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Déblogage
 
Ma vie sexuelle en poussières.

Récits inspirés de faits réels.
Toute ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé n'est donc évidemment pas fortuite, cependant par respect pour leur vie privée, les noms des susdites personnes ont été changés.
Ces personnes sont présumées seules, hormis moi-même, en connaissance des faits.

La chronologie des événements n'est pas préservée mais une datation relative à la date de mon premier rapport hétérosexuel mutuellement consenti permet de situer dans le temps chaque anecdote relatée ici.

Vous l'aurez compris je suis assez — très — ouvert à toutes sortes d'expérience, la nature et la vie m'ont ainsi fait.

N'hésitez pas à me demander s'il m'est aussi arrivée l'une ou l'autre des expériences qui peuvent vous venir à l'esprit, j'essaierai de beurrer d'autres tartines de textes à leur sujet et sinon j'en ferai un fantasme bien détaillé.

Toute autre question est la bienvenue !
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Messagerie privée
Publié :24/2/2017 15h44
Dernière mise à jour :6/5/2017 16h29
6788 vues

Salut toi, vous.

J'ouvre ce post au cas où un AFFien ou une AFFienne sans le sou souhaiterait me contacter sans pour autant avoir à prendre un de ces foutus abonnements.

Je supprime les messages mis en commentaires après les avoir lus, donc n'hésitez à pas dire ce que vous voulez sans prendre de gants.
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Anecdote sexy 13 : Le goût du stupre
Publié :3/5/2017 18h01
Dernière mise à jour :6/5/2017 16h28
6822 vues
Dépucelage - 1 ans et 3 mois.

L'adolescence est cette période de notre vie que l'on ressent tous de manière assez similaire mais pendant laquelle un embryon de schéma social et les interactions hasardeuses de nos personnalités inachevées nous conduisent irrémédiablement dans l'une ou l'autre des castes que l'on peut, en généralisant, compter au nombre de trois.
Il y a ceux qui la vivent pleinement, entourés de considération et de bienveillance qui les élèvent au rang d'idoles dont il est indigne de dire du mal, même à raison, car on dit qu'ils font plus ou mieux que les autres ; il y a ensuite les plus nombreux, ceux qui, par manque de courage ou de personnalité, s'effacent devant la gloire ou les querelles, ne prennent part qu'à l'adoration des sus-cités, ou au mépris des sous-cités, et dont le nom ou le visage voire l'existence toute entière finit par être jeté dans les oubliettes des souvenirs lointains ; et il y a finalement les autres, les intouchables, affligés par l'indifférence si ce n'est la cruauté, avec qui il ne faut pas être vu, encore moins parler.
Mon adolescence, vous vous en doutez, n'a pas été une réussite de popularité.

Je ne vais pas pleurer sur mon sort, j'avais des amis, peu, mais des amis tout de même, mais comme bon nombre d'entre les mal-aimés , la mixité n'était pas franchement de la partie.
Les "impopulaires" subissent une difficulté que ne connaissent pas les autres : la séparation sociale des sexes ou, plus précisément — car on a tous eu au moins un membre du sexe opposé parmi nos amis mais qu'on n'a jamais considéré autrement qu'en ami malgré deux ou trois rêves érotiques inavoués — la séparation sociale entre les individus qui peuvent être l'objet de sentiments ou de désirs et ceux qui ne le sont généralement pas. On retrouve naturellement les premiers dans les populaires, les seconds dans les impopulaires.
Je peux ainsi attester que les impopulaires stagnent des années durant dans un désert érotico-sentimental parfois malsain, tandis que les populaires s'attirent, se déchirent, vivent des histoires, des expériences et renforcent leur sociabilité et leur pouvoir de séduction.

J'en dis à la fois beaucoup et peu, il y a tellement plus à dire sur le sujet mais je m'arrêterai là puisque je pense que cela suffira à me faire comprendre par la suite.

Hyperactif, j'étais assez incompris mais tout de même entouré d'amis, mâles, aussi puceaux que moi, et malgré leur présence la plupart du temps je me sentais bien seul lorsque, tout abîmé par et dans mes expériences précoces, harcelé d'envies inassouvies, je reluquais vicieusement la moindre "silhouette" — le mot est faible — féminine. Mon cœur s'emballait d'un rien, je pouvais très bien le sentir dans la pulsation explosive de mon vît, jours et nuits gorgé de sang. J'étais à un tel point coincé dans ma bulle de fantasmes permanents qu'il ne me venait pas à l'idée une seule seconde que le fantasme de faire l'objet de passions pouvait se réaliser.

Laissez-moi vous rappeler que je n'avais eu jusqu'alors, que quelques expériences, essentiellement digitales — sauf cette fois-là dont il ne faut pas se vanter — ou non vaginales, avec la gente féminine. Autrement dit ma vie sentimentale se résumait à quelques doigts par-ci par-là et certaines pratiques inconcevables pour la plupart à cet âge.
Aussi me trouvai-je désorienté ce jour où l'une des Secondes qui traînaient au foyer vint m'entretenir secrètement,— je ne ferai pas l'effort de lui trouver un nom d'emprunt puisqu'elle ne joua par la suite plus aucun rôle dans ma vie.

"Dis... y a... Sissy qui...
- Qui ça ?
- Ah ouais ça part mal. Bon tu vois pas qui c'est Sissy ?
- Heu non, elle ressemble à quoi ?
- Petite, super mince, des taches de rousseur sur les joues. Elle est tout le temps avec nous au foyer.
- Heu...
- Bon c'est pas grave"


Et elle me tint à peu près ce langage :
"Elle nous saoule avec toi depuis des mois mais elle ose pas te parler, tu la connais même pas du coup elle sait pas comment t'aborder et tout."

À ces mots le puceau ne se sent pas de joie :
"Tu te fous de ma gueule ? Moi je l'intéresse ?
- Elle est pas intéressée par toi, elle est obsédée. Mais t'as bien raison je vois pas pourquoi... Mais je te jure que c'est vrai alors t'as intérêt à pas faire le con avec elle et la prendre au sérieux. Si tu ressens rien pour elle, c'est pas la peine de sortir avec pour autre chose parce qu'elle a jamais eu de copain avant donc faut pas que tu te fasses d'idées. Je vais la faire venir ici, tu bouges pas... et elle est super timide, mais genre trop timide, donc fais gaffe."


Ainsi entra-t-elle dans ma vie, Sissy.
J'avais déjà les oreilles brûlantes, la gorge sèche, les mains moites et la même sensation dans mon ventre que si mes tripes avaient soudainement décidé de faire un nœud gordien parce que ça rendait beaucoup mieux avec mon intérieur, ça ne s'arrangea pas quand, enfin, j'aperçus s'approcher un tout petit bout de jeune aux joues écarlates, toute tremblante. Si tôt arrivée face à moi qu'elle fut abandonnée par l'amie qui me l'avait introduite — nulle part hein, gros dégueulasses !
Une beauté atypique, quelque-chose d'anormal dans son visage m'interdit de la soulager de mon regard insistant avant que je ne comprenne qu'elle était à la fois unique et sublime, unique car sublime, sublime car unique.

Misère ! Nous fûmes aussi ridicules à nous parler l'un à l'autre avec une gêne solennelle improvisée, sans oser nous regarder dans les yeux, que chaotiques et maladroits dans la façon que nous eûmes de chercher à tout prix à briser ce silence aussi lourd et insistant qu'un vieil oncle aviné.
Passés les banalités d'usage que l'on s'échange lorsqu'on n'a aucune aisance sociale, le reste fut d'une trivialité pitoyable.
Essentiellement, j'étais terrifié par l'idée de laisser paraître ou deviner ma concupiscence handicapante. Je crois me souvenir que je m'efforçai de m'adresser à elle avec la plus grande douceur qu'il m'ait jamais fallu pour m'exprimer, pour lui dire à quel point j'étais flatté et souhaitais faire vraiment sa connaissance avant de considérer que l'on sorte ensemble.

C'est ça ouais ! Hypocrite de puceau, va !
Le lendemain soir je l'embrassai du bout des lèvres avant qu'elle ne montât dans le bus. Ce fut mignon mais un petit peu con, parce qu'on n'a dû se voir que deux ou trois fois dans la journée, de là à dire que nous avions fait connaissance...
Je vous passe nos premières balades à nous tenir la main, nos soupes de langues divinement interminables. Nous nous installions habituellement sur un banc d'un des boxes du foyer, je me persuadais que nous étions cachés de tous alors même que les boxes étaient ouverts sur l'espace commun.

Ivre de tout, je me délectais de massages des épaules, de la nuque, du dos, des reins, de mes premières caresses sur les bras, les cuisses, le cou, le ventre, les seins, les tétons, l'aine, les lèvres, le clitoris.
Ah mais il y avait un truc qui clochait : caresses sur les seins, les lèvres, le clitoris ! Ça c'était des caresses sur son corps à elle.
Car j'avais beau la mettre dans des états d'excitation sismiques —— volcaniques ! —— elle se cantonnait à me faire quelques baisers dans le cou, à me passer sa main dans les cheveux, dans le dos ou sur le torse. Même au bout d'un mois, rien n'y fit.

Puis il me revint en mémoire ma souffrance et mon mal-être de toutes ces années à vivre une sexualité forcée avec Peter. Je reproduisais avec Sissy exactement le même comportement que Peter avait eu avec moi.
Je me dégoûtais.
Dès lors je m'interdis le moindre contact charnel avec Sissy.
Si amoureuse et patiente qu'elle était, elle ne me dit rien, elle se contenta d'en souffrir.
Je me dégoûtais.
Et bêtement, du haut de mon égocentrisme pervers, parce qu'il était hors de question que je me confie à elle sur mes déboires pédérastiques, je me convainquis que je ne l'aimais pas vraiment et la quittai.
Je me dégoûtai.

Ce n'est qu'un an plus tard, au lendemain de la fête d'anniversaire d'un ami commun, Baptiste, chez lui, fête pendant laquelle j'eus voulu me donner le courage de lui parler à nouveau en avalant tout l'alcool que je pus avant que mon organisme exprime un droit de veto catégorique, au lendemain de cette fête, donc, encore plein de la veille et dégageant les effluves bileuses qui s'en furent suivies, je me réveillai en caleçon, étalé sur le carrelage de la salle de bains. Ablutions matinales de circonstances, je sortis de ma chambre froide pour m'étonner d'une demeure bien calme. Je passai une tête par la porte vitrée du salon et découvris Sissy et Sandy, pas encore remises de la soirée, dans le clic-clac déplié.
Décidé, insouciant, saoul, je m'approchai et me glissai entre elles sous la couette en essayant autant que faire se pouvait de ne pas réveiller Sandy.

Nous nous retrouvions Sissy et moi l'un en face de l'autre pour la première fois depuis que je l'avais quittée. Et, lentement car je choisis mes mots...et parce que mon taux d’alcoolémie ne me permit pas d'aller plus vite, je lui déclarai enfin ma flamme et le chagrin qui n'avait pas été que le sien après notre rupture. Je lui exposai mon angoisse profonde à l'idée de lui faire des choses contre son gré, ou même ne serait-ce que de la pousser dans la luxure, la souiller.

"Je suis une grande , si je me laisse faire c'est qu'il y a une raison." me susurra-t-elle à l'oreille en posant sa main sur mon ventre et en descendant ses lèvres sur mon cou.

Elle saisit ma nuque avec son autre main et entreprit de me laisser de sa bouche un hématome à l'endroit le plus visible de mon cou. Tout était tellement beau. On pouvait deviner à travers les rideaux de la fenêtre un ciel d'un bleu aveuglant, les rayons matinaux du soleil réchauffaient déjà le salon au milieu duquel nous étions allongés, et se perdaient en mille scintillements sur les carreaux du sol, à moins qu'il ne se fût agit de nos souillures éthyliques cristallisées.
Tout était tellement beau mais rien à cet instant, quand elle eut finit de me vampiriser, n'aurait su me détourner de ses grands yeux bleus clairs. Des yeux à en mourir, deux amandes malignes, deux invitations à un plein abandon. Deux autels sur lesquels je sacrifiai toutes autres passions (ouais, c'est ça, grande gueule, va).
Lut-elle en moi quand elle plongea en retour ses yeux dans les miens et referma le maillon fragile qui liait nos cœurs par un baiser du bout des lèvres au moment ou je m'avançai. Un baiser apaisant, doux, attentionné, long et lent, de plusieurs secondes, ou plusieurs minutes, je ne sais plus, cela fait tellement d'années maintenant.

Sa main encore sur mon torse vint à effleurer mes flancs, remonter le long de mon échine et, saisissant mon épaule, elle lécha l'une puis l'autre de mes lèvres, tenta le bout de ma langue, pressa sa bouche entière contre la mienne. Sa langue s'enroula autour de la mienne tandis que sa jambe, nue, s'enroula, elle, par dessus-moi.

De tendresse plus aucune son baiser n'avait de trace.

Elle pressa sa poitrine, dont il était de notoriété masculine qu'elle était absolument parfaite, contre moi. La bête sauvage en moi, libérée par l'alcool, ne prévint pas.

Les doigts de ma main droite, initialement posée sur sa taille, se retrouvèrent soudainement à remonter l'arrière de sa cuisse puis à caresser les deux irrésistibles bourrelets que l'entrejambe de sa culotte trempée moulait délicieusement.

Au souvenir de l'année qui venait de s'écouler et à la voir se donner à moi si vivement, je supposai en mon for intérieur, tout redécoré façon love-hotel, qu'elle avait dû jouer d'un onanisme aussi frénétique que mes apartés journaliers à moi.
J'écartai le tissu de sa culotte pour glisser l'extrémité de mes doigts dans la pulpe humide et brûlante de sa chatte et j'avançai plus encore mon bras derrière elle pour pouvoir atteindre et caresser son clitoris. Je ne le caressai pas bien longtemps avant de me prendre à le secouer d'avant en arrière comme un joystick — littéralement : bâton de joie.
Elle haletait (sa poitrine se soulevait et s'affaissait rapidement). Elle se prit d'une manie qui devait me tenir en adoration pendant les cinq prochaines années : excitée et haletante, elle aura constamment humectée la sécheresse de ses lèvres avec le bout de sa langue et plus le plaisir monterait plus avant sa langue se sera aventurée sur ses lèvres, parfois jusqu'à la tirer complètement salivante lorsqu'elle venait, empourprée et incontrôlable.
Elle fermait d'embarras ses yeux dès qu'elle les posait sur les miens et pourtant les rouvrait à chaque fois d'envie et de désir. Mais luttant contre le feu d'artifice que je pouvais ainsi deviner en elle, elle ne faisait pas le moindre bruit. Les griffes d'une souris sur le carrelage eussent été plus repérables.

Fut-ce la force de mon bras qui, passé dans son dos, l'amena trop près de moi ou bien sa jambe, lové autour de ma taille, qui me tira vers elle ? Je n'avais jusqu'alors agi que d'après son consentement mais son bas-ventre pour ne pas dire son sexe venait tout juste de rencontrer le mien qui, insufflé d'une force vitale inébranlable, alors indûment courbé et résolument vertical, sortait indubitablement de mon caleçon et finit par se mouvoir de sa volonté propre.

Toute autre que celle de la pulpe empruntée de mes doigts, j'imagine... j'espère ! que la sensation qu'elle eut à cet instant fût la même que la mienne de la douceur de mon gland découvert glissant avec volupté entre les abords visqueux de sa chair intime.
Je n'avais pas osé porter l'estocade et pourtant je la sentais se contracter juste au-dessus de moi. Les yeux fermés, elle ouvrit une grande bouche de plaisir comme s'il la submergeait, noyait son esprit. Elle se cambra et se voûta plusieurs fois violemment, elle ne contrôlait plus grand chose lorsque son bassin descendit de lui-même sur mon sexe affamé.
Je vous l'ai dit et répété, j'étais vierge, cela faisait déjà plusieurs minutes que la de tous mes fantasmes agitait sa vulve autour de mon gland de puceau et ses muqueuses délicieuses venaient de l'embrasser un peu plus en se resserrant. Mon bassin, convulsé, se mut sans que je lui en eus donné l'ordre et mon dard piqua.

Elle se raidit et s'immobilisa, je mis quelques toutes petites secondes à m'en apercevoir.
Elle rouvrit les yeux. Des yeux vitreux, embrumés, larmoyant.
Une douleur aigüe et soudaine avait arrêté net son désir torride avant d'aller plus loin, elle n'osait pas franchir le cap.

Embarrassé comme jamais, et contrit des antécédents libidineux que j'avais avec elle, je reculai lentement mon bassin. A la seconde où elle se retourna, je crus que Sissy voulait échapper à cette situation dramatique, à moi, à la bête immonde.
Ô bonheur ! Elle recula son putain-ce-qu'il-est-sexy de petit cul en le dandinant jusqu'à coller son dos contre moi après, bien-sûr, qu'elle eut remonté mon caleçon par-dessus l'engin de destruction. Elle saisit mon bras gauche et l'installa sous sa tête pour s'en servir d'oreiller.
Toujours cabossé de ma nuit de spartiate et désireux de ne pas lui imposer davantage ma rigidité pubienne, je m'allongeai sur le dos en maintenant le plus mon flanc en contact avec la chaleur et la douceur de son corps si fragile.

A la faveur d'une paume appuyée sur ma hanche comme pour m'empêcher de reculer d'avantage, je repris conscience de la présence de Sandy allongée et silencieuse derrière moi depuis le début.

Déjà embarrassé, dorénavant complètement mortifié. Non seulement je résistais à la tentation du plaisir charnel pour ne pas forcer Sissy ou la condamner à un dévergondage éternel — le vice et le melon du mec ! — mais en plus venait s'ajouter la surprise d'une cinquième roue de carrosse importune, voyeuse contre son gré.

Dix ou vingt minutes s'écoulèrent avant que Sissy ne tombât dans les bras de Morphée. Elle roula finalement à plat ventre, se détachant de moi.

"Sandy ne dormait pas", me dirent les yeux de Sandy fixés sur les miens quand je tournai ma tête vers elle. Était-elle seulement encore endormie au moment où j'étais entré dans sa couche ? Sandy ne dormait pas, oh non ! Sandy était totalement emportée par nos gesticulations enfiévrées. Sandy était autant en sueur que nous. Et je le sus quand sa main gauche prit la mienne pour l'inviter aux portes ouvertes de la chasteté de Sandy.
Si tôt forcé à la découverte de sa chair intime à elle, je fus traversé par un sentiment fort de protestation outragée.

"Non!" dit mon esprit.
"Hé bien si..." dirent de concert mes doigts dans ses lèvres pleines de cyprine et mon sexe empoigné tout nouvellement par la main moite et fébrile de Sandy qui le tira, et moi, vers elle.

J'avoue que je ne tint pas compte de son plaisir une seule seconde. Je craignais tellement que Sissy ne se réveillât et nous découvrît l'un dans la main de l'autre que je cédai à Sandy tout mon consentement. Je ne saurais dire si elle jouit ou non, elle aussi mue dans le silence. Elle remua, s'agita. Et se déroba sous mes doigts en glissant hors du lit au moment où je la sentis se cambrer.

Elle était désormais assise sur le bord du clic-clac mais sa main ne m'avait toutefois pas lâché.

Elle n'avait pas une fois levé les yeux de mon vît mais, sûrement prise d'une envie perverse de scruter mes réactions, elle les posa sur les miens alors qu'elle me prenait en bouche maladroitement.
Elle me suçait la bite, littéralement. Elle formait un "O" avec sa bouche et aspirait le bout de mon gland.

Lasse de jouer les préliminaires, elle se jeta pour m'avaler tout entier. Du moins ce fut la sensation que j'en eus, plongé subitement en elle. Assaillant ma verge de toute la profondeur qu'elle pouvait comme s'il eut fallu la polir, sa gorge émettait de rares bruits de déglutition et de succion qui me mettaient dans un état d'angoisse coupable insupportable. Mon sang martelait mes tempes, mais cet excès d'adrénaline inhabituel intensifiait malgré moi les frissons de plaisirs qui me traversaient le corps.
Sandy ne parvint pas à soutenir mon regard inquiet et implorant. Elle se redressa, retira lentement ce qui, de la couette, me couvrait le haut du corps et s'allongea à mes côtés.
Elle resta, pour la suite, la tête penchée sur son ouvrage, sans doute autant pour ne pas affronter mon regard que par fascination pour cette anatomie qui lui était inconnue.
Mon gland, affligé à nouveau des caresses pourtant si longtemps fantasmées de la gente féminine, était encore lubrifié par une tonne de salive. Une salive providentielle car même si ses doigts autour de moi faisaient leur office, elle les agitait de haut en bas sans considération aucune pour la sensibilité de mon extrémité. J'errais dans des nuages mélangé de plaisir et de lassitude ; au terme incohérent de la contrition que peut s'infliger un futur petit ami déjà infidèle, à bout de mon désir insatiable, mon esprit établit un lien, fallacieux mais bien heureux, entre les sensations somme toute agréables que Sandy s'efforçait visiblement de me procurer et l'intimité quasi-transcendantale que je fus sur le point de connaître avec Sissy quelques minutes auparavant. L'excitation monta, bouillonna et déborda rapidement.

"Oh oui !" dirent toutes les terminaisons nerveuses de mon gland, comme un dernier mot à mon cerveau avant l'inondation d'endorphines, avant l'inondation de sperme.

Aussi Sandy fut-elle surprise, après seulement quelques dizaines de secondes de va-et-vient, quand, terrifié que j'étais à l'idée de retombées séminales aléatoires, je me redressai au-dessus d'elle pour lui cracher toute ma révolte, dont elle souffrit depuis son T-shirt jusqu'à son front !

Elle se pencha hors du lit pour attraper un mouchoir, s'essuya, se retourna un moment, feignit un sommeil de quelques minutes puis se leva brusquement et quitta la pièce pour ne pas revenir en ayant jusqu'au toupet de balancer un :

"J'vous laisse, les amoureux."

...

Comment Sissy a-t-elle pu être assez profondément endormie pour qu'on ne la réveille pas !?





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Anecdote sexy 12 : 1er soir, 7ème ciel
Publié :11/2/2017 18h35
Dernière mise à jour :4/5/2017 21h53
7540 vues
Dépucelage + 4 ans et 10 mois.

Sissy m'avait quitté trois mois auparavant. J'en étais à la quatrième étape du deuil amoureux : la rage de vivre. Bars, clubs, sites de rencontre, tout y est passé, en vain... ou presque.
Après quelques semaines de séduction frénétique, une réponse. Une femme mûre de douze ans mon aînée, célibataire. On échange quelques messages, je lui réponds aussi intelligemment que possible et elle souhaite assez rapidement entendre ma voix au téléphone. J'habitais encore chez mes parents, et leur chambre étant attenante à la mienne, je dus sortir par la fenêtre et la refermer derrière moi pour être sûr qu'ils ne se réveillent pas au son de l'appel de leur à un plan cul à minuit passé.
Du peu dont je me souvienne, nous conversâmes un peu moins d'une heure à propos de nos attentes, à nous décrire l'un à l'autre, extérieurement autant qu'intérieurement, puis pour qu'elle me prévienne qu'elle était mère de jumeaux d'un an et demi. Ces succinctes épreuves passées, elle m'invita, à ma grande surprise, à passer la voir chez elle le lendemain au soir avant de raccrocher d'une voix exagérément suave. Elle me lança deux selfies avantageux souffrant de quelques supercheries de lumière et de perspective mais je ne lui en tins pas rigueur.

Un appartement en immeuble. Je sonnai, elle m'ouvrit, j'ouvris les yeux sur une femme mûre, en jeans/falltop, ni belle ni laide, mais commençant à être abîmée par l'alcool et la cigarette. Je devais attendre encore quelques heures pour constater que sa grossesse n'avait malheureusement rien arrangé. Elle avança maladroitement sa tête vers la mienne pour imprimer sa bouche contre ma joue. Je pénétrai chez elle pour y découvrir une déco design, très mainstream, bling-bling un peu vulgaire et la touche féminine omniprésente ; mais je n'étais pas venu pour jouer les Valérie Damidot.
Elle m'installa dans un fauteuil, me proposa une bière et s'assit, équipée de même, dans le divan en face de moi, de l'autre côté de la table du salon, les jambes croisées. Badineries, sujets triviaux, histoires personnelles, à mesure que le temps avançait, je m'efforçais de ne pas solliciter le moindre épanchement. Rien n'y fit, elle avait grand besoin d'une oreille attentive et elle me soûla de paroles avant de me soûler littéralement. Dans le flot incessant, je retins toutefois :
"...pas eu de rapport depuis 2 ans... c'est pas que je suis obsédée mais je suis à fleur de peau..."

Information importante : je ne suis pas un grand buveur. Ni à l'époque, ni même maintenant. Et ma résistance à l'alcool était inversement proportionnelle aux démangeaisons au fond de mon slip (même si je ne porte que des boxers). Aussi ne lui fallut-il me laisser me déverser que quelques grammes dans le sang avant de m'entraîner dans sa chambre et d'ôter nos vêtements.

Nous n'avions pour toute lumière que celle de sa lampe de chevet à franges. Hypnotisé par les lueurs inégalement réparties dans cet espace inconnu, je me laissai surprendre à contempler avec humilité le dos nu de cette femme qui, bien qu'assez simple et surtout usée par la vie, en s'exposant corps et âmes à un inconnu, mettait de côté orgueil et principes afin d'assouvir non plus une envie mais à ce stade un irrépressible besoin de chair voire même de par-delà la chair, à mesure que ses dernières feuilles tombaient à l'automne d'une pudeur inavouée.

Elle se tourna vers moi et vint se blottir contre mon torse et dans mes bras, comme pour ne plus sentir le poids de mon regard sur son corps nu. A la sensation de sa respiration brève et de ses doigts cramponnés à mes épaules lorsque je remontai le bout de ma langue dans son cou, il ne me fallut pas plus d'une minute pour me rendre compte de l'état de manque dans lequel elle se trouvait et de lointains souvenirs de ma jeunesse à pousser de semblables créatures sur le chemin du vice me revinrent en mémoire. Je me ferai une joie d'y revenir dans un futur indéterminé.

Ma main décida de quitter sa nuque pour voyager vers ses seins qu'elle avait petits et tombant. Du bout des doigts, j'en caressai le pourtour dans un lent mouvement en spirale resserré sur son mamelon brun et large. J’aime avoir du mamelon petit et rosé, une préférence que j’oppose consciemment à ceux de ma mère et de ma sœur, gigantesques mares pigmentées. Mais un mamelon reste un mamelon, surtout lorsqu’il est posé sur un sein et surmonté d’un téton, si vous me suivez. Freud me prit à les sucer, l’un puis l’autre, les presser, les lécher, les mordiller. Et ma main partit à nouveau vers les contrées encore plus chaudes du sud. Passées des rebonds et rondeurs nombriliques que je n’eusse jamais auparavant envisagé comme autant d’objets de désir, si peu visibles fussent-ils, habitué que j’étais aux silhouettes graciles, mes doigts se heurtèrent à un rempart capillaire des plus latins. Je feignis l’indifférence et, pour me donner du courage, prit d’assaut sa bouche qu’elle gardait malgré elle ouverte, toute haletante.

A moi la théorie ! Leçon de masturbation féminine n°3, paragraphe 2 :
caresser lentement et pendant au moins 10 minutes le clitoris et masser alternativement de manière lente et appuyée l’entrée du vagin et celle de l'anus avec le pouce de l’autre main, continuer et enfoncer d'avantage le pouce progressivement jusqu’à une pénétration totale et un état d’excitation paroxysmique, soumettre alors soudainement le majeur et l’annulaire à un va-et-vient vaginal, paume vers le ciel, en pressant la pulpe de ces doigts contre la proéminence post-urétrale à l’entrée du vagin, dit « point G », tout en appuyant légèrement de l’autre main sur la zone sub-vésicale du ventre.

Quelques dix minuscules secondes de stimulation de la sorte et j’assistai, puissant et impuissant, à ma première véritable éjaculation féminine, vous savez, du genre de celles que l’on boit des yeux dans les films de Cytherea et autres nymphes des eaux claires et qui vous font lire des ouvrages entiers sur les pratiques sexuelles pouvant la déclencher... Et quelle éjaculation ! Sur la pointe des pieds, les jambes arquées comme chevauchant une monture invisible, elle fut prise de longues et violentes convulsions saccadées des épaules, du bassin et des cuisses et poussa un cri à la fois rauque et aigu quand sa cyprine fut projetée sur la moquette et l’armoire de sa chambre.

Elle avait pourtant fini de jouir, je ne sais pas quelle mouche me piqua d'insérer un troisième doigt et de continuer de secouer sans cesse son sexe en déluge. Son râle reprit crescendo, ses jambes cédèrent, elle s’effondra sur le lit, à plat dos, je repliai ses jambes vers elle et glissai encore le pouce gigotant de ma main libre dans son arrière-court, aux herbes toutes aussi hautes, d'ailleurs. La souplesse nouvelle du matelas m'autorisait des mouvements plus amples et plus rapides. Elle gémissait par saccades expirées en secouant sa tête et ses bras en tout sens, comme pour manifester un trop plein de plaisir, jusqu'à ce que sa plainte se mue en silence contenu, retenu, contracté, cambré et remué des pieds à la tête. La moquette fut à nouveau arrosée de ces brèves ondées de plaisir et moi, comme possédé par un sadisme fantasmé de longue date, je ne m'arrêtais pas, même si mon bras et mon poignet commençaient à se tétaniser.

"Stop ! Arrête ! Non ! Han ! Non ! Arrête s'il-te-plaît, j'en peux plus !"

Elle se redressa tant bien que mal sur ses coudes et serra les cuisses sur ma main pour me faire cesser. Elle ne se douta pas qu'une fois son abdomen contracté de nouveau, le reste de ses muscles internes l'imiteraient.

Et son râle devint cri.

J'enfonçai mon pouce dans sa bouche, celui-là même qui était recouvert du fluide chaud et visqueux de ses muqueuses anales. Elle était en nage depuis le tout début, mais en plus de ses cheveux collés à son front et à ses joues, de son mascara dégoulinant et de son rouge à lèvres étalé, lui coulait maintenant de la bouche un long filet de bave imprévu qu'elle assuma totalement en tirant la langue sous mon pouce et en plissant les yeux sous la menace d'un troisième ("Et ultime !" agonisait mon bras) orgasme imminent.
Très imminent.

Une dernière fois elle éjacula. Elle me trempa le visage de plusieurs jets et je me penchai au-dessus du sien pour y faire couler toute cette cyprine.

"HAN NAN ! NAAAaaaAAAaaaAAAaaaannn !!! NAN OUIi C'EST TROooppprrrrrpppttt HAN !... Hhur ! Hrr... Hhhhnnnnnnnnnnnnnnnnnn... Knnnneemmfff
Hhsss...
Hhha...
Hhha..."
suivi d'un dernier gémissement tandis que mes muscles capitulaient "Mmmmmmmmmmmmm..."

Quelques dernières salves allèrent finir de souiller les draps au gré de spasmes incontrôlés accompagnés de gémissements étirés.
Alors que je m’allongeai à son côté, je crus un instant la voir prise d’un rire nerveux... avant que je ne comprenne qu’elle éclatait en sanglots. Des sanglots lourds et profonds, et pourtant pas un soupçon de chagrin dans son sourire et son regard heureux.
Elle prit quelques secondes pour se calmer et me fit enfin entendre la raison d’un pareil ébranlement.

Je ne pourrais malheureusement pas décrire l’émotion qui saisit mon esprit à l’idée de la responsabilité immense qu’elle venait de jeter sur mes épaules, et je me sentis chanceux d’avoir remporter une telle victoire alors même que je n'en connaissais pas l’enjeu fatidique.
Au terme de hoquets larmoyants et d’une respiration difficilement maîtrisée, elle avait fini par me déclarer que malgré tout le plaisir qu'elle avait pu s'infliger en vain durant toute sa vie de , de femme et de mère, elle venait de vivre ses premiers orgasmes. Je pourrais dire que je fus pris de stupéfaction mais ce serait sans compter la pitié que j’espérai ne pas lui laisser deviner ni la fierté du faiseur de miracle qu'elle faisait de moi.
Et l’excitation ! Au diable la tendresse, elle avait rempli sa chambre de cyprine !

Je me saisis de sa bouche et démarchai un convoi d’expédition lingual à la découverte d’un corps qui me sembla immédiatement désirable. L’esprit domine le corps.
Je me lançai dans un véritable numéro d'artiste, tirais une à une toutes les ficelles que je connaissais, cachant mon excitation nerveuse derrière une méthode et une rigueur toutes retrouvées.
Cunnilingus, branlette clitoridienne, 69, anulingus, missionnaire, face au mur, à sur moi, en cavalière, en crabe, en cuillères.
J’y ai passé la nuit. Elle n'éjacula pas de nouveau mais quel pied !

J’étais jeune, ivre et fatigué, j’ai connement laissé échapper un « Je t’aime » des plus malhonnêtes qui la fit évidemment plonger dans une passion démente.

Quelle erreur !

Le lendemain après-midi, elle me demanda de passer chez elle, et elle tint à mener la danse, de manière plus tendre et plus sensuelle cette fois… une dernière fois, car par la suite je revis finalement Ange pour qui mon cœur n’avait jamais cessé de battre depuis toutes ces années.

Elle me harcela de messages pendant plus de six mois, convaincue que, en la quittant pour Ange, j’étais sujet au frisson de réaliser un fantasme de toujours et que je concrétisais ce qui n’était, selon elle, qu’une amourette de jeunesse. Tout coupable que j’ai pu me sentir de l’avoir trahie de la sorte, j’étais assez facilement convaincu de n’avoir aucun sentiment pour elle quand je recevais ses monologues imbéciles et, las de m’efforcer de me montrer aimable, j’en arrivai finalement à lui répondre par d’immondes diatribes, ce qui m’assura de ne (quasiment) plus jamais avoir de ses nouvelles.

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Anecdote sexy 11 : Annales de l'anal
Publié :4/8/2016 22h03
Dernière mise à jour :11/2/2017 18h31
8230 vues
Dépucelage + 13 ans.

Nous avons tout récemment reçu toute une panoplie de sextoys que j'ai commandés. Promis, je vous ferai prochainement l'énumération de notre coffre à jouets.
Avec nos emplois du temps de ministres, je me languissais déjà de pouvoir nous en servir. Et ce soir ça a fait tilt ! On avait près de deux heures devant nous, à son :

"Tu bois tout mon lait !"
j'ai répondu "Oui mais moi je voudrais boire tout ton jus..."

Un petit mouvement de tête qui se redresse, intéressée, plus tard, elle était déjà sous la douche à remettre de l'ordre dans sa toison.

Je décidai de lui sortir le grand jeu : j'ai profité du temps de sa toilette pour débarrasser le lit, y étendre notre terrain de jeu – un drap en vinyle violet – recouvrant tout le matelas king size, sortir la boîte à accessoires de massage, et sortir également du carton à jouets – nous avions l'habitude de les ranger dans un coffre très ancien mais je suis actuellement en train de le retaper, une photo de la rénovation achevée s'imposera – quelques nouveautés et finis les préparatifs en répandant de l'huile de massage un peu partout sur le drap.

Elle a évidemment remarqué mon petit manège dès qu'elle a mis un pied dans la chambre. Ange n'a absolument aucun talent pour entretenir une ambiance sexy et feutrée qui règne normalement dans ces circonstances. Sa réaction fut donc :

"Oh non pas ce machin, je vais avoir froid... C'est froid ce truuuc..."

Il a fallu que je la tire moi-même par le bras sur le lit et que, couchée sur le ventre, je commence à lui pétrir le dos avec mes mains huilées, pour qu'elle se taise et s'abandonne à mes caprices.

"Hmmm, c'est trop bon et en plus ça sent le chocolat"

Effectivement, huile de massage senteur chocolat, je la tenais dans le creux de ma main.
Quelques soupirs d'aise plus tard, et son corps relaxé par mes pressions continues un peu partout et particulièrement là sur la fin, j'ai attrapé le premier outil de luxure envisagé : un plug G-spot / P-spot vibrant, que j'ai lentement inséré entre ses lèvres toujours à peine mouillées. C'est un travail de longue haleine que de respecter la phase des préliminaires d'Ange.

Une fois que je l'ai inséré en elle, j'ai allumé les vibrations. Aux premiers balancements de son bassin en rythme avec mes mouvements du vibro contre son bouton, j'étais aussi excité qu'elle.
Quand j'ai eu l'impression qu'elle s'en lassait, je lui ai demandé laquelle des quatre nouvelles cock sleeves elle voulait qu'on essaye, elle m'a répondu qu'elle avait trop peur du poisson et préférait le dragon.
Grimaces, plaintes, grincements de dents. Échec.

"On essaye le poisson, alors ?"
Grimaces, plaintes, grincements de dents. Échec.

"Bon tes trucs, là ? Plus jamais ! Non mais quelle gonzesse peut aimer ça ? On dirait des instruments de torture, déjà, et en plus ça fait hyper mal, je confirme."

J'ai préféré détendre l'atmosphère en riant légèrement et mon sourire a heureusement été contagieux. Pour la rassurer, je me suis lancé à lui accorder ce que sa moue demandait depuis dix minutes : que je la prenne sans chichi, en missionnaire, séance tenante.

Toute sa peau huilée contre le drap facilitait et amplifiait chacun de mes coups de reins, rapides, profonds. Elle haletait, j'accélérais encore. Mon pubis et mes couilles heurtant violemment sa chatte enfin trempée produisaient des claquements obscènes, pornosoniques. Elle a été au bord de jouir. Un orgasme vaginal, ça faisait longtemps, mais moi aussi j'étais au bord et nous n'étions pas couverts, hors de question de venir en elle.

"Je pourrais si j'étais dans son cul"

Cette pensée venue, un plug anal en main, j'ai aventuré un œil quémandeur, proche du battu.
Elle a grogné et, pour la toute première fois, accepta tout en avançant son cul vers moi. J'ai saisi, ravi, une de nos chaînes de perles anales en lui expliquant que c'était pour la préparer, et lui ai inséré plusieurs perles jusqu'à celles aussi larges que le mini plug – environ 2 cm.
Quelques va-et-vient allés et venus, j'ai cédé à une envie de lui doigter la chatte et le cul en même temps. L'index et l'annulaire devant, appuyés contre le point G, le majeur dans son cul, ma langue léchait frénétiquement son bouton. Jusqu'à éclosion.

Je l'ai laissé se remettre de ses émotions en m'asseyant contre la tête du lit et lui ai ainsi permis de monter en cow-girl sur moi, sa position préférée. Elle s'est empalée, enthousiaste, j'ai ajouté le mini plug.
Grimaces, plaintes, grincements de dents. Échec.

"Ça doit être la boule du plug, avec toi dedans ça appuie comme un doigt, c'est horrible" a-t-elle dit en le retirant.

Soit.
J'ai attrapé ses fesses et les ai avancées et reculées fermement sur moi, mon bassin effectuait le mouvement opposé de manière à accentuer la pénétration et je maintenais son pubis collé à moi pour qu'il se frotte au mien. Elle faillit jouir, moi aussi. Donc non.
Sentant mon sexe ramollir elle m'a demandé, inquiète, si c'était parce qu'elle ne m'excitait plus. Je lui ai répondu que j'avais envie de lui prendre le cul. Et après quelques minutes à onduler sur moi, elle a fini par soulever son bassin en se couchant sur moi et me dire d'y aller. Malgré mon conseil de changer de position, elle est restée telle quelle.
Grimaces, plaintes, grincements de dents. Échec.

Je lui ai dit que ce serait sûrement mieux si j'étais sur elle.
Elle est descendue et s'est allongée sur le ventre. J'ai resserré ses jambes et glissé ma main sous son ventre pour la faire se cambrer un maximum. Mon esprit vagabondait en voyant mon sexe aller et venir dans son petit cul cambré à l'anus lubrifié et dilaté. Et puis j'ai vu son visage grimaçant de douleur...
Grimaces, plaintes, grincements de dents, geignements, sanglots...

Elle s'est retourné sur le dos et m'a dit que c'était mieux.
Grimaces, grincement de dents

Ah ? pas de plaintes ?
Pas de grimaces. Pas de grincement de dents.
Ooooooooh !
Je me suis décidé, j'ai tenté une série de coups de reins de plus en plus rapides, en entrant tout entier dans son cul. La sensation nouvelle pour moi de mon gland passant l'anneau serré de son rectum. Quand mon pubis tamponnait son sexe, je sentais son petit orifice dilaté m'avaler, m'aspirer par réflexe. C'était divin.
Grimaces.
Merde !
J'étais donc en train de ralentir quand... trop fort, trop tard, trop excité, trop serré, et puis rien qu'à l'idée d'éjaculer DANS SON CUL, c'était déjà fait.

Son cul était déjà plein de l'huile de massage et du lubrifiant de la sleeve qui avaient coulé partout sur elle, donc je ne l'ai pas prise à sec.
Je l'ai préparée pendant plus de 20 minutes, donc elle était bien dilatée.
Je ne vois qu'une raison à sa douleur : la forme de ma bite. Elle se courbe vers mon nombril. Et en plus je bande très dur, tellement que même après plusieurs orgasmes, je reste (trop) dur.

D'expérience, je sais que plus on pratique, plus c'est bon. Le temps le dira peut-être, si elle est assez masochiste pour me laisser assaillir son cul à nouveau.


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Fantasme - Elle et moi - soft : Goûteur de Sa Majesté
Publié :3/8/2016 13h29
Dernière mise à jour :5/5/2024 21h48
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Dès l'instant où tu ouvres la porte, tu colles ton visage face au mien et m'empêche de parler en plaquant ta main sur ma bouche puis en la faisant glisser derrière ma nuque et ton autre main saisit ma ceinture, pour me faire entrer chez toi.

Arrivés dans la chambre, tu me dévêtis complètement et tu fais rapidement disparaître ma gêne en caressant mon corps du bout de tes doigts. Tu ne m'embrasses pas, tu caresses ma verge. Et alors que je commence à te rendre la pareille, tu m'allonges sur ton lit et m'interdis du regard toute initiative.

Tu te retournes en m'enjambant, mes pensées s'emballent, je m'imagine déjà dans ta bouche mais c'est avant que tu t'assoies sur mon visage et maintiennes mes mains contre le lit en t'appuyant dessus. C'est toi qui est dans ma bouche, tu la remplis. Je suffoque, je te mange, j'étouffe, tu gémis.

Tu lèves le bassin, je crois à ma délivrance ? Tu t'avances de quelques centimètres et ma bouche est à nouveau au travail, cette fois avec une autre partie de ton intimité. J'en lèche les bords, doucement, avant de faire entrer ma langue. Tu aimes ça, je l'entends. Je vais plus loin, tu aimes encore plus. Tu lâches une de mes mains, je ne la bouge pas car sous mon menton je sens la tienne caresser ton sexe. Ma langue me fait mal mais je continue, tant que tu seras assise sur moi. Elle va un tout petit peu plus loin à chacune de mes attaques. Tu laisses sortir de tout petits cris. Le bourrelet de ce petit orifice est maintenant tout détendu mais je le sens quand même se resserrer légèrement quand le bout de ma langue entre en contact avec la muqueuse la plus secrète de ton corps.

Tu halètes, vibres, balances tes reins d'avant en arrière, de haut en bas et ton gémissement maintenant continu s'entrecoupe soudainement au rythme de tes secousses et se transforme en long cri sauvage et rauque au moment où tu écrase mon visage de tout ton bassin. Ma langue est toute entière dans ton cul. Tu cries et jouis.

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Anecdote sexy 10 : Homosexualis Hammamus
Publié :31/7/2016 18h31
Dernière mise à jour :2/8/2016 4h39
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Dépucelage + 13 ans.

Depuis plusieurs semaines… mois ?… années !? mon désir d’infidélité à Ange se fait de plus en plus fort. Au travail, des regards et des sourires qui en disent long avec de séduisantes inconnues. Chez une amie, une conversation intime et révélatrice. Dans des soirées, des points communs et des traits d’humour qui mettent l’eau à la bouche.

J’ai commencé par m’inscrire sur des vieux sites de rencontre, peuplés de handicapés sociaux (dont je fais partie, visiblement) et de faux profils publicitaires. Face au peu de personnes sincèrement désireuses de faire des rencontres, j’ai progressivement oublié la raison qui a motivé mon inscription, l’excitation illusoire transformée en routine stérile. Un sentiment malsain accompagnait chaque échange avec mes partenaires résolument virtuelles. L’impression qu’elles me faisaient jouer un personnage de séduction éphémère afin de les manipuler avec tout leur consentement. L’exact inverse de ce que j’étais venu chercher.

Il y a peu de temps, l’idée m’est venue que peut-être le « tout mobile » en était enfin arrivé à aborder le côté obscur de nos vies. J’écartai tinder et toutes les solutions similaires, et fouinai sur le store à la recherche de discrétion adultère. Quelques applications installées, mes informations géographiques / anatomiques / psychologiques / érotiques renseignées et me re-voilà dans les starting blocks.

Première surprise, il y a en fait bien plus de personnes dans mon cas que je ne le soupçonnais.
Presque un mois maintenant, quelques clins d’œil réciproques, messages envoyés tels des bouteilles à la mer, encore aucune réponse à l’heure actuelle.

Seconde surprise grâce à la géolocalisation d’une de ces applis, un sauna libertin à quelques minutes de chez moi !
Je passai la nuit entière à me demander si j’allais oser.
Et hier, le vieux démon s’est réveillé, las d’attendre. Une journée de travail après une nuit blanche, ça vous motive un homme. J’ai checké sur leur site le planning des heures mixtes : je veux bien essayer le « 100% masculin » mais pas tout de suite quand-même. Et j’ai sauté le pas, en route pour un petit sauna décomplexé.

Un grand bâtiment en retrait de la rue, à l’extérieur d’un virage. Joli portail, sas d’entrée, vestiaires, tout paraît neuf, en tout cas extrêmement récent et surtout très propre.
Ma serviette enroulée à la taille je passai au bar, lumineux, design, propre et comme neuf, j’y retrouvai le guichetier qui est aussi barman, il m’indiqua les différentes parties et activités. Une phrase maladroite et ingénue indique clairement le malaise du grand débutant qui met les pieds pour la première fois dans un établissement libertin.

Douché pour l’hygiène, seul dans le jacuzzi pendant une bonne demi-heure. Au moment d’y entrer, je remarquai l’écran au mur qui diffusait du pr0n en boucle, manœuvre tactique : s’asseoir dos à l’écran pour éviter toute réaction sanguine involontaire. Après une autre grosse demi-heure dans les vapeurs boisées du sauna, je retournai au bar.

Un lapin dans l’arène aux phoques. Trois vieux types assis au comptoir, l’un d’eux, auquel je tournais le dos, m’adressa des yeux écarquillés de grand duc lorsque je jetai un regard curieux dans sa direction.

Je me levai prendre un bonbon dans le bocal à l’extrémité du comptoir la plus éloignée de lui et y restai posté debout à faire semblant de scruter la carte.
Le hibou se leva aussi et, en passant derrière moi, frotta son torse nu contre mon dos en n’oubliant pas un « Pardon. » de politesse. Je me permis de me retourner sur ses traces pour constater non sans trouble qu’il y avait bien toute la place de passer derrière moi sans y risquer un téton contre ma peau.

Mon esprit erra le temps d’un moelleux au chocolat et de se rappeler qu’il y avait aussi une terrasse, et que j’aurais plus vite fait de sécher sous le soleil de cette fin d’après-midi. Je m’endormis en quelques secondes, et me réveillai bras ballant et bouche béante tel une carpe échouée. Avec un arrière goût d’échec, je pliai les gaules.

Le sauna libertin aux heures creuses, ça craint.

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Anecdote sexy 9 : Comme papa dans maman
Publié :12/7/2016 19h05
Dernière mise à jour :28/8/2018 18h11
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Dépucelage + 9 ans.

Il faut se méfier de nos désirs, il faut se méfier des libertés qu’on accorde, des terrains que l’on cède. Sauf si, comme moi, vous avez un faible pour les expériences nouvelles et la perte de contrôle. En gros, je n’en ai rien à foutre.

Ange a eu plus de partenaires que moi avant que nous ne nous mettions ensemble mais ses expériences ont été moins variées que les miennes. D’où sa curiosité pour l’inconnu et mon ouverture sans borne.

Comme à notre habitude, nous avions fait une très grasse matinée. Elle s’occupait quotidiennement de son activité à domicile et moi de l’épauler sur tous les aspects avec lesquels elle n’avait pas pour ambition de devenir plus familière, les plus rébarbatifs. Ce travail à temps plein et l’absence des contraintes horaires élémentaires faisaient que nous vivions à l’heure espagnole, voire très espagnole.

La veille au coucher, il lui avait pris la lubie de passer mon corps entier à l’inspection de son éponge savonnée, de le rincer, d’en exprimer le jus visqueux sur son visage avec sa main serrée autour de moi, puis de le relaver sournoisement.

Donc, à 13 heures du matin je dormais, oui. Mais mon Ange, réveillée, se glissa sournoisement – tout est sournois quand il y a préméditation – sous les draps et entama de me lécher les bourses, rare nouveauté pour moi, pas pour elle me dit-elle plus tard. Sa langue effleurait – Ange est plus du genre soft que hard – la peau vilainement ridée du scrotum, remontait le long de l’anguille déjà en réaction et faisait semblant d’insister sur l’arrière de mon prépuce décalotté. Je ne sais pas pour vous, mais c’est la seconde partie la plus sensible chez moi, quant à la première, je vais y venir.

Elle continua son petit jeu un moment, ignorant cruellement mon désir galopant, repoussant mes tentatives de faire avancer le Schmilblic. Quand les contractions qui me saisissaient la partie inférieure du corps finirent par ressembler davantage à des bifles, je vis sa tête plonger d’un trait jusqu’à la base de ma queue et se secouer de haut en bas malgré les hauts-le-cœur que trahissaient les spasmes de son dos voûté et de sa gorge gonflée. Toute la longueur de sa langue compressée contre tout l’arrière de mon vît, le fond de son palais appuyé contre l’avant de mon gland ; tout cela aussi était nouveau pour moi. Pardonnez-moi l’expression mais j’aurais tellement jouï que j’aurais pu la rempir jusqu’au cul. Mais elle remonta subitement, prise d’un dernier haut-le-cœur…

« Ça va ? », je me relevai pour lui tapoter le dos.
Elle souffla un « Oui » avant de me rallonger et de s’enlever quelques mains baladeuses, le déni dans son regard. Mais… elle m’avait rentré jusqu’aux couilles, bon sang ! Qu’est-ce qu’elle voulait me faire de plus ?

Elle replaça son visage entre mes cuisses, je me dit qu’elle devait s’être fixé comme objectif de me faire jouir sur elle, comme la veille. Balls deep, espérai-je surtout. Sa main gauche attrapa son jouet de chair favori, sa main droite atterrit devant sa bouche, elle se mit à lécher son index, à l’avaler quasiment, en me regardant droit dans les yeux, comme pour simuler et préparer sa gorge. Que nenni !
Lubrifié par sa salive, son doigt glissa du sommet de mon gland, jusqu’au scrotum, continua sa route le long du raphé et c’est LÀ, mesdames mais surtout messieurs, que le big devient bang car, en-dessous de cette zone déjà peu fréquentée par les badauds, viennent les étoiles.

Une caresse, un petite contraction de bienvenue.
Une pression, un cambrement mal assumé.
La pulpe d’un doigt, une gêne vite passée.
Deux phalanges, un gémissement peu viril.
Deux doigts, des réminiscences.
Des va-et-vient saccadés au rythme d’empoignes violentes de ma bite, c’est l’explosion.
Beaucoup, partout, longtemps.

Et comme je le disais, donnez-leur la main, ils/elles vous prennent le bras. Sitôt le drapeau planté, la conquête de mon cul fut régulièrement à l’ordre du jour, gagnant toujours plus de victoires.

Toilette au gant du soir, espoir. Sodomie du matin, serein.



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Anecdote sexy 8 : Souillée, souillé
Publié :10/2/2016 20h50
Dernière mise à jour :7/8/2016 17h40
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Dépucelage -3 ans.

Comme beaucoup, mon adolescence a été remplie de vide, de journées sans le sou ou sans ami, de jeux vidéo, et effectivement d'expériences marquantes et inoubliables. Tellement inoubliables pour certaines que j'aimerais qu'elles ne soient que de lointains souvenirs effacés mais elles reviennent trop souvent au-devant de ma mémoire pour que ce soit le cas...

J'avais passé la veille et toute la nuit sur ma bonne vieille PSX, je n'avais dû dormir en tout et pour tout qu'une ou deux heures avant que ma mère ne me sorte du lit.
Déjeuner chez mon parrain, Léo, son , m'emmène chez le voisin d'en face, David, pour passer l'après-midi dans sa grande canadienne, de la tente, non pas du pays, canari, du jaune et non pas de l'oiseau ; une tente canari, donc. Il faisait une chaleur infernale, qui plus est à trois dans une tente en plein cagnard, on avait vite enlevé T-shirts et shorts mais nous restions en sous-vêtements. Il ne fallait pas compter sur le pineau et la bière pour nous hydrater, au moins ils nous désaltéraient. Et comme l'atmosphère n'était pas assez irrespirable, nous nous remplissions les poumons de la combustion d'une plante particulièrement difficile à cultiver.

Depuis la cours où était plantée la tente derrière la maison, nous entendîmes le père de David entrer dans sa voiture, la démarrer et s'en aller avant qu'Agnès, la sœur de David, déboule en annonçant :

"Papa il part chez Jean-Louis", et de nous exprimer en sons et lumières son ennui une heure durant.

David était jointomane, un habitué, loin d'être aussi éteint/atteint du bulbe que nous ; agacé par l'énergie débordante de sa sœur, il quitta la tente en nous lançant un

"'Tain j'ai mal au bide depuis 't-à-l'heure, j'sais pas ce que j'ai" des plus explicites.

Léo et moi étions allongés à un peu moins d'un mètre l'un de l'autre, en tout cas bien plus que la longueur d'un bras. Agnès s'était blottie contre moi - elle avait déclaré vouloir se marier avec moi quelques années auparavant - et gagnait de plus en plus de terrain sur mon corps à chaque fois que je la voyais.
Elle me regardait depuis quelques minutes sans bouger, et me demanda sans prévenir, sans raison apparente :

" Est-ce que ta bite elle est grosse ? "

Quoi dire ? Que répondre sinon "Hé mais Agnès ! Arrête ! Et d’où tu sors ce mot, toi ?"

Ses yeux étaient à quelques centimètres des miens lorsqu'elle m'embrassa dans le cou, plusieurs fois. Je penchai la tête trop tard. Quand mes muscles réagissaient enfin aux ordres de mon cerveau, sa main ne caressait déjà plus mes épaules, mon torse ou mon ventre, et au plus fort de mes protestations gutturales, elle releva sa mini-jupe et s'assit à sur mon entrejambe.

Ces événements auraient lieu aujourd'hui, une telle dose de plantes vertes et d'alcool aurait annihilé ma libido et mon afflux sanguin, mais avec l'ouragan hormonal que subissait mon jeune corps, je ne décidai de rien. Friction fatale du coton de mon caleçon contre le coton de sa petite culotte.

Dans mes épanchements précédents, je vous apprenais que j'ai vécu une sexualité très précoce et très atypique, c'est la raison pour laquelle je ne fus pas dans un état d'affolement face une jeune aussi entreprenante pour son âge. J'étais plutôt absolument confus de voir une , quel que soit son âge, entreprendre quoi que ce soit avec moi, d'elle-même.

"J'ai des papillons dans le ventre" me souffla-t-elle en se penchant à mon oreille.
Léo avait jusque-là été hilare, moqueur, tellement me voir lutter contre ma torpeur et ma libido était un spectacle ridicule.

Et soudain il se tut.
Il eût été impossible de préparer mon esprit à l'entendre gémir comme une femme.
Plusieurs secondes. Minutes ?

D'un seul geste, elle descendit mon caleçon en-dessous de mon sexe pubère de quatre pouces et demi.
Léo ouvrit des yeux rouges et exorbités de substances, n'osant les poser plus bas, il se contenta de les fixer sur mon visage désemparé.

C'est là que les choses deviennent floues, je pense que j'ai du flirter avec l'évanouissement. De fatigue, de chaleur, d'ivresse, de stupéfiants, et d'émotions.
Je n'ai que deux souvenirs précis et indélébiles :
1. Ses mains maladroites écartant sa culotte puis tenant mon embryon de vît pour caresser son embryon de clitoris et l'entrée de son embryon de vagin ;
2. Mon réveil à l’instant où j’éjaculais contre elle. Elle sortit brutalement, cul nu, pour s’essuyer et revint immédiatement presser mon érection encore indemne et lécher la moindre goutte qui pouvait en sortir.

Léo s'était retourné, gêné, encore plus physiquement incapable d'intervenir que moi, il s'était peut-être lui aussi endormi, je l'espère.

Le soir venu, de retour chez Léo, la descente. La prise de conscience. D'une, c'était la toute première fois que j'avais des relations - presque - sexuelles avec une . De deux, il a fallu que ce soit avec elle.
Léo sentit que ça n'allait pas fort après coup et me dit qu'Agnès était selon lui un peu dérangée. Elle brutalisait les animaux, crachait sur les gens qu'elle n'aimait pas, ne savait toujours pas lire, etc. Mais ce n'était pas tant ce qu'elle avait fait que ce que je n'avais pas fait.

Plus tard, David nous apprenait que son oncle était condamné pour abus sexuels sur la de sa compagne pendant des années... Il ne m'a pas fallu deux secondes pour supposer qu'Agnès en avait été une victime, et David de confirmer mes soupçons en tirant une grimace et des larmes de rage. Je n'ai jamais eu le courage d'avouer cette histoire à qui que ce soit, Léo est muet comme une tombe à ce propos. Je n'ai revu ni David ni Agnès depuis cette époque. Je me suis longtemps senti souillé d'être une cause ou une conséquence de son traumatisme.

Aujourd'hui il n'en reste rien, je ne me sens plus aussi coupable car je ne suis plus aussi faible et indécis.
Étrangement, j'assimile cette expérience à une relation dominant-soumis, en tout cas c'est en partie grâce à cela que je l'ai intégrée comme part de mon identité, de mes désirs. Il était inéluctable que le fait de vivre avec tout ce passif me conduise à des tendances pédophiles dans le sens où, ayant eu une sexualité à un âge précoce, j'ai sexualisé les individus autour de moi dès leur enfance. Des camarades de classes, des voisines, des cousines, je ne les voyais pas simplement nues dans mes fantasmes comme la plupart des autres , mais je projetais évidemment sur elles tout ce que je connaissais déjà des actes et des plaisirs charnels. J'ai donc grandi en voyant tous les autour de moi comme pouvant eux aussi avoir une sexualité précoce et être l'objet de ma sexualité.

Je ne me vois pourtant pas comme un déviant. L'intelligence y fait pour beaucoup. La même intelligence qui me pousse à ne pas harceler une dans la rue, m'a permis aussi de ne pas intervenir dans la sexualité des en tant qu'adulte. Car avec l'âge et la maturité, l'excitation basse et primaire s'est effacée mais il reste au fond de mon esprit, comme un vieux papier-peint jauni mais aux motifs encore distincts, une concupiscence irréductible. Des silhouettes sauvages se forment malgré moi dans mon esprit et le fouet de la raison les tient en enchaînées dans leur ignominie.
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Anecdote sexy 7 : Pattes blanches
Publié :19/1/2016 17h38
Dernière mise à jour :14/1/2022 17h38
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Dépucelage -8 ans

Alors dénué de toute sexualité, que ce soit à propos de mon expérience ou bien de ma relation à la gente féminine, j'avais encore moins imaginé la possibilité d'avoir des rapports avec un autre homme - si ce n'est cette nuit étrange où l'un de mes cousins au second degré, alors âgé de 8 ans et d'un an mon aîné, essayait d'insérer en moi sa mince protubérance érectile.
Même si j'aimais ça, je n'ai jamais été vraiment doué pour le roller, et pourtant j'en ai pratiqué toute mon enfance et mon adolescence. Si bien que lorsqu'un autre cousin, Peter, aussi fier de son permis que de sa voiture, tous les deux nouvellement acquis, me proposa un spot aménagé pas loin de chez lui, je n'y réfléchis pas à deux fois. J'enfournai mon paquetage de derby dans un sac et nous étions partis.
Casque, protèges-poignets, coudières, genouillères, protèges-tibias ; engoncé dans une telle armure, il n'est pas aisé d'évoluer librement sur un run fait de palettes et de cartons. Fort heureusement, nous n'étions que deux sur les lieux isolés, aucun témoin des chutes et pertes d'équilibre.

Au bout de deux bonnes heures à tenter de tordre les lois de la gravité, il m'invita à me désaltérer, et ce paquet de biscuits n'était pas malvenu. Assis contre le mur, il ouvrit son sac pour se saisir de la bouteille d'eau et j'y aperçus la couverture, pour le moins révélatrice, d'un magazine. Je crois me rappeler qu'il s'agissait d'un numéro d'Entrevue que je lui demandai sans aucune gêne de me montrer de plus près. Il m'indiqua alors une grande palette appuyée contre le mur et recouverte d'un carton pour que nous nous dissimulions côte à côte d'éventuels regards et une expérience récente me revint à l'esprit. Quelques mois auparavant, avec deux de mes amis, nous nous étions planqués dans la carcasse d'une R5 abandonnée et l'un d'eux nous convainquit de nous essayer à la masturbation (chacun pour soi, bien évidemment, eux comme moi, ça ne leur venait même pas à l'esprit).

J'étais donc simplement surpris plutôt que choqué lorsque mon cousin défit la ceinture de son pantalon et commença à se caresser tandis que je tournais les pages centrales de seins, de fesses et de chattes d'une starlette sans pudeur de l'époque. La libido et les hormones ne tardèrent pas à me faire l'imiter, ces mêmes hormones qui ne me laissèrent pas beaucoup de temps pour prendre le temps. Ce jeune corps s'excitait bien trop vite.
C'est là, à ce moment, qu'advint le véritable choc, si imprévisible et évident à la fois, car Peter, de son autre main, avait saisi et entamé de remuer mon sexe, déjà trop gorgé de sang pour débander et encore moins pour me retenir quand il colla sa bouche autour de mon gland et entreprit de me tailler ma première pipe. Et puis merde, trois secondes avant d'en mettre plein la vitrine, vous auriez fait quoi vous ? Il recula sa tête juste avant que je... oui, sur ma main hâtée autour de mon gland.
Et j'étais encore étourdi qu'il amenait cette même main à empoigner son sexe tremblant, et tout en me serrant les doigts et le poignet de ses deux mains pour que je ne faiblisse pas ma prise. Il secouait fébrilement l'étreinte de haut en bas puisqu'il vint lui aussi assez rapidement.
Quelques secondes seulement après avoir recouvert ma main déjà "usagée" de son sperme brûlant, il la porta à ses lèvres et lécha tous mes doigts, ma paume ainsi que le dos de ma main pour ne pas laisser la moindre goutte de nos deux semences mêlées.

Fort heureusement, nous n'étions que deux sur les lieux isolés, aucun témoin des chahuts et pertes de fluides.
C'est un sentiment étrange, de se sentir coupable pour avoir fait une chose agréable, de se sentir bien alors qu'on nous a fait une mauvaise chose.

J'avais onze ans. Ce n'était que la première fois.

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Anecdote sexy 6 : Les quatre sens de la nuit - II
Publié :12/6/2014 15h21
Dernière mise à jour :7/8/2016 17h34
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Dépucelage +2 mois.

Sissy avait donc quitté la fête vers minuit, me laissant pantelant, pantalon sur les chevilles, presque, les ‘nerfs’ à vif et avec la sensation de manque d’un toxicomane dans un commissariat de police.

Je ne cessai d’agiter la main que lorsque la voiture de son père disparut dans le paysage. A mon retour dans la salle des fêtes, mes amis avaient monté le volume de la sono au maximum et il se passa bien deux heures avant que nous nous fussions lassés de nous exciter sur la piste. La fête se finit avec la fatigue et la promesse du lendemain tout aussi festif, chacun s’aménagea un coin pour dormir, qui sur les tables, qui derrière le bar, qui dans la remise. J’avais, en vain, apporté deux duvets jumeaux que j’avais joints afin de pouvoir loger deux personnes. En bon excentrique et fanfaron que je suis, j’installai mon couchage au beau milieu de la salle, c’était aussi plus facile pour parler à tout le monde, car bien que nous nous fûmes couchés, le sommeil tardait à venir.

La compagnie s’était enfin faite silencieuse et les seules lueurs des éclairages lointains de la voirie dessinaient des contours à peine visibles. Il eut fallu qu’elle fût une véritable chatte pour traverser sans bruit le corridor obscur de tables, de chaises et de corps somnolents. Je retins un cri de frayeur lorsque les plis de mon duvet se soulevèrent à côté de moi et que, sur-amplifié par le goût de l’interdit, le sifflement de la peau glissant sur le rectangle de polyester résonnait dans le vide de la nuit. Je ne fus certain que ce fut Solène que lorsque, allongée sur le flanc, elle passa un bras dans mon dos pour se coller contre moi et recommencer là où elle s’était arrêté plus tôt dans la soirée : me pincer les lèvres avec les siennes.

Nus sous le duvet, nos mains étaient nos yeux.
Clarifiant dans la foulée la nature de ses intentions, elle commença par enlever son t-shirt et sa culotte.

La chaleur de nos deux corps serrés entre deux épaisseurs de ouate et emportés par nos cœurs trépidant fit que nous fûmes très rapidement en eau. Elle s’était ainsi agglutiné à moi que son corps était en contact avec tout ce qu’il pouvait de mon corps, et ses baisers se firent violents, profonds, elles avait faim et soif. Elle me mordait, maintenant.
Ses hanches et ses épaules poussèrent les miennes pour que je m’allonge sur le dos. Elle se voûta pour glisser plus bas, et de ce que je sentis des effluves brûlantes provenant de sous le duvet, elle remonta me faire ce commentaire à l’oreille :

« Dis-donc, toi ! Tu as compté fleurette à Sissy tout à l’heure ? C’est elle que je sens sur toi ? »

J’étais jusqu’alors paralysé par la hantise de tromper Sissy, et la rappeler au premier plan de mon esprit me résolut à mettre un terme aux petits jeux de Solène. C’est pourquoi je lui saisis le poignet au moment où elle redescendait perpétrer son forfait. Elle approcha son visage de ma main serrée et entama une libération lascive de mon étreinte en suçant goulûment chacun de mes doigts. Après quoi, elle se rua sur la honte que j’avais, je l’avoue, dure et forte. Ma résolution vaincue.

Elle était grande débutante, aussi son inexpérience était telle que je pus tenir jusqu’à ce qu’elle ne supporte plus la chaleur étouffante. Ma conscience se battait encore, j’espérais qu’elle arrêterait, je mourais d’envie du contraire. Et elle nous fit glisser en travers du duvet, l’ouverture sur notre flanc, moi toujours sur le dos, elle assise sur mon visage. J’aurais juré être rouge de honte et d’excitation mais même la lumière du jour n’aurait pu l’éclairer tant je m’enfonçai avec voracité entre les plis humides de sa jeunesse. Je la buvais, à pleines gorgées. Un index, un majeur, ensemble insérés en elle devaient la faire jouir dans la minute, mais le silence qu’elle s’efforça de garder m’obligea à poursuivre un bon quart d’heure avant qu’elle ne me supplie, haletante, d’arrêter.

Je n’avais toujours pas joui !

De retour dans la position convenable à adopter dans un duvet, pour autant que nos actions fussent convenables, elle me tourna le dos pour remettre son t-shirt. Je la retins d’une main posée contre son ventre puis, dans la même paire de secondes, levai sa cuisse et m’introduit en elle. Elle lâcha son premier soupir, et la peur d’être découverts nous glaça les sangs. Ces quelques minutes à guetter les bruits autour de nous alors que nos corps bouillaient d’extase sous les mouvements de mon sexe, s’enfonçant le plus lentement et le plus profondément possible en elle, annihilèrent la demeure de ma raison. Je pris pleinement conscience que je jetais ma fidélité aux orties et paradoxalement, le plaisir ne fut que plus intense à l’idée imminente de déverser tout mon stupre en une partenaire illégitime, . Je jouis en elle d’un orgasme contrôlé mais débordant, fort et déboussolant.

Elle se retourna et m’embrassa longuement. La pénombre ambiante me permit tout de même de voir couler sur ses joues le sel de son baiser. Elle se saisit de ses effets et s’enfuit pour de bon.
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Fantasme - Elle, lui et moi - hard : Une joue après l'autre
Publié :30/4/2014 15h25
Dernière mise à jour :12/7/2016 19h01
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Lui s'allonge sur le dos et je m'immisce en lui en un seul lent mouvement jusqu'à sentir autour de la base de ma queue les rebords lubrifiés de son anus. Je vais si profondément dès le début qu'il lâche un râle puissant. Mon bassin oscille maintenant d'avant en arrière, pour l'habituer à ma présence en lui. Puis, restant au fond de lui, j'accélère progressivement. Je sens mon gland passer et repasser sur des parties de son corps qu'il ne connaît pas lui-même. J'appuie mes assauts. Je prends plus de recul, je le pénètre plus vite, et je prends décidément son cul sans ménagement.

Au plus fort de nos gémissements, elle vient s'allonger sur lui et chacun d'eux commence à flatter de sa bouche le sexe de l'autre.

Il s'écoule peu de temps avant avant qu'il ne se délivre dans la gorge de Madame et, pris des mêmes spasmes de plaisir, j'inonde le visage de Madame.
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Anecdote sexy 5 : Les quatre sens de la nuit
Publié :29/4/2014 20h51
Dernière mise à jour :14/1/2022 18h15
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Dépucelage +2 mois.

Une amie du lycée, Solène, nous avait invités à fêter ses 18 ans en grandes pompes, sa mère avait loué la salle des fêtes la plus proche de chez elle.

Apparte : vous verrez ― peut-être ― plus tard que beaucoup de choses me sont arrivées dans des salles des fêtes.

La fête était déjà très avancée et j'avoue que je ne me souviens plus de tous les détails, seulement de l'essentiel. Solène et moi avions été très proches au lycée. Elle avait à l'époque décidé de faire une pause avec son copain et s'était isolé dans les cuisines. Me doutant que ça n'allait pas fort, Sissy et moi vinrent panser ses blessures. Le temps d'évoquer le pourquoi du comment de la rupture, Sissy se lassa et retourna auprès d'une compagnie plus enjouée. C'est alors que, jouant avec mes mains, Solène commença à m'avouer qu'elle avait récemment eu une liaison avec le frère de son ex, qui était présent à la fête.

Je lui donnai simplement mon avis : tant que cela s'était passé après la rupture, elle n'avait pas à se sentir coupable, même si ça allait forcément générer quelques tensions fraternelles. Mais son attitude changea du tout au tout dès qu'elle me tint ces propos :
"Mais... en fait... je veux dire, j'ai que 18 ans, toi t'en as 19, on est jeunes ! On n'a pas l'âge de se caser pour de bon. Toutes ces conneries, ça m'a ouvert l'esprit... et l'appétit."
Profitant de ma confusion, elle se pencha d'avantage vers moi pour saupoudrer mon cou de baisers humides et continua jusqu'à pincer mes lèvres avec les siennes.

J'aimerais préciser qu'à l'époque tout allait plus ou moins bien dans mon couple et je n'avais donc aucune raison de céder aux avances de Solène. C'est pourquoi il ne me fallut que deux voire trois instants pour l'interrompre. Je m'enfuyais sans un mot hors des cuisines pour me réfugier dans les bras de Sissy. Je cachai tant bien que mal mon excitation en lui proposant de sortir nous balader dans le bois tout proche, contempler les rayons de la lune percer à travers le feuillage.

Sissy portait un haut à bretelles vert forêt et un blue jeans tout à fait banal. Mais mon humeur et l'idée, maintenant presque palpable, d'abandonner toute pudeur au milieu des bois la rendaient plus sexy que jamais.
Au détour d'un sentier, je tirai sensiblement sur sa main pour la faire s'arrêter à mes côtés et je passai mes doigts dans les cheveux de sa nuque pour lui donner un baiser explicite. Lentement, nos langues caressaient les lèvres de l'autre, puis se caressaient entre elles, mais sa bouche demeurait à demi close. Je lui saisis doucement une poignée de cheveux pour incliner sa tête en arrière et glissai mon autre main sur son ventre pour déboutonner son jean, puis remontai vers ses flancs, son dos, je dégrafai son soutien-gorge et continuai mon chemin le long de son échine en redescendant vers le creux de ses reins. Sensible à mes caresses, elle se tordait en tous sens et soupirait de plus en plus fort jusqu'à ce que ma main agrippant et écartant fermement sa fesse désormais nue ne lui fasse enfin ouvrir la bouche de surprise. J'en profitai pour l'adosser contre un tronc d'arbre, mes jambes entre les siennes, et lover ma langueur autour de la sienne.

Cela ne faisait que quelques temps qu'elle avait enfin osé approcher ses petites mains de cette verge qui était entrée en elle tant de fois. Aussi dus-je prendre moi-même l'initiative de déboutonner mon pantalon. Pourtant, lorsque j'eus arpenté le seuil de son jardin secret pendant de longues minutes, elle jeta un bras dans son dos pour atteindre mon gland et le guider en elle. J'étais étonné, ravi et troublé par la sensation si soudaine de sa chaleur exquise embrassant quatre de mes sens. Je la touchais, la sentais, la goutais et l'entendais. Mes doigts avides se placèrent de part et d'autre de ses lèvres écartées. Elle était si petite que je devais légèrement fléchir les genoux. Et encore ! Mon membre gonflé allait en elle quasiment à l'horizontale, je sentais son clitoris ! Et mon gland pressait si fort l'arrière de son sexe que mes doigts sentaient son anus gonfler à chacun de mes assauts. J'aventurai la pulpe de deux doigts à l'entrée de ce jardin encore plus secret, appuyant comme pour frapper à la porte. Son corps ondulait de plus en plus fort si bien qu'elle finit par forcer involontairement le chemin de mes doigts en elle et les spasmes qui la secouèrent les firent entrer et sortir si rapidement que dans les quelques secondes, Sissy m'étreignit de toutes ses forces et poussa un cri étonnamment rauque et sauvage de la part de sa petite voix étouffée, de douleur, semblait-il, mêlée d'une longue et violente jouissance.

Mon cœur tambourinait, je transpirais de toutes parts, mes muscles me tiraient et je cherchais mon souffle. J'étais plus qu'heureux de l'avoir fait jouir aussi fort, la nuit, dans les bois. Seulement, je n'avais pas joui. Et la tension était toujours en moi.
Sissy se rhabilla et téléphona à son père pour partir avant que les conséquences de ses émois ne finissent par subir les effets de l'attraction terrestre.

Pourtant, après son départ, la nuit me réservait encore quelques surprises...
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Fantasme - Elle, lui et moi - hard : Trinité
Publié :26/4/2014 20h02
Dernière mise à jour :12/7/2016 19h00
9556 vues
Lui et moi sommes assis face à face, nos jambes écartées se chevauchent afin que nous ne nous gênions pas. Elle vient s'assoir entre nous, me tournant le dos. Elle se saisit de sa verge et la laisse entrer doucement. Une première fois emplie profondément, elle se redresse pour attraper mon sexe cette fois, et commence à le presser contre l'entrée soigneusement préparée de son anus.

Pour ajouter au plaisir – car il n'y en a jamais assez – avant qu'elle ne nous ait rejoint, lui et moi nous sommes relié l'un à l'autre. L'un comme l'autre avons fait pénétrer chacun l'extrémité d'un même double dong qui suit et ajoute au délice de la scène.

Chaque mouvement est une onde qui parcourt nos trois corps transpercés de plaisir.
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