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Mon dernier samedi à Lyon
Publié :5/12/2016 13h04
Dernière mise à jour :15/5/2024 3h25
802 vues
Ce dernier samedi, c'était le premier du mois de décembre et comme tous ces premiers samedis du mois je vais faire mon tour à Lyon, ma ville natale que je connais bien.
J'ai jeté depuis longtemps mon dévolu sur le meilleur endroit de drague que je connaisse à Lyon et qui, je crois a été fait pour moi.
Edouard le gérant est toujours ravi de me voir, et c'est pareil pour moi. C'est devenu un ami. Un type super dont, vous le savez, je regrette qu'il soit Gay.
Il m'a ouvert en grand sa boutique et je peux y évoluer comme je veux.
Comme à mon habitude je m'étais faite belle. Le matin j'étais passée chez ma coiffeuse et chez ma manucure.
Habillée comme la bourgeoise que je suis dans mon manteau fourrure faux lapin qui me permet d'être à l'aise en dessous pour n'avoir qu'un body noir à manches longues qui met en valeur mes petits seins 100% naturels que les hommes adorent et qui me donnent cette silhouette féminine et élancée, soutenue par mes longues, fines et sexy jambes que j'avais habiller d'un collant chair. Des escarpins noirs velours à talons aiguilles me donnent la démarche de la femme parfaite et relèvent l'ensemble, les affinant encore plus. Une jupe courte écossaise fermait mon bassin en mettant mes fesses en valeurs.

Arrivée dans la boutique nous sommes restés Edouard et moi une petite heure à papoter sur nous, autour d'un café. Le temps de voir les défiler au comptoir, prendre leur ticket pour louer les cabines de l'arrière boutique ou bien pour avoir un ticket pour la salle commune de projection publique.
La boutique d'Edouard est un sexe shop et il n'entre dans le fond que ceux qui savent ce qui s'y passe.
Après avoir constaté que les étaient toujours plus nombreux, et avoir même reconnus certains habitués qui j'en suis sure savent que je venais ce jour là, je décidais enfin de m'introduire dans l'autre monde.
Au départ je me sentais un peu fatiguée de toute la route que je dois faire pour revenir chaque dans ce lieu d'extase et qui met la distance à 300 km de mon nouveau chez moi. J'ai déménagée il y a peu dans le sud de la France pour mon travail qui m'épanouis.

Je laissais à Edouard mon sac et mon manteau et je m'engouffrais derrière les grands rideaux qui protègent l'accès à l'arrière boutique.
J'avais l'intention de dormir sur les fauteuils moelleux du cinéma et de me laisser caresser pendant que je reprenais des forces.
En fait les choses ne se sont pas passées comme cela.

Dès que j'entrais dans la salle de ciné toute l'atmosphère se posa sur moi. Les regards au travers de la pénombre se fixaient dans ma direction.
J'eu l'impression que le film lui même s'était mis en muet. Je compris immédiatement que je n'aurai pas de repos aujourd'hui.
La porte de la salle se refermait à peine qu'une main s'engouffrait sous ma jupe pour tâter directement mon entre-jambes, tandis qu'une autre me prenait le bras.
Je me laissais faire et je fus emmenée vers le fond de la salle. Quatre mètres à peine avaient suffit pour que je ne puisse plus bouger.
Je n'avais aucun appui sinon les six ou plus hommes qui m'entouraient et me touchaient assez frénétiquement pour tenter de me déshabiller.
Je pris appui sur l'un d'eux. Je voulais les aider et surtout je ne voulais pas trop froisser ma jupe que je m'apprêtais à enlever tout en me demandant comment faire puisque je perdais sans cesse l'équilibre dans cette gentille bousculade dont j'étais la cause.
Mais l'homme qui devait me servir d'équilibre me pris la main et avec son autre main il pris ma nuque et me signifiait que je devais m'occuper immédiatement de sa queue.
Finalement ma jupe n'allait pas avoir de problème car en même temps dans ma chute organisée on la souleva et j'ai juste eu le temps avec ma dernière main restée libre d'aider ceux de derrière en leur montrant où était le haut de mon collant par lequel ils auraient leurs désirs satisfaits.
Je voulais aussi protéger mes vêtements. Les hommes ne se rendent pas compte du prix d'un simple collant, mais ils aiment les déchirer, lol.
La dernière fois mes habits avaient soufferts de la fougue masculine de groupe. Je dois dire qu'avoir plusieurs hommes excités et savoir que je serai à eux me donne une envie terrible d'abandon. Je sais que je ne suis qu'un sex-toy pour eux, mais en grandeur nature je suis le sex-toy le plus désirable du magasin.
Je me retrouvais donc avec, dans la bouche, un gros sexe bien dégagé et très bon d'emblée, dès que je l'ai eu dedans.
Parfois je mets un moment à m'habituer à des sexes qui ne me correspondent pas du premier coup. Je dois parfois les apprivoiser, les reconnaître et m'y habituer avant de commencer à avoir un certain plaisir de m'occuper à lui faire plaisir et commencer à mon tour à fantasmer sur elle, mais avec queue là je me suis mise à l'aimer tout de suite.
Si bien que je ne m'occupais pas trop de ce qui se passais derrière.
Pourtant je peux vous dire que j'ai senti du foutre se répandre sur mes fesses et ma raie. Celui là, trop rapide, ou bien poussé par les autres à laisser la place n'a pas eu le temps ou le courage de me pénétrer. Mais après lui, je sentis des doigts froids et gluants me tartiner l'anus et je compris qu'un autre avait trouvé la bonne solution parce que immédiatement après je sentis une queue s'enfoncer facilement dans mon intimité et me labourer tranquillement.
Les choses étaient installées. J'avais une queue dans la bouche que je m'appliquais à aimer du mieux possible, tout en relaxant mon bassin pour laisser celles qui à présent défilaient dans mon derrière.
Des mains qui sortaient de je ne sais où me traitaient les seins. Du haut, du bas ou de sur les côtés, elles s'évertuaient à avoir un part de mes fruits. Une autre main de donnait des claques sur une fesse. Encore une autre cherchait mon gros clito pour le masturber.
Dans ces moments qui peuvent durer longtemps j'ai parfois l'impression d'être en apesanteur et il est vrai que des fois tous ces hommes trouvèrent facilement la force de me soulever.
L'homme qui avait sa queue dans ma bouche appréciait. Il l'avait raide et était rasé, c'est appréciable.
Je m'efforçais avec ma langue de bien lui caresser le frein tout en vérifiant si de son méat sourdait un peu de liquide.
La fellation pour moi est un plaisir divin. C'est merveilleux de pouvoir sentir dans sa chair le plaisir que l'on peut donner et quand vient la jouissance que vous attendez alors vous avez toute cette récompense qui vient inonder votre bouche et vous ne pouvez faire autrement qu'avaler ce sperme si vous voulez continuer à sentir le plaisir de la queue qui vous donne sa jouissance et se déverse en vous. C'est le meilleur moment.

Lui n'en était pas là. Il pris ma tête entre ses mains et, dans un désir d'autorité je pense, me ficha le visage contre son bas ventre, pour m'étouffer je pense.
Il a du se dire que je devais être distraite par mes amants de derrière. Il faut dire que celui qui me masturbait me faisait un peu mal et j'étais obligée de faire des coups de reins pour essayer de contenir cette main trop farouche, ce qui bien sur n'avait aucun effet sinon celui d'avoir droit à être maintenue plus fermement par derrière et quelques claques plus appuyées sur mes fesses.
En me prenant la tête l'homme de devant me dit : "t'occupes pas des autres, occupes toi de ma queue salope".
Voilà j'avais ce que j'étais venu chercher. Du sexe et de la chaleur masculine !
Pour ce moment la suite a peu d'importance. J'avais une belle queue dans la bouche et quelques unes derrière. Au bout d'un moment, les hommes s'étant soulagés, ils se retiraient pour partie et me laissait un peu plus de liberté. Celui à qui je faisais la fellation se retira sans jouir et s'écarta. Un espace s'ouvrait vers un fauteuil où je pu assez difficilement, avec un peu d'insistance, m'installer, me vautrer en quelque sorte. Mon collant et ma culotte étaient mis aux genoux. La jupe retroussée et les seins à l'air je m'affalais dans le fauteuil en espérant pouvoir fermer les yeux un moment.
Pas longtemps, et même pas je dois dire. Les deux sièges de chaque côté de moi s'occupaient déjà et de nouvelles mains en profitaient pour me caresser là où la peau n'était pas recouverte.
Je mis mes jambes en l'air pour avoir le soutien du dossier de devant et bien sur cela allait profiter à celui qui, voyant arriver de belles jambes terminées par des escarpins aiguilles, se mis aussitôt en charge de les embrasser.
C'était reparti ! mon voisin de droite me pris la main pour que je m'occupe de sa queue, celui de gauche me soulevait une cuisse pour fouiner mon trou avec ses doigts, avec l'aide à présent de celui qui était devant et qui glissait son bras entre les sièges pour visiter mon entrejambe. Derrière mon siège des mains venaient encore sur mes seins tandis que d'autres m'invitaient à tourner la tête contre le dossier afin d'y découvrir des queues, offertes entre les montants des sièges mais que je ne pouvais atteindre.
Mon voisin de gauche s'était levé et me masturbait. Je le voyais viser mon sexe et y faire tomber de bonnes gorgées de salive dans le but réussit que ça glisse mieux entre sa main. En même temps il marmonnait des mots que je n'arrivais pas à entendre clairement dans le bruit de fond des corps qui bougent et par dessus la bande son du film qui laissait entendre l'extase de l'héroïne en train de se faire prendre sur la toile.
A un moment il sorti sa queue et se masturba frénétiquement. Il la posa sur mes lèvres et les tapotait avec. Je lui offrais mon visage, je ne savais pas s'il voulait que je le suce.
Il était sur le point de jouir et me le fit comprendre par ses râles qui se mirent à dominer le bruit de fond. Je devais ouvrir la bouche pour l'honorer de sa jouissance. Juste à temps pour recueillir avec surprise une énorme quantité de foutre. Son orgasme n'en finissait pas et son foutre tombait en grande partie autour de ma bouche, le menton et dans mon cou. J'essayais de lui lécher le dessous de sa queue mais lui s'en foutaient, il voulait jouir sur mon visage. Je goutais ce breuvage étonnant de quantité avec ma langue avide. Curieusement son sperme n'avais pas beaucoup de gout mais c'était impressionnant. Là je fus entièrement satisfaite et je laissais alors les autres se débrouiller seuls avec le reste de mon corps qui était dans leur champ d'action.
Je voulais profiter de ce foutre alors je ne bougeais plus. Surtout pas les lèvres. Pendant un moment je ferma les yeux et je pense que je me suis endormie un instant parce que quand j'eu bougé les lèvres toute la peau alentour était tirée comme peut le faire un masque à l'argile. Le sperme avait séché et je me rendis compte que j'en avais beaucoup sur mon visage.
Il ne restait qu'un seul homme à côté de moi qui s'occupait gentiment de mon clito. Le temps n'existait plus, j'ai dû m'assoupir.
Je restais encore un long moment sur place, les hommes venaient s'assoir à côté et profitaient de la belle voisine qu'ils avaient. Je me reposais.


Je sortis de la salle pour rejoindre mon Edouard. Il était 18h30.
Quand il me vit il mis une main sur sa bouche en disant : "Oh quelle horreur". Il faisait allusion au sperme sec qui fardait la moitié basse de mon visage.
"Houlà oui, tu as raison je dois être affreuse. Je vais me rincer attends".
On a fini l'après midi avec Edouard qui commanda une pizza et des moelleux chocolats.
Je quittais mon ami et Lyon il était 19h30 et au premier parking sur l'autoroute je me suis enfin endormie dans ma voiture, épuisée mais ravie de cette belle journée.
Léa
2 commentaires
Ma Vie de Femme :
Publié :1/11/2016 5h21
Dernière mise à jour :7/11/2016 13h05
1071 vues
C’est fait ! Je suis embauchée au féminin, au nom de Madame Léa.
Cela fait drôle de lire un contrat d’embauche dans lequel on vous nomme au féminin, et cela me donne une intime sérénité apaisante. Un bonheur intensément calme. C’est bien ainsi que je veux vivre. Dans cette sérénité.

Mais je prends conscience que maintenant l’inconnu commence. Un nouveau monde s’ouvre devant moi. Je n’ai pas peur de cela. Car c’est le même monde mais il va me voir et me juger différemment comme moi je vais le vivre différemment. Plus profondément. Je n’ai pas peur de cela. Car maintenant je suis moi-même. J’espère être à la hauteur.
Tout le monde m’appelle Léa et les filles sont des copines de même sexe, avec lesquelles je partage jusqu’à nos témoignages sexuels. Je fréquente leur intimité, leurs vestiaires, leurs toilettes, leurs secrets de femmes. Même les petites filles me bénissent de leurs sourires célestes, alors que déjà les petits garçons restent neutres ou sont gênés (c’est plus tard, lorsqu’ils devront affirmer leur masculinité, spécialement auprès des filles mais aussi auprès de leurs camarades, qu’ils transmuteront leur gêne enfantine en une agressivité d’adulte. Cette agressivité peut tout à fait être compatible avec un désir pour ma personne, et ce désir sera alors violent. J’aurai l’occasion de revenir sur cet aspect comportemental et tenterai de vous l’expliquer).
1 commentaire

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