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Suite 1
Publié :21/8/2012 7h50
Dernière mise à jour :21/8/2012 7h53
14543 vues
Le microsillon est fini. Nous essayons, François et moi, de faire un duo pour tomber la chemise. Je joue avec la cravate, François avec sa veste. Mais on voit bien qu'il souffre, qu'il est coincé. Et moi, avec cette culotte qui menace de descendre à chaque instant, je ne vaux guère mieux.
***

Maintenant, c'est au tour des femmes d'enlever le haut. Et là, elles ne peuvent plus nous gruger.
Isabelle déboutonne son chemisier avec langueur. Élodie nous fait attendre pour descendre la tirette de sa robe. Pour ôter l'un et l'autre, elles jouent des épaules. Les sourires soulignent chaque étape. Des regards profonds appuient les gestes. Je m'assoie pour au moins coincer sur l'arrière, cette culotte de moins en moins adaptée. Je croise les jambes pour retenir mon vif de plus en plus encombrant. François bée , je le vois comme « Le » loup libidineux des dessins-animés. Mais je ne dois pas avoir meilleure façon. Je ne sais pas comment elle a fait, mais la robe est roulée sur la taille et tient encore sur les hanches. Les hétaïres en soutien-gorge noir et bleu clair nous subjuguent, nous dominent, nous écrasent, nous cloue sous leurs charmes.
Élodie, la femme de François, vient m'aguicher son décolleté sous le nez en se penchant vers moi. Elle me regarde dans les yeux, ses mains papillonnent tout près de ma poitrine et de mes cuisses. Mes aïeux ! Je ne sais plus où regarder : des yeux, du sourire carnassier, de cette gorge offerte ou des mains. Elle m'allume ! Élodie, la femme de François me vampe. Je suppose que mon Isabelle fait de même avec lui ; mais je n'ai rein vu, je ne peux donc rien lui reprocher.
Élodie passe ses mains dans son dos et dégrafe le sous-tif. Mais elle le retient des aisselles. Les bretelles glissent lentement sur ses épaule rondes et lisses. L'une après l'autre. Et toujours ce sourire. Et toujours ce regard au plus profond de moi. De légères rotations de la taille branlent ses seins sous mon nez. Les chaires à la fois molles et fermes s'agitent, là : À portée. Quand mes mains bougent pour toucher ces trésors, Élodie se relève prestement hors de portée. Et dans un rire diabolique
- Mon coco, c'est pas pour toi !
Et dans un geste désinvolte, elle tend son soutien à François tout en, de son autre main, me faisant lever. Elle me pousse vers Isabelle qui m'enfonce dans la main son sous-tif. Une Isabelle amazone, fière et droite, conquérante et impudique, comme jamais je ne l'avais vue. J'ai tout juste le temps de rajuster par derrière et de mon autre main cette maudite culotte trop petite.

François a déjà enfilé le soutien d'Élodie. Il essaye désespérément de l'attacher. Il sautille d'un pied sur l'autre. Il grimace. Voilà qu'un des côté vient de lui échapper, l'élastane se détend et vient lui fouetter le coude replié dans son dos. Il peste. Il se tourne d'un côté et d'un autre. Comme si cela pouvait l'aider. Mais ça à l'air compliqué. Je luis fait :
- Bouge pas, ma biche ! Je vais t'aider.
Et de lui agrafer son soutien-gorge. Et même de lui ajuster sur le devant. Je comprends qu'il ait eu du mal. Il me faut tirer passablement pour l'attacher et pour le détendre suffisamment pour l'ajuster. Un 85 C ! ça a beau paraître grand, ça ne suffit pas pour le tour de dessous de poitrine d'un 40 mâle. Les femmes assises sur nos chaises, poitrines à l'air, aréoles rétrécies et tétons dressés, n'en perdent pas une miette.

Instruit par cette expérience, je me drape le soutien-gorge bleu clair autour de la taille. C'est bien comme ça qu'on dit : draper ? Et je tourne le dos du machin sur le ventre pour l'attacher.
- Tu nous gâches le plaisir ! Me fait mon Isabelle, sur le ton qu'elle prend pour revendiquer que c'est mon tour d'assumer l'une ou l'autre des tâches ménagères. Je sais qu'il n'y a pas à discuter. On touche à un fondamental de la militante. J'obtempère. Mais à ma manière.
Je lance le truc aussi haut que le plafond le permet. Mais il me redescend pendu dans sa longueur. C'est pas équilibré un soutien-gorge, il y a un côté plus lourd que l'autre. À cause des agrafes. Je le réceptionne à la manière des majorettes, sur un doigt. Pour le relancer aussitôt. Et là je le laisse redescendre jusqu'à ma hauteur. Et je plonge à l'horizontal. J'enfile mes bras dans l'arceau des bretelles. Et d'un coup de rein, je me redresse pour me réceptionner et amortir le saut dans un accroupi digne des meilleurs gymnastes. En me redressant, je lève les bras au plus haut pour faire descendre le satin et la dentelle sur mes épaules. Là, j'enserre le truc sous mes aisselles et je salue bien bas, plusieurs fois, sous les applaudissements. Les applaudissements d'Isabelle et d'Élodie, mais aussi ceux de François.

C'est maintenant le moment le plus dur : agrafer. J'ai bien vu le mal qu'a eu François. Et j'ai bien senti en le lui attachant. Attacher dans le dos, c'est-à-dire sans rien voir, et avec la tension de l'élastique qui tire dans l'autre sens, ce n'est pas commode. Chance du débutant, j'y réussi assez bien. Pas du premier coup, mais en trois ou quatre essais. Le truc, Messieurs, enfin mon truc, c'est de prendre chaque bout entre le pouce et l'index bien à l'extrémité, au delà des attaches, pas en deçà. D'aucunes m'ont dit que ce n'est pas comme ça qu'on fait ; peut-être bien, mais ça marche ! À partir de là, on peut tirer autant qu'il faut, dépasser la circonférence. Il suffit alors de croiser dans le bon sens qui n'est pas celui auquel un mec est habitué, pour repérer au toucher avec les doigts libres, la prise mâle et la prise femelle. On croche, sans lâcher, c'est important de ne pas lâcher. Et on recommence à tâter des doigts libres, pour trouver le suivant. Recommencer autant de fois que nécessaire, j'ai vu des soutien-gorges avec quatre agrafes. Mais le plus souvent ils en ont deux ou trois.
***

Revenons à la soirée. Mon exploit et sa gloire sont de courte durée. Mes contorsions font que tout à coup, j'ai la petite culotte bleu clair sur les chevilles. Et si mon chibre s'est calmé, il n'en reste pas moins que c'est très embarrassant. C'est le fou-rire qui me gène encore plus.
C'était très bien me fait Isabelle en me collant un bise sur la joue.
Et elle se penche et me rajuste le slip. Enfournant de ses doux doigts, mon service trois pièces. Elle ajuste amoureusement le sous-tif que n'ai pas eu le temps de placer. Et elle me conduit par la main pour m'assoir.
***

Je ne sais pas comment elles font pour supporter ça. Mais les arceaux du soutien-gorge -elles disent des baleines- me font mal aux côtes. Je tire vers bas et ça va un peu mieux. Mais les bretelles me les remontent et j'ai de nouveau mal. Ça j'ajuste les bretelles ! Mais je ne le sais pas encore. Là elles sont réglées pour Isabelle et rien à voir avec mes épaules.
***

Ces dames enfilent nos chemises à la manière du tailleur présentant une veste à l'essayage : Élodie tend ma chemise à ma femme. Isabelle y plonge un bras puis l'épaule, pendant qu’Élodie la lui remonte et l'ajuste dans le dos ; même chose pour l'autre manche ; elle passe alors de face et la lui boutonne ; c'est elle encore qui lui noue ma cravate ; le tout, les yeux dans les yeux, avec un sourire plein de sous entendus. La réciproque d'Isabelle pour Élodie est semblable ; sauf que mon Isabelle est plus grande et son corps masque presque tout ; Du moins de là où je suis.
***

Résumons-nous. Les gars (masculin de garces) sont en culotte de femme et soutien-gorge ; les garces sont en chemise mais ont encore leur jupe ou robe sur les hanches. Il y a comme un déséquilibre ! Un déséquilibre qui va s'accentuer car elles vont mettre nos pantalons respectifs en gardant jupe et robe. Nous n'y verrons rien ou si peu.

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Comment tout a commencé
Publié :18/8/2012 12h19
Dernière mise à jour :21/8/2012 7h51
14428 vues
C'était à la fin d'un diner bien arrosé et très agréable chez un collègue. Il y avait Élodie, sa femme, une petite boulotte espiègle ; François, son mari qui est mon collègue, pas très grand mais assez large, assez bougon sous un fond très attentionné ; Isabelle, ma femme, mince, MLF sans animosité ; et moi, grande gigue excentrique. Je ne sais plus comment on en est arrivé là, mais il a été convenu un échange de vêtements : Les dames mettraient ceux de leurs mecs, les hommes ceux de leurs femmes. J'étais assez émoustillé. Et au clin d'œil de François, j'en déduis que lui aussi. Quant aux dames, l'éclat de leur regard et leur petit sourire coquin auraient dû nous mettre la puce à l'oreille. Avec le recul, je soupçonne ces dames de nous avoir entrainés dans un traquenard. Mais n'anticipons pas.
***

- Allez, Messieurs, passez-nous vos slips et vos caleçons.
François se lève. Et sans gène et sans chichi, assis sur le canapé, il retire chaussures et pantalon.
Pour ma part, ce n'est pas aussi simple. Je me sens assez gêné tout-à-coup. Pour gagner du temps, je me trémousse puis danse. Et pris au jeu, c'est à la manière des effeuilleuses que je me déshabille :
* entrebâiller le pantalon un instant pour tout cacher le plus rapidement possible,
* faire mine de le baisser pour le remettre en place aussitôt,
* jouer longuement avec la ceinture avant de la lancer,
* j'envoie mes chaussures aux deux coins du salon dans une assez bonne imitation d'Elvis.
Ce qui me vaut des youyous et des sifflets approbateurs. Élodie met même un disque d'un rock langoureux. Et c'est dos tourné vers elles en remuant en rythme du popotin que je baisse le pantalon.
* J'en joue telle un fronde,
* puis comme un étendard
* et pour finir comme d'un boa.
François en caleçon, vient me rejoindre. Et c'est en tâchant de nous synchroniser que nous retirons moi mon slip, lui son caleçon.
***

Puisque nos engins sont presque au grade-à-vous,
c'est au pas que nous apportons notre offrande,
c'est dans un « fixe à deux pas » qui aurait réjoui le plus exigeant des adjudants que nous stoppons,
c'est dans une courbette très prussienne et bien raide que nous déposons nos sous-vêtements sur la tables devant ces dames.
Les filles gloussent, pouffent ; elles sont à l'évidence satisfaites. Elles se lèvent et nous gratifient d'une révérence.
Bras dessus, bras dessous, elles pirouettent sur le rythme du disque jusqu'au milieu de la pièce. Et là, elles miment des caresses réciproques, mais à bonne distance ; puis des tentatives pour glisser une main sous la jupe de l'autre, pendant que l'autre s'en échappe ou s'en défend.
Tout à coup, Élodie, tombe à genoux et enserre ceux d'Isabelle. Deux doigts imitant la marche remontent à petits pas vers les hanches d'Isabelle, par-dessus la jupe, pour redescendre lui retirer langoureusement ses chaussures. Pour remonter... sous la jupe. On ne voit rien sinon les bosses que fond les mains sous le tissu, tout est suggéré, c'est superbe ! D'un coup d'épaule, Élodie expédie Isabelle dans le fauteuil et, dans la jupe virevoltante, lui retire prestement son collant. Isabelle alanguie dans son fauteuil, imite la femme repue pendant qu'Élodie toujours à genoux fait tournoyer sa prise de guerre dans un rugissement de lionne. À croire qu'elles ont répété. Quand Élodie se retourne et s'écroule sur Isabelle allongée dans son fauteuil, Isabelle la retient, la relève et la soutient sous les aisselles. Ainsi presque portée dans le dos par Isabelle, Élodie retire chaussures et collant, dans un cancan endiablé. C'est bien. Pas aussi chaud que le précédant, mais c'est bien quand même.
***

Nous, les deux mecs, culs nus et couilles à l'air, nous attendons l'apothéose.
Mais les dames, pour retirer leur culotte, passent simplement les mains sous leur jupe et robe qui cachent presque tout. Bien sûr nous voyons un peu plus que des genoux, mais pas autant qu'on aurait pu l'espéré et que nous l'imaginions. Nous n'en voyons pas plus que lorsqu'elles descendent un escalier ou sortent d'une voiture. Quelle frustration ! Nous sommes refroidis ; ça se remarque immédiatement aux mats qui tombent en berne. Les robes ou les jupes ne sont pas aussi suggestives qu'on le dit ; bien au contraire elles permettent beaucoup de pudeur.
***

Isabelle vient déposer dans mes mains, avec un sourire narquois, une petite culotte en satin bleu clair, pendant que François en réceptionne une noire apparemment beaucoup plus grande.
***

- Allez ! Enfilez-nous ça ! Et avec charme !
Je hume cette culotte dans un sourire et je la passe assis sur la chaise laissée de biais quand nous nous sommes levés. Je me la joue à la vampe passant ses bas : Jambe tendue, tissu remontant lentement, puis ciseaux rapides et de plus en plus amples pour la faire remonter sur mes cuisses. Me relevant, j'essaye de l'ajuster. Mais rien à faire, ça déborde par le bas et sur le devant. Ce n'est pas prévu pour. Il n'y a tout simplement pas assez de place.
Pendant ce temps, François essaye de faire passer la sienne sur ses hanches et apparemment c'est compliqué. Il se tortille, il se dandine, il se déhanche ; mais le truc a du mal a passé. Il m'avouera lundi au bureau qu'il s'agissait dune gainette et si une femme a plus de hanches qu'un homme et si Élodie est gironde, cela a été une véritable torture qui lui comprimait les hanches. Un 38 femme n'a rien à voir avec un 38 homme. Et quand le gus fait du 40... En plus, cela lui écrasait les parties à lui en faire mal.
- Ah non ! Pas comme ça ! Cachez ces bosses disgracieuses !
Il me faut un moment pour comprendre que je dois plaquer ma verge dans le fond de la culotte et non sur son devant. Et, si j'ai été refroidi tout à l'heure, maintenant dépassé le tabou : mettre une culotte de femme, m'excite ; à moins que ce ne soit la douceur du satin ! Toujours est-il que je suis, presque, en forme. Si bien que ce n'est pas facile de me la glisser dans le fond: Et comme il n'y a pas beaucoup de tissus pour la faire tenir sur les hanches. à chaque mouvement, cette petite-culotte, poussée par le bas, menace de descendre. Mais au moins, de cette manière, les testicules ne débordent plus sur le côté. Et il n'y a pas de bosse devant. Mission accomplie.
Quand Isabelle enfile mon slip et Élodie le caleçon de François, on en voit un peu plus qu'avant. Il faut bien remonter la jupe plus haut pour mettre que pour enlever, Mais la petite robe d'Élodie et la jupe d'Isabelle jouent parfaitement leur rôle. Circulez ! Il n'y a rien à voir.

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Ma nouvelle robe
Publié :7/7/2012 23h34
Dernière mise à jour :15/8/2013 21h30
14053 vues
[ image ]C'est les soldes. Et comme chacune, je n'ai pas pu résister
Que pensez-vous de ma nouvelle robe ?
moi, je l'adore, toute douce, toute soyeuse, avec un tombé impeccable...
Et pour les coquines, je singales que j'ai trouvé le soutien et le boxer assortis
Bises à chacune.
Rita

1 commentaire
Vous reconnaissez-vous dans cette description ? (édition revue et augmentée)
Publié :7/5/2012 2h22
Dernière mise à jour :15/8/2013 21h30
14209 vues

Votre type de personnalité
Attention. Ici on parle de vous.
Personnalité de type ENFP (extraversion, intuition, sentiment, perception) que ce site appelle "le Philosophe social".


Vos informations personnelles

Votre physique
Le vôtre.
-Comment aimez-vous vous habiller le jour ? comme il faut
-Comment aimez-vous vous habiller le soir ? comme il ne faut pas
-Comment décririez-vous votre corps, votre style et votre apparence ? Dès que je trouve un miroir pour me mirer le physique, je réponds à cette question.
-Décrivez votre caractéristique la plus attrayante. Moi
-Quelle partie du corps remarquez-vous en premier lorsque vous rencontrez quelqu'un ? S'il a une tête à conneries
-Quel est le critère que vous considérez le plus attirant lorsque vous recherchez un partenaire sexuel ? même réponse que la question précédente
-Quelle importance attachez-vous à l'apparence physique d'un partenaire ? Aucune
-Quels sont les critères les plus importants lorsque vous recherchez un partenaire sexuel ? Qu'il me tape dans l'œil
A quel point l'attraction physique est-elle importante pour vous dans une relation sexuelle ? Tout dépend de ce que je veux en faire
-Quel genre de sous-vêtements portez-vous ? Culottes de vieille en attente de lingerie en soie
-Que pensez-vous des tatouages ? Aucune opinion sur le sujet
-Que pensez-vous du piercing ? Je voudrais les arracher
-Faites-vous du sport ? lequel ? J'essaie de bouger mon corps de rêve au moins une fois par semaine, dans un lit
-Avez-vous des problèmes de santé sexuelle ? Pas de maladies sexuellement transmissibles (testés régulièrement), Mais qui peut répondre franchement à cette question ?
-Quelles sont les maladies sexuellement transmissibles qui ne vous gênent pas chez votre partenaire ? Toutes me gênent


Votre orientation sexuelle
La vôtre.
-Avez-vous déjà fait du cybersexe ? Oui, et cela devient vite lassant, sans intérêt autant se masturber avec la souris
-Quel genre de vie nocturne aimez-vous ? Dormir, prendre l'air, faire des trucs divers et variés et aussi sexuels
-Quelle importance le sexe joue-t-il dans votre vie ? Quand il vient au lit, faut lui sauter dessus et profiter de la bonne occasion
-Quel types d'activités sexuelles pratiquez-vous régulièrement ? Prenez le Kamasoutra et compter de 1 à 64
-Quelle est l'intensité de la jouissance que vous ressentez en pratiquant le sexe oral ? C'est un petit préliminaire avant de passer aux choses sérieuses
-Que pensez-vous de la sodomie ? Trouvez d'abord celui qui sait faire et le bon lubrifiant.
-Quel est le plus grand nombre de personnes avec lesquelles vous avez eu une activité sexuelle ? 1, 2, 3... zéro


Vos intérêts sexuels
Les vôtres.

-Quels types d'activités sexuelles vous excitent ? toutes celles qui me donnent du plaisir
-Quels types d'activités sexuelles considérez-vous HORS LIMITE ? Dites toujours et on verra...
-Quels sont les facteurs importants lorsque vous recherchez un partenaire sexuel ? L'envie de toucher sa peau. Et qu'il m'emmène au 15è ciel (en dessous, c'est même pas la peine d'essayer de me contacter)
-Quels types de nouvelles expériences aimeriez-vous explorer ? Toutes dans la limite de mes capacités.
-Mis à part l'évident, quelles sont les parties de votre corps que vous considérez des zones érogènes ? Un doigt qui glisse le long de mon dos, si j'ai des frissons dans la culotte c'est gagné.
-Est-ce qu'on vous a déjà pris en photos érotiques ou en vidéo ? J'ai pris et été prise en photos coquines.
Est-ce que la taille est importante pour vous ? Oui, mais il y a des façons pour faire les choses. Grosse queue pour gros bourrin s'abstenir.
-Aimez-vous parler vulgairement pendant les rapports sexuels. Le premier qui m'insulte, je la lui coupe et lui fait bouffer.


Vos fantasmes
Les vôtres.
-Parlez de l'un de vos fantasmes préférés. Lâchez-vous : Justement me lâcher au maximum
-Quelles sont les scènes de jeu de rôles sur lesquelles vous fantasmez ? Ken et Barbie
-Quel est l'endroit qui vous fait fantasmer pour une rencontre sexuelle ? Mon nouveau canapé
-Avez-vous déjà fantasmé sur une célébrité ? Sami Frey, sa voix, son physique, son talent. J'arrête sinon je vais encore mouiller ma culotte.
-Parlez-nous de votre rencontre sexuelle préférée : Dès que j'ouvre la porte.
-Utilisant un des endroits que vous avez choisi comme l'un des meilleurs endroits pour votre fantasme, racontez-nous... Pas le temps de développer


Vos souhaits et buts dans la vie
Les vôtres.
-Où aimeriez-vous vivre ? A la capitale
-Quelle est la maison de vos rêves ? Au milieu d'une forêt pleine de satyres
-Quel est le métier de vos rêves ? Celui qui rapporte le plus en se fatiguant le moins.
-Quelles sont les vacances/sorties de vos rêves ? Boire, manger, baiser, lire, visiter, nue, habillée, couverte de fourrure
-Si vous pouviez faire ce que vous vouliez, que feriez-vous ? Tout ce que je veux
-Comment réagissez-vous face à l'échec de vos rêves ? Je pleure
-A quel point est-il important pour vous de partager les mêmes rêves que vos partenaires ? à 20 %
-Parlez-nous des rêves et des objectifs que vous avez réalisés récemment. Changer de job, de profil
-Quel est votre partenaire de fantasme idéal ? Un vrai complice
-Quel genre de relation recherchez-vous ? Complicité et jeux
-Où vous voyez-vous dans quelques années ? En enfer


Accessoires sexuels
Toujours les vôtres.
-Quels jouets sexuels avez-vous déjà utilisé ? Godemichés, vibromasseurs, stimulateurs de clitoris, œuf, boules de geishas... un homme aussi.
-Comment utilisez-vous vos jouets sexuels? Lapinou mon fidèle doudou, toujours prêt à dégainer de la pile.
-Quels jouets sexuels aimeriez-vous utiliser et pourquoi ? Tous ceux que je ne connais pas.
-Quel type de panoplie de bondage aimez-vous utiliser pendant une relation sexuelle ? le fouet et le masque de Zorro, je peux ?
-Quelle nourriture avez-vous déjà utilisé dans un jeu sexuel ? Pas le temps, je l'ai déjà mangée
-Quelle nourriture aimeriez-vous utiliser dans un jeu sexuel ? Si je résiste à la tentation toutes
-Comment jouez-vous avec la nourriture pendant une relation sexuelle ? Je la prends, j'imagine ce que j'en ferais et oups la gourmandise est toujours la plus forte
Quels genres de film porno préférez-vous ? Au gré de mes humeurs
-A quel point aimez-vous les films porno ? Mon abonnement est fini, snif !
0 commentaires , 1 En cours
Pour toi que ce site ose qualifier de « membre standard », mon profil.
Publié :7/5/2012 1h41
Dernière mise à jour :25/3/2016 6h46
14859 vues

Lis, regarde, laisse un message ou pas, aime ou pas, je m'en fous un peu ; simplement, je milite pour le droit de tous à l'accès à l'information. Profite ! c'est pas tous les jours.

Profil de base
Rita_Travestie 55/H
Lausanne, Vaud, Suisse


Informations personnelles

Orientation sexuelle : hétérosexuel affirmé.
La cigarette : je ne fume que le cigare.
Consommation d'alcool : il m'arrive de ne pas boire.
Drogues : pas consommateur.
Profession : 42 heures pour un salaire.
Éducation : éduqué.
État-civil : marié.
Échangisme : donnant-donnant.
Avez-vous des ? En quoi est-ce important ? Vous voulez les mettre dans votre lit ?
Souhaitez-vous des ? Pour les mettre dans votre lit, il va falloir attendre.
Êtes-vous prêt(e) à déménager ? non.
Langues : Je pratique le french kiss et le slurp.
Mon nom d'écran sur Yahoo est : Après avoir essayé les réseaux dit sociaux, je constate qu'ils empêchent plus qu'ils ne facilitent les relations interpersonnelles. Vous êtes assez grande pour me contacter si tel est votre volonté ; vous n'avez pas besoin d'un réseau qui vous demande plein de temps pour l'entretenir et qui ne vous en laisse pas pour rencontrer les gens (d'abord électroniquement, ensuite en live.)
Mon pseudonyme sur MSN Messenger est : voir ci-dessus.
Mon mur sur Face book : Voyez plus haut.
Mon numéro I C Q est : je ne sais mêm pas ce que c'est !


Informations sur le physique

Sexe : garçon à la naissance, homme depuis, toujours la même chose dans ma culotte.
Date d'anniversaire : 7 novembre 1955 (oubliez pas la date pour le gâteau)
Taille : 52 cm à la naissance, a grandi depuis (1m80) et rétréci (175 et demi)
Corpulence : joli petit cul, pas de nichons ni de bide. (52kg si vous voulez tout savoir)
Couleur des cheveux : châtain il y a longtemps, beaucoup d'intrus blancs depuis.
Longueur des cheveux : pour un mec, mi-longs
Couleur des yeux : verts pailletés or (si, si ! venez vérifier !)
Lunettes ou lentilles de contact : depuis quelques temps.
Origine ethnique : Caucasienne (vous savez : la patrie d'Attila)
Taille du soutif pour cadeau : 90 AAA
Taille de culotte et string assortis au susdit soutif : M ou 42 pour être é l'aise dans le string


Ma personne idéale

Je n'ai pas d'idéal, je cherche simplement une dame libre, libertaire, libertine... Femme d'humour, de partage, de culture, de générosité et ce, dans tous les sens du terme.
Je suis disponible pour qui saura me faire vivre des expériences dans la mesure de mes envies, capacités et respect de mes limites. Une femme prête à tous les jeux que nous pourrions inventer ensemble.
Je n'accepterais d'être le soumis que d'une seul maîtresse : la titulaire de la chaire de jouissance, enseignant la saveur de la chair et aimant le cher. Je veux une condamnation au plaisir à perpétuité.
Rien ne me presse, j'avance à mon rythme et je tiens à ce que cela soit respecté.
N'ayant pas à rougir de mon physique, de mes capacités intellectuelles et sexuelles , je peux me permettre de choisir. Prétentieux non, je sais ce que je ne veux pas.
Je ne cherche pas l'amour romantique, je fais confiance à la complicité, la connivence, au rire, au plaisir des échanges et surtout à la vérité et l'honnêteté.
C'est la vision de ma réalité au regard de mon passé.
1 commentaire , 2 En cours
Un peu de math
Publié :27/1/2012 22h26
Dernière mise à jour :15/8/2013 21h33
13618 vues
Je ne suis pas très bonne en math. Si parmi vous, quelqu'un voulait bien vivifier mes calculs, ça serait gentil.
Sur un site concurrent, dans un rayon de 10 km, en 7 jours :
5 femmes cherchent des femmes45 femmes cherchent des hommesSoit en tout 46 femmes cherchent quelqu'un (une seule cherche exclusivement des femmes)
Les 5 mêmes cherchent des femmes160 hommes cherchent des femmesEn tout 165 personnes cherchent des femmes
Rien que pour un mec, il y a 0.28125 femme disponible. Alors qu'une femme a 49 possibilités. Et c'est là que je ne suis plus très sûre de moi. Soit un rapport de 1 à 174.222222222 ou bien l'inverse 0.0057397959183673 ?
0 commentaires , 1 En cours
Acte 2 : ton plaisir, scène 1 : Fessée
Publié :23/12/2011 23h29
Dernière mise à jour :11/3/2021 12h01
14021 vues

- Cochonne ! Une femme honnête ne souille pas sa culotte.
Et tu m'entraînes jusqu’au fauteuil. Tu t'y assois. Et tu me couches sur tes genoux.
Tu relèves ma jupe. Tu baisses ma culotte. Et tu assènes de grandes claques sur mon postérieur qui ponctuent ta phrase « Une honnête femme ne souille pas sa culotte ! »
- Une -clac- hon -paf- nête -schlack- femme -pan- ne -clak- souille -pang- pas -chlac- sa -ping- cu -sblaf- lotte -clac- !
Je savais que ce moment allait venir. Je n'en connaissais pas l'exacte occasion ni le moment mais tu allais trouver le prétexte. Tu me l'a suffisamment dit que c'était ton plaisir. Et c'est pour ton plaisir que j'ai accepté d'être fessée, car ce n'est pas mon truc. Cette expérience me le dit assez.
Pourtant, j'ai beau m'y attendre. Ça fait mal, furieusement mal. Parents, si vous fessez vos , vous devriez en subir une, juste pour vous souvenir combien c'est douloureux.
Particulièrement la 4° ou 5° - je ne sais plus- et une autre après -probablement celle sur « cul » de « culotte ». Je serre les dents. Je cramponne le pied du fauteuil d'une main et ta cheville de l'autre. Des larmes remplissent mes yeux. Elles gouttent sur le tapis, souillant la laine blanche de mon rimmel. Quand tu vas le voir, je vais encore en prendre ; j'angoisse.
Je ne peux m'empêcher de laisser filer l'une ou l'autre plainte. Mal m'en prend, car la claque suivante est plus appuyée encore.

Oh que ça fait mal !

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Acte 1 : Préliminaires, scène 3 : Orgasme
Publié :22/12/2011 2h21
Dernière mise à jour :22/12/2011 2h23
13829 vues
Maintenant, ta bouche a quitté mon cou pour s'attaquer à mon oreille. Tu en gobes le lobe. Tu lèches le pavillon. Tu le mordilles aussi. Tu joues de ton souffle entre tes lèvre et par le nez. Tant et si bien que je dois quitter tes hanches et ton dos pour passer mes bras autour de ton cou.Ainsi je peux me retenir à tes épaules...
Je caresse ta nuque. J'y titille les petits cheveux à la naissance de ta chevelure.
Alors ta langue s'insinue en moi, au plus profond de mon oreille. Elle force le passage. Puis tu replies mon pavillon pour baiser l'arrière de mon oreille. C'est divin !

Ta main droite a laissé mon cou pour s'insinuer sous ma jupe. Elle remonte lentement sur le bas, pour s'arrêter à sa lisière. Là tu joue avec mes chaires tendres, si sensibles. Tu pinces, palpes, manipules. Et tu redescends et tu remontes. À chaque aller-retour, je m'attends à ce que tu ailles plus haut, au plus intimes ; mais tu continues tes agacements si agréables.

Ta main gauche délaisse ma croupe pour remonter vers le soutien-gorge. Tu le dépasses pour caresser à la lisères des bonnets. Je soupire. Je ne parviens à ne plus faire rien d'autre que soupirer, que me délecter. Tête en arrière, pour mieux dégager mon torse.
Sensuellement, par dessus de soustif, tu repasses, pour passer dessous et titiller mon mamelon. Tu joues du bout des doigts avec mon petit bouton. Tu tailles, en rond, autour de l'aréole ; et en diagonale, par dessus, avec la pointe de ton ongle. Tu pinces juste ce qu'il faut pour que la douleur reste exquise.

Vient un moment où ta droite dépasse le haut de ma cuisse. Enfin ! Je n'ai aucune idée de ce qui t'a décidée : mon impatience ou ton désir ? Ton ventre qui s'appuyait de temps à autre sur moi ou mes retraits pour mieux dégager le passage à tes caresses ? Du pouce, par dessus ma petite culotte, tu caresses mon clitoris turgescent. Deux doigts s'insinue sous l'élastique pour chatouiller mes lèvres gonflées. Tu tires sur la peau. Tu racles des ongles.
J'écarte les pieds autant que ma jupe à demie troussée me le permet. À la fois pour mieux assurer mon équilibre, mais aussi pour t'indiquer que j'en souhaite plus. Je ronronne. Je... Mon bassin accompagne tes libertés ou les contrarie pour mieux les accentuer.

Ta gauche maintenant s'attache au milieu de ma poitrine, si souvent oublié, entre les seins.
Tes deux doigts dans ma petite culotte mauve, délaisses mes lèvres trop remplies, pour s'attaquer à mon périnée. Et ton pousse continue par dessus, à branler le bout de mon clito démesuré.
Je jouis. J'ai un orgasme magnifique.Je me répands dans ma petite culotte. Je la souille.

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L'identité de Rita
Publié :20/12/2011 22h00
Dernière mise à jour :29/4/2013 22h54
13173 vues

Table des matières : L'identité de Rita

  • Acte 1 Prliminaires, scne 1 Un baiser profond

  • [post 2812216]

  • Acte 1 Prliminaires, scne 3 Orgasme


  • [post 2815252]

  • Acte 2 : Ton plaisir, scène 2 : Intermède

  • Acte 2 : Ton plaisir, scène finale : Ta jouissance


  • Acte 3 : Tu me fais l'amour


  • Le film " Mullholand Drive" de David Lynch (2001) part à la recherche de l'identité de Rita. Histoire très sensuelle, à mes yeux très érotique, si ce mot ne se confond pas dans votre esprit avec cochonne ou pornographique.
    Note : Tous les commentaires sont affichés automatiquement.
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    Acte 1 : Préliminaires, scène 2 : Tendresses
    Publié :19/12/2011 22h17
    Dernière mise à jour :31/3/2016 23h07
    14184 vues
    Pendant que tu m'embrasses si agréablement, me vient l'envie de, moi aussi, te procurer du plaisir. Je fais glisser ma main le long de ton dos, jusque sur tes hanches ; sans me cacher, sans hésitation, mais aussi sans insister et avec douceur. Et je remonte le long des côtes. Quand je suis presque arrivée au soutien-gorge, tu interromps ton baiser pour me dire dans un grand sourire
    - Chut ! Tu es la . Laisse-toi faire ! Et ton regard ardant et humide révèle non seulement l'excitation ; mais encore un désir que je ne soupçonnais pas. Je ne suis pas prête de l'oublier.

    Et tu plonges dans mon cou pour le picorer de tendres bécots, le léchouiller, le mordiller, le suçoter, le racler de tes dents ou de tes lèvres ; là où c'est si sensible : entre l'oreille et la clavicule jusqu'à sous le menton. C'est si bon, si délectable !
    J'aimerai poser ma tête sur ton épaule pour bien dégager le côté de tes mamours. Mais ta main flatte l'autre côté, distille des caresses du bout des ongles, de la pulpe des doigts, du dos de la main ou à pleine paume ; en zig et en zag, en rond et en boucle... Une caresse que je prodigue rarement et toujours avec parcimonie, tant je crains que ma partenaire se sente menacée d'étranglement. Pourtant c'est si bon, si tendre !

    Je t’encourage en te serrant dans mes bras, en massant ton dos depuis le bas du soutien-gorge jusqu’au creux des reins par dessous ton tee-shirt. Tu murmures dans mon cou des indications : « plus haut », « plus bas », « horizontal », « vertical », « en rond » ; « griffes », « masses », « pétris », « palpes », « plus à droite »... Que cela doit être agréable !
    Ton autre main s'est insinuée dans le haut de ma jupe et pétrit un fesse et l'autre.
    Dans ma petite culotte en satin mauve, mais aussi par dessus, pour bien sentir la douceur du tissus et pour que ses déformations transmettent leurs attouchements à mon entre-jambes. Hum !
    Tu joues avec mes jarretelles. Elles claquent sur le haut de ma cuisse. Elles étirent le bas qui, à son tour, masse le haut de la jambe jusqu'au mollet. Ah !

    Je finis par remarquer que tes murmures correspondent à ces privautés sur ma croupe -tu me fais tant d'effets que j'ai bien du mal à réfléchir. Et avec un temps de retard, je te suis dans tes effleurements.

    Avec les dents, je dénude le rond de ton épaule. Et, à mon tour, je bécote, léchouille, mordille, suçote, suçonne, racle des dents et des lèvres ; depuis la salière de la clavicule jusqu'en haut du bras, sans oublier le creux où se rejoignent humérus et clavicule. Je te déguste.

    Tu ne me pelotes pas, tu cajoles. Et crois bien que j'en raffole. C'est délicieux. C'est tendre. C'est doux. C'est chaud. À prodiguer et à recevoir. C'est voluptueux !


    toujours Mullholand Drive
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    Acte 1 : Préliminaires, scène 1 : Un baiser profond.
    Publié :19/12/2011 22h02
    Dernière mise à jour :20/12/2011 23h47
    13248 vues
    Tu m'embrasses.
    Comment dire ? Sensuel n'est pas le bon mot, pas plus langoureux, ni même fougueux. Tu m'embrasses ; je trouve pas d'autre mot : profond. Je ne sais pas comment tu fais pour t'introduire autant en moi. Mais le fait est là, tu es en moi.

    Tes lèvres écrasent mes lèvres. Ta langue me fouille. Tes mains étreignent ma nuque et plaque ma bouche sur la tienne. Tes pouces caressent, grattent, griffent, titillent ; l'un ma nuque, l'autre derrière l'oreille. C'est bon !
    C'est bon gustativement -tu as un goût vanille avec une pointe cassis. Sensitivement, ta langue au plus profond, c'est doux,chaud, surprenant, agréable, érotique ; c'est bon !
    Je frisonne sous tes agacements. Je me pâme dans ton étreinte douce et forte à la fois ; c'est bon ! Y a pas à dire autrement, c'est bon ! De ton côté, tu sembles y prendre plaisir. Sinon, il ne durerait pas, tu n'insisterais pas en m'étreignant si étroitement, tu n'assurerais pas ton baiser avec tes caresses. Comment ai-je fait pour vivre sans ce profond baiser ?

    De mon côté, j'ai passé mes mains dans ton dos, un peu plus haut que tes hanches. Et j'essaye de répondre à ton étreinte en te serrant dans mes bras. Mais ce n'est pas facile, tant c'est délicieux quasi extatique. Je m'efforce de répondre à tes caresses par quelques massages. Mais il faut que je me cramponne pour ne pas m'effondrer en pâmoison, tant j'ai le jambes qui flageolent ! Non je suis bien trop occupée à savourer ton baiser, à goûter la langue, à apprécier ces caresses si intimes, ces va-et-vient, ces délicates arabesques sur l'arrière de ma langue et en dessous. J'ai la tête qui tourne ; je m'enivre de ton baiser. Je m'astreins à ne pas suffoquer en respirant lentmement. Mais il n'entre pas assez d'air par mes narines contractées de jouissance. Alors j'accélère mes inspirations et c'est l'hyperventilation.

    De ton côté, tu respires calmement, tranquillement et profondément. Je sens tes seins sur ma poitrine à chaque inspiration. Et par la même occasion j'épouse ton ventre qui se gonfle. Je sens tes cuisses le long de mes jambes qui les empêchent de flancher.
    Tu m'embrasses profondément.


    Avez-vous vu Mullholand Drive de David Lynch (2001) ?
    0 commentaires
    Merveilleuse Sylvia
    Publié :1/12/2011 22h48
    Dernière mise à jour :15/8/2013 21h36
    12762 vues
    Aimant vivre certains de mes fantasmes, je me rends cet après midi chez Sylvia qui les met en scène avec talent dans des jeux de rôles captivants.
    Une voluptueuse brune en déshabillée provocant m’ouvre la porte en souriant. Son abondante chevelure jais tombe en cascade sur ses épaules. Ses yeux bruns en amande et ses lèvres gourmandes donnent à son visage un air volontaire et sensuel. Sa robe de nuit s'ouvre sur un corset rose à dentelles noires contenant difficilement sa magnifique poitrine. Un slip brésilien allonge ses jambes gainées de bas à couture tendus par quatre paires de jarretelles excitantes qui me laissent admirer ses cuisses fuselées. Perchée sur ses cuissardes noires à talons hauts, elle me fait rentrer dans son univers.
    Après l'échange de quelques mots pour me mettre à l'aise, elle me demande :
    - Décris-moi ton fantasme actuel pour que je puisse répondre à tes attentes.
    Je lui confie alors que :
    - J'aimerai pouvoir rentrer dans la peau d'une .
    - être doté d'une poitrine, d'une croupe et avoir un clito ultra sensible pour pouvoir jouir de multiples façons.
    - Je rêve également de porter des dessous vaporeux et vivre le scénario suivant :
    - J'imagine qu'une belle femme sensuelle et experte en plaisir me permette de découvrir l'amour lesbien.

    - Beau programme, tu me donnes des idées, me dit Sylvia d'un air inspiré.
    - Désormais, je m'adresse à toi au féminin et puisque tu es déjà entièrement épilée ma chérie, je vais t'aider à devenir une femme attirante dotée de tous ses artifices.
    -Suis moi dans ma chambre, nous allons choisir tes dessous, me dit-t-elle en me prenant gentiment par la taille.

    Une demi heure suffit à faire éclater ma féminité et elle me plante devant une glace pour que je puisse admirer ma métamorphose. Je suis coiffée d'une perruque blonde bouclée très seyante qui adoucit mes traits. Mes yeux allongés portent des faux cils, mes lèvres sont ourlées d'un rouge intense et un fond de teint achève mon maquillage. Je porte une guêpière rouge et noire d'où jaillissent mes seins siliconés. Le tout est recouvert d'une adorable combinaison en satin de même couleur qui s'arrête à mi-cuisses. Un slip ouvert encadre mon « clito » d'un écrin de dentelle et de soie qui laisse ma croupe offerte au regard de Sylvia. Complétant ma tenue, huit ravissantes jarretelles maintiennent la couture de mes bas alignée sur mes cuisses entourées de deux jarretières affriolantes. Soulevant ma combinaison, je virevolte devant la glace et admire ma taille élancée dans cette envoûtante guêpière qui comprime ma somptueuse poitrine 105c. J'ajuste mes jarretelles et caresse en frissonnant de plaisir le voile de nylon tendu sur mes jambes. J'admire leur galbe parfait mis en valeur par mes escarpins. Puis, je déambule dans la chambre pour sentir la tension de mes bas en frottant sensuellement mes cuisses l'une contre l'autre pour entendre le crissement des fibres qui m'enflamme les sens. J'exhibe involontairement mes fesses hautes et bien cambrées qui plaisent généralement aux femmes.
    Sylvia n'y fait pas exception et je la vois fixer ma croupe avec insistance :
    - Viens sur le lit ma chérie, je suis impatiente de m'occuper de toi.
    Me renversant sur le dos, sa main glisse sournoisement sous ma combinaison satinée. Elle la remonte lentement le long de mes jambes et la referme sur mes « lèvres (en fait mes bourses) » qu'elle masse avec douceur. Ne pouvant résister à ses caresses, j'ouvre imperceptiblement les cuisses. Avec excitation, elle continue à saper ma résistance en sentant mon « clitoris (verge) » vibrer sous ses doigts. Puis, elle ouvre délicatement la fente de mon slip et m'enfonce son majeur dans les fesses. Elle le recourbe vers le haut en massant avec insistance ma prostate sans cesser de me masturber d'une main experte. J'ai très vite une excitation (érection) spectaculaire.
    - Tu mouilles beaucoup ma belle et ton œillet est déjà bien ouvert.
    - Attends moi un instant, je reviens tout de suite, me dit-t-elle avec perversité.
    en me décochant des regards brûlants.

    La suite selon les commentaires que vous ferez...
    Biz.
    Rita
    0 commentaires , 2 En cours
    Cinquante bonnes raisons, pour une femme, d'avoir un travesti comme compagnon
    Publié :5/11/2011 22h06
    Dernière mise à jour :18/10/2020 23h30
    13037 vues
    1. Vous pouvez changer à chaque instant : avoir aussi bien une petite amie qu'un petit ami. Vous pouvez avoir un homme ou une femme sous la main à volonté.

    2. Vous pouvez avoir vos propres parties privées entre filles.

    3. S'il porte une jupe, il est facile d’accès !!!

    4. ça ne le dérange pas de participer à votre shopping. Bien au contraire !

    5. Il a toujours envie de vous parce qu'il porterait bien ce que vous portez.

    6. Vous doublez votre garde-robe s'il a la même taille que vous ! Vous savez qu'un de vous aura l’accessoire féminin indispensable quand vous en aurez besoin.

    7. Vous n'aurez jamais à redouter qu’il vous trompe avec une autre femme. Il est l'autre femme !

    8. Il ne s'opposera jamais à un jeu de déguisement et à porter une robe quand vous le voudrez. Habillez-le en soubrette et je peux vous assurer que vous aurez une maison et un service impeccable.

    9. Tout en faisant des emplettes, vous pouvez examiner une nouvelle nuance de vernis à ongles sur lui (et lui ne se plaint pas, il ne demande qu’à avoir un rouge à lèvres assorti.)

    10. Il aura rarement une barbe de 3 jours.

    11. Vous n’aurez pas besoin de demander à une autre femme un conseil pour une tenue ou pour faire un raccord de maquillage, il sait.

    12. Il est toujours bien disposé au sujet de vos soins de beauté ruineux.

    13. Il ne déchirera pas votre lingerie qu’en vous l’enlevant.

    14. Il aura toujours besoin d’un accessoire pour compléter sa garde robe, et donc la vôtre.

    15. Si vous avez besoin d'un accessoire pour cette nouvelle robe que vous avez achetée, il s'avère justement qu’il en a un parfait, et vous le lui emprunterez.

    16. Avec lui, vous pouvez faire du shopping en hauts talons, il sait ce que c’est.

    17. Un homme en robe fait une bonne cuisinière et une bonne amante.

    18. Il aime le parfum et vous donnera un jugement honnête.

    19. Si vous achetez quelque chose pour votre maison, ce ne sera jamais trop féminin.

    20. Au moins le siège de toilette sera baissé.

    21. Il est beaucoup plus facile de trouver une idée de cadeau pour lui et donc pour vous.

    22. Il connaît la bonne manière de faire l'amour, prend son temps et sait faire des caresses dans les endroits intimes.

    23. Il comprend très bien le plaisir d’une quand elle porte de nouveaux vêtements.

    24. Si vous achetez des vêtements, vous savez au moins qu'il les range avec soin et application.

    25. Vous pouvez aller au salon de coiffure ensemble, il s'assiéra tranquillement tandis que vous vous ferez coiffer tous les deux, il ne se plaindra jamais. En fait il vous remerciera.

    26. Le seul cas où il s'inquiétera, c’est si vous portez des bigoudis et des rouleaux sur-dimensionnés.

    27. Il comprend pourquoi vous vous plaignez de la fatigue après 8 heures en porte-jarretelles et hauts talons.

    28. Il ne se plaint jamais de voir vos sous-vêtements fragiles en train de sécher dans la salle de bains.

    29. Avec lui, vous avez une petite amie vraiment fidèle et pas du tout chipie si ce n’est avec vos tubes de gloss.

    30. Non seulement il fera des emplettes avec vous mais payera la facture également ! surtout si vous lui achetez un nouvel ensemble.

    31. Il sait manipuler les vêtements délicats quand il fait la lessive.

    32. Lui, au moins il sait que le satin et le velours sont plus doux que le denim et la laine.

    33. Il comprend votre besoin en produits de beauté de qualité. Mais aussi votre désir d'en changer souvent.

    34. Vous avez encore plus d’excuses pour aller faire du shopping. Et en plus il portera vos sacs.

    35. Si besoin, vous pouvez toujours emprunter ses bijoux, ses vêtements et son maquillage.

    36. Il comprend pourquoi vous changez si souvent de paires de bas.

    37. Il ne s'attend pas à ce que vous soyez prête en 15 minutes pour sortir dîner. Il sait le temps qu’il faut pour devenir une jolie .

    38. Il ne vous reprochera pas l’odeur infecte avec votre rouge à ongles et son dissolvant.

    39. Vous pouvez achetez les revues de mode ensemble. Comme « fashion victim » vous vous sentez moins seule.

    40. Vous pouvez lui demander à quoi un vêtement ressemble, et vous obtiendrez une réponse intelligible si ce n'est pas intelligente.

    41. Il y a de grandes chances que ses amis ne regardent pas le football toute la journée devant la télévision.

    42. Il sait pourquoi vous marchez lentement quand vous portez des talons.

    43. S'il vous dit « tu es très glamour » vous savez que c'est la vérité, malheureusement de même s’il ne vous le dit pas.

    44. Il peut repérer des bavures de maquillage mieux que n'importe quel autre homme.

    45. Il a une solide expérience en cosmétique et sait ce que c’est que d’avoir peur de se casser un ongle.

    46. Il aime aller faire des emplettes avec vous et vous observer essayer des vêtements.

    47. Il sait traiter une femme avec le soin, la sensibilité et le respect qu'il vous faut, en fait avec plus de féminité.

    48. Avec lui, vous avez une amie sincère qui ne vous poignardera pas dans le dos comme les autres copines (« elle à une dégaine, elle a encore pris 3 kilos… »)

    49. Il aime s'habiller glamour avec de hauts talons. Et dans cette tenue, il est toujours prêt à de longues causeries entre copines.

    50. Vous découvrirez plein de nouvelles émotions lorsque vous ferez l’amour avec elle, vous pouvez expérimenter. C’est dingue ce que c’est bon les ongles dans le creux des reins, et je ne vous parle pas de l’épilation…


    orignial quelque peu tranformé : http://passion.com
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