendez-moi votre bouche.
Enlacez mon cou de vos bras, puis écoutez, Que je puisse à votre oreille des mots y murmurer. Ecoutez bien ce que je vais vous dire, Vous allez en mourir, en gémir de plaisir.
Nous allons point dormir tous les deux, Mais nous livrer aux plaisirs Amoureux. Je vous dirai que cette main je vais mettre, Sur votre sein: voulez-vous me le permettre ?
Mais que cette main ne pourra en rester là, Qu'elle voudra sûrement descendre bien plus bas. Ho, rassurez-vous, je n'oublierai pas votre nombril, Cet endroit si beau, si pur, ô combien si fragile.
Viendra enfin ce moment tant désiré, tant aimé, Où je pourrai lentement commencer à bouger, Longtemps, longtemps comme vous aimez, Après vous avoir amoureusement pénétré.
Ne fuyez pas sans parler, je vous en conjure, Ces mots ne sont que quelques vaines écritures. Ne rougissez pas, parce que je vois bien, Qu'à votre regard vous le voulez bien.
Je vous connais en voyant votre mine, Laissez moi faire où alors je déprime. Recommençons afin que nos beaux ans, Soient réchauffés de combats si plaisants.
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la main de dieu
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Publié :13/2/2011 2h10
Dernière mise à jour :19/4/2024 2h14 5302 vues
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Que vois-je mon amour, vous avez froid, Venez, venez, rapprochez-vous de moi.
Réchauffons-nous, ma tendre maîtresse, De cette couverture, ô combien si épaisse. De ma main, votre visage que je touche, Approchez-vous, tendez-moi votre bouche.
Enlacez mon cou de vos bras, puis écoutez, Que je puisse à votre oreille des mots y murmurer. Ecoutez bien ce que je vais vous dire, Vous allez en mourir, en gémir de plaisir.
Nous allons point dormir tous les deux, Mais nous livrer aux plaisirs Amoureux. Je vous dirai que cette main je vais mettre, Sur votre sein: voulez-vous me le permettre ?
Mais que cette main ne pourra en rester là, Qu'elle voudra sûrement descendre bien plus bas. Ho, rassurez-vous, je n'oublierai pas votre nombril, Cet endroit si beau, si pur, ô combien si fragile.
Viendra enfin ce moment tant désiré, tant aimé, Où je pourrai lentement commencer à bouger, Longtemps, longtemps comme vous aimez, Après vous avoir amoureusement pénétré.
Ne fuyez pas sans parler, je vous en conjure, Ces mots ne sont que quelques vaines écritures. Ne rougissez pas, parce que je vois bien, Qu'à votre regard vous le voulez bien.
Je vous connais en voyant votre mine, Laissez moi faire où alors je déprime. Recommençons afin que nos beaux ans, Soient réchauffés de combats si plaisants.
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le plaisir d'une main glissante
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Publié :13/2/2011 2h09
Dernière mise à jour :19/4/2024 2h14 5486 vues
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Que vois-je mon amour, vous avez froid, Venez, venez, rapprochez-vous de moi.
Réchauffons-nous, ma tendre maîtresse, De cette couverture, ô combien si épaisse. De ma main, votre visage que je touche, Approchez-vous, tendez-moi votre bouche.
Enlacez mon cou de vos bras, puis écoutez, Que je puisse à votre oreille des mots y murmurer. Ecoutez bien ce que je vais vous dire, Vous allez en mourir, en gémir de plaisir.
Nous allons point dormir tous les deux, Mais nous livrer aux plaisirs Amoureux. Je vous dirai que cette main je vais mettre, Sur votre sein: voulez-vous me le permettre ?
Mais que cette main ne pourra en rester là, Qu'elle voudra sûrement descendre bien plus bas. Ho, rassurez-vous, je n'oublierai pas votre nombril, Cet endroit si beau, si pur, ô combien si fragile.
Viendra enfin ce moment tant désiré, tant aimé, Où je pourrai lentement commencer à bouger, Longtemps, longtemps comme vous aimez, Après vous avoir amoureusement pénétré.
Ne fuyez pas sans parler, je vous en conjure, Ces mots ne sont que quelques vaines écritures. Ne rougissez pas, parce que je vois bien, Qu'à votre regard vous le voulez bien.
Je vous connais en voyant votre mine, Laissez moi faire où alors je déprime. Recommençons afin que nos beaux ans, Soient réchauffés de combats si plaisants.
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la main du plaisir
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Publié :13/2/2011 2h07
Dernière mise à jour :19/4/2024 2h14 5263 vues
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Que vois-je mon amour, vous avez froid, Venez, venez, rapprochez-vous de moi.
Réchauffons-nous, ma tendre maîtresse, De cette couverture, ô combien si épaisse. De ma main, votre visage que je touche, Approchez-vous, tendez-moi votre bouche.
Enlacez mon cou de vos bras, puis écoutez, Que je puisse à votre oreille des mots y murmurer. Ecoutez bien ce que je vais vous dire, Vous allez en mourir, en gémir de plaisir.
Nous allons point dormir tous les deux, Mais nous livrer aux plaisirs Amoureux. Je vous dirai que cette main je vais mettre, Sur votre sein: voulez-vous me le permettre ?
Mais que cette main ne pourra en rester là, Qu'elle voudra sûrement descendre bien plus bas. Ho, rassurez-vous, je n'oublierai pas votre nombril, Cet endroit si beau, si pur, ô combien si fragile.
Viendra enfin ce moment tant désiré, tant aimé, Où je pourrai lentement commencer à bouger, Longtemps, longtemps comme vous aimez, Après vous avoir amoureusement pénétré.
Ne fuyez pas sans parler, je vous en conjure, Ces mots ne sont que quelques vaines écritures. Ne rougissez pas, parce que je vois bien, Qu'à votre regard vous le voulez bien.
Je vous connais en voyant votre mine, Laissez moi faire où alors je déprime. Recommençons afin que nos beaux ans, Soient réchauffés de combats si plaisants.
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la main du plaisir
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Publié :13/2/2011 2h02
Dernière mise à jour :19/2/2011 10h50 5319 vues
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Que vois-je mon amour, vous avez froid, Venez, venez, rapprochez-vous de moi.
Réchauffons-nous, ma tendre maîtresse, De cette couverture, ô combien si épaisse. De ma main, votre visage que je touche, Approchez-vous, tendez-moi votre bouche.
Enlacez mon cou de vos bras, puis écoutez, Que je puisse à votre oreille des mots y murmurer. Ecoutez bien ce que je vais vous dire, Vous allez en mourir, en gémir de plaisir.
Nous allons point dormir tous les deux, Mais nous livrer aux plaisirs Amoureux. Je vous dirai que cette main je vais mettre, Sur votre sein: voulez-vous me le permettre ?
Mais que cette main ne pourra en rester là, Qu'elle voudra sûrement descendre bien plus bas. Ho, rassurez-vous, je n'oublierai pas votre nombril, Cet endroit si beau, si pur, ô combien si fragile.
Viendra enfin ce moment tant désiré, tant aimé, Où je pourrai lentement commencer à bouger, Longtemps, longtemps comme vous aimez, Après vous avoir amoureusement pénétré.
Ne fuyez pas sans parler, je vous en conjure, Ces mots ne sont que quelques vaines écritures. Ne rougissez pas, parce que je vois bien, Qu'à votre regard vous le voulez bien.
Je vous connais en voyant votre mine, Laissez moi faire où alors je déprime. Recommençons afin que nos beaux ans, Soient réchauffés de combats si plaisants.
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ma main ce glisse
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Publié :11/2/2011 6h01
Dernière mise à jour :13/2/2011 2h00 5284 vues
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Que vois-je mon amour, vous avez froid, Venez, venez, rapprochez-vous de moi.
Réchauffons-nous, ma tendre maîtresse, De cette couverture, ô combien si épaisse. De ma main, votre visage que je touche, Approchez-vous, tendez-moi votre bouche.
Enlacez mon cou de vos bras, puis écoutez, Que je puisse à votre oreille des mots y murmurer. Ecoutez bien ce que je vais vous dire, Vous allez en mourir, en gémir de plaisir.
Nous allons point dormir tous les deux, Mais nous livrer aux plaisirs Amoureux. Je vous dirai que cette main je vais mettre, Sur votre sein: voulez-vous me le permettre ?
Mais que cette main ne pourra en rester là, Qu'elle voudra sûrement descendre bien plus bas. Ho, rassurez-vous, je n'oublierai pas votre nombril, Cet endroit si beau, si pur, ô combien si fragile.
Viendra enfin ce moment tant désiré, tant aimé, Où je pourrai lentement commencer à bouger, Longtemps, longtemps comme vous aimez, Après vous avoir amoureusement pénétré.
Ne fuyez pas sans parler, je vous en conjure, Ces mots ne sont que quelques vaines écritures. Ne rougissez pas, parce que je vois bien, Qu'à votre regard vous le voulez bien.
Je vous connais en voyant votre mine, Laissez moi faire où alors je déprime. Recommençons afin que nos beaux ans, Soient réchauffés de combats si plaisants.
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pour un plaisir charnel et sensualité
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Publié :1/2/2011 1h37
Dernière mise à jour :5/2/2011 9h23 5366 vues
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très discret sensible coquin cherche une complice pour partage de bons moment et du plaisir charnel dans la sensualité et liaison torride on sexe et amour au plaisir de vous entendre appelées moi je vous attend
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intimité et discrétion
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Publié :25/1/2011 12h23
Dernière mise à jour :19/4/2024 2h14 5022 vues
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ou est l’être des êtres instruit moi le pouvoir de ton âme dans mon oeuvre tu trouvera une page blanche de vie futur plein de sensation d’excitation d'orgasme et d'amour sensuel dans l'intimité et une discrétion total j'attend vos contacte juste SMS et je rependrais... au plaisir de vous rencontrez.
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