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french kiss et autres baisers
Publié :3/4/2016 8h11
Dernière mise à jour :18/2/2017 23h40
17050 vues

Vous connaissez le french kiss, je n'ai pas besoin de vous l'expliquer ni de vous faire un dessin

En bon français cela s’appelle le « baiser florentin » (Napoléon y étant aller faire des folies.) En latin on disait « savium » qui a à voir avec salive. Mais il semble qu'on devrait le nommer « baiser indien » car il figure au Kama Sutra (V° avant, tout de même !)

Mais il y a aussi l'english kiss. Là, j'ai pas bien compris. Je n'ai pas bien compris la différence entre l'un et celui de l'autre côté du Chanel, j'aurai besoin d'une démonstration.

Et il y a encore sa version galloise : welsh kiss (comme M. Jourdain, je pratiquais sans savoir, sans savoir son nom.) Avec la langue pour en haut ET les doigts sur le ou les mamelons...

Notons encore l'italian kiss. Ici aussi avec les mains (Ah ! ces italiens et leurs mains) : une mains ...en bas.

Plus une version spéciale : San Marinese kiss (San Marin étant un pays indépendant enclavé en Italie.) Il semble que la chose soit très, mais alors très, différente. Le mâle saisit son pénis et frappe le visage de la femelle, de 3 à 8 gifles. Quand je vous disais qu'il était spécial... Les tribunaux qualifient cette pratique de v. {Je n'ai pas droit d'utiliser ce mot, le robot cnsure l'entier du post}i.o.l.

Je vous déconseille le Scottish Kiss, votre partenaire même ultra consentant risque de ne pas apprécier. C'est l'autre nom pour un coup de boule : quand vous frappez une autre personne au visage avec votre front. Maintenant s'il a essayé de vous embrasser de force, il l'aura bien mérité son Scottish Kiss.

Voilà j'en ai terminé avec mon tour du monde des divers baisers. Si vous m'aidiez à l'enrichir


Annie_34 me permet d'ajouter le baiser inuit. Frottement réciproque de l'extrémité du nez pratiqué en particulier par les Inuits. La légende qui plait : un baiser occidental ferait geler entre elles les bouches ; donc les inuits font autrement.
7 commentaires
essai de bling
Publié :2/4/2016 23h29
Dernière mise à jour :13/3/2017 12h13
16626 vues

J'essaye le bling 42314 que je n'ai pas créé, mais qui m'a été offert par
taille normale :
taille 4 :

le bling 646750. je ne l'ai pas demandé
taille 1 Not Bling Owner je n'ai pas le droit de l'utiliser

le 641514 de softwillow
taille 1
taille 3 et oui, préciser une taille le fait rétrécir en fait ça le ramène à 200*200 qui est la taille 3
14 commentaires
P C Pubo Coccygien
Publié :20/3/2016 2h57
Dernière mise à jour :5/11/2016 1h24
15975 vues

J'ai appris, et croyez-moi douloureusement pendant deux mois, que nous avons tous et toutes un PC en nous.

Je connaissais le
PC = Personal Computer (marque déposée)
PC = Poste de Commandement (oui, mon adjudant !)
PC = Parti Communiste (N'est-ce pas M. Lénine ?)
PC = Prestations Complémentaires (ça c'est pour les helvètes)

Mais il y aussi
PC = Poste (au sens d'armoire) de Commande (utilisée chez les pompiers)
PC = Permis de Conduire (bien, M. l'agent)
Et probablement beaucoup d'autres. La page : acronyms du site : the free dictionary en donne des quantités (je me refuse à les compter)

Et puis, il y a la médecine
PC = Post Cibum c'est-à-dire : Après les repas,
PC = post prandial qui veut aussi dire après le repas
PC = Perte de Connaissance
PC = Périmètre Crânien
...
Et l'anatomie dévoile le muscle PC (ou bien l'infection vous fait découvrir) le muscle Pubo Coccygien. Les mamans le connaissent sous le nom de périnée.
Et j'ai été très heureuse de découvrir que moi aussi j'avais un périnée et des trompes...
Pour en rester au PC Pubo Coccygien et mes exercices de Kegel, ils sont identiques à ceux des nouvelles mamans. Je dois les pratiquer souvent. Ce qui veut dire en présence d'autres. Croyez-moi ça fait un drôle d'effet de parler à une dame et de faire discrètement ses exercices ! Est-ce que ça vous est aussi arrivé ? Et puis il y a cette recommandation : pendant l'acte. Les femmes ont-elles aussi cette invitation ? Que dire à ma collègue qui me découvre en train de faire des pointes à répétition ? Et je vous parle pas du balancement pelvien 20 fois de suite...

Au plaisir de lire vos commentaires

3 commentaires
Lick this
Publié :20/3/2016 1h25
Dernière mise à jour :19/6/2019 22h46
15993 vues
Il y a une application pour smartphone qui prétend entraîner à pratiquer le cunni parfait . Si je donne son nom le post est censuré.

Pour celles et ceux qui n'ont pas de smartphone, il s'agit d'aller sur le site depuis un smartphone, recouvrir celui-ci de cellophane, et ... de faire trois exercices :
lécher, sucer le smartphone ainsi recouvert
1. de haut en bas
2. en rond
3. au hasard

Si, si. ça existe. Le machin prétend exercer votre langue afin de devenir des pros du cunnilingus !
Moi, c'est surtout les zygomatiques que j'ai entraînés, j'en ris encore. L'impétrant voit assez mal ce qu’il fait, donc il rate souvent, il fait des grimaces exceptionnelles ; mais il y va, il tire la langue dans tous les sens ; et ça va de plus en plus vite.

Si vous souhaitez rigoler en soirée. Vos copain(e)s se décrocheront la mâchoire. Cela ne vous rendra pas plus doué(e) à donner du plaisir à votre partenaire, mais je vous garantis des esclaffements rabelaisiens et des commentaires à n'en plus finir.

17 commentaires
coup de gueule
Publié :25/2/2016 12h16
Dernière mise à jour :9/3/2016 7h51
16465 vues
Mes Dames,

À l’occasion de la Journée Internationale des Femmes, le 8 mars,
je vais pousser un petit coup de gueule.
Vous trouverez l’appel au 8 mars en entrant l’adresse dans votre navigateur : 8 mars point info.

Portez le ruban blanc ; Pour montrer votre opposition à la violence des hommes envers les femmes, portez un ruban blanc épinglé à votre vêtement.


Je revendique le droit
1. Le droit de ne pas bander, de ne pas vous trouver désirable
sans que vous ne le preniez comme une insulte (à votre désirabilité.)
2. Le droit de ne pas passer pour un macho condescendant quand je vous trouve chiantes.
Il suffit d’assister à une seule «soirée entre filles » pour comprendre très vite que le sexe qui méprise l’autre n’est pas forcément celui qu’on dit.
3. Le droit de ne plus payer pour des siècles d’oppression de la femme. Parce que les hommes, là, en 2016, n’y sont pour rien et sont souvent même plus féministe que vous.
4. Le droit de dire, que certaines femmes -une minorité- sont plus nuisibles à l'égalité que les hommes puisqu'elles nuisent aux femmes par leurs attitudes condescendantes à l’égard des hommes et leurs attitudes agressives à l’égard des femmes.

Alors toutes et tous ensemble, pour la Journée Officielle de l’homme et de la Bite, le 8 mars (oups ! Là on est dans l’égalité extrême. Mais oui, décalons-nous un peu la touffe mes chéries, y a de la place pour tout le monde !)

Non au nouveau sexisme, et oui à l’universalisme social, qui dépassera les clivages de genre. Et pour ma part : oui ! oui aussi à la femme soumise que je suis qui justement parce qu'elle se sent libre et égale demande à être caressée, pelotée, orgasmée…
2 commentaires
on n'a pas besoin de mots
Publié :16/1/2016 23h12
Dernière mise à jour :19/6/2019 22h47
17152 vues
Voir le désir dans vos yeux, votre respiration qui devient plus rapide, votre attitude d'abandon entre mes bras. On n'a pas besoin de mots pour savoir que vous appréciez.
Sentir votre peau frissonner sous mes doigts, sous ma langue, sous mes lèvres, sous mes dents. Nous n'avons pas besoin de mots pour savoir que j'ai toute votre attention.
Entendre vos gémissements de plaisir , vos glapissements de surprise, vos soupirs d'espérance insatisfaite. On n'a pas besoin de mots pour savoir que je sais bien faire les choses.
Sentir votre excitation, votre convoitise et votre passion. Nous ne devons pas savoir les mots pour savoir ce que vous voulez.
Nous pouvons parler et parler beaucoup, ensemble, plus tard, mais pour l'instant, votre bouche est réduite au silence. Je suis la seule qui mérite la permission de parler. Vous avez seulement besoin d'entendre et d'obéir à ma voix.
Votre langue peut être utile plus tard. Mais pour l'instant, je veux enlever cette partie de vous et de vous laisser vous concentrer sur l'écoute de mes conseils et mes invitations.
Peut-être que la prochaine fois je vais vous empêcher de voir à la place et d'explorer ce sentiment avec vous. Je vais voler vos sens. Ce que je ne peux jamais voler est votre liberté. Vous me donné que l'un sur votre propre, et je chéris pour le plus beau cadeau qu'il soit.
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Voeux
Publié :30/12/2015 21h27
Dernière mise à jour :25/12/2020 21h36
17680 vues
que la nouvelle année vous apporte
-- plus de plaisir que d'argent,
-- plus d'amour que de sexe,
-- plus d'esthétique que de santé
8 commentaires
Rayon lingerie
Publié :22/12/2015 12h51
Dernière mise à jour :16/2/2016 22h17
17697 vues
Samedi, je vais dans un grand magasin, et comme toujours, je fais un détour par le rayon lingerie.

oui. beaucoup de belles choses. Mais beaucoup trop chères. Et surtout ne correspondant pas à mes envies. j'aime le satin, le doux. Et il y a beaucoup trop de tulle et de dentelles pour mon goût. la dentelle c'est jolie, mais ce n'est pas doux, soyeux.
Mais ce n'est pas de ça que je veux vous parler. Il y a une chose qui m'a frappée : Six , à 10 h 30 c'est peu. en plus, tous des hommes.
tordant.
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L'inconfort de l'amour
Publié :15/12/2015 22h42
Dernière mise à jour :19/6/2019 22h47
17584 vues
Je la regarde. Elle est brune. quarante ans environ. Elle est assise de l'autre côté du salon de thé, juste en face.

Je la regarde, parfois sans la regarder. Mais je la regarde, je ne peux pas me détacher d'elle. Je la vois non avec les yeux, mais avec quelque part dans ma poitrine.

Je la trouve belle. Assise là. Elle écrit. Une mèche arrondie balance devant son nez. Elle a un pull marron, un jean vieilli à point, des ballerines. Autour le bruit de porcelaine, le brouhaha des conversations. Mais dans mes yeux le silence. J'aimerais savoir ce qu'elle écrit. J'aimerai lui dire qu'elle est belle, si terriblement belle, à mes yeux. Ma collègue commente encore et encore les commandes que nous avons reçues ce matin. Et je fais semblant de l'écouter. Je la regarde. je ponctue de ah, mon écoute inattentive. Et l'autre continue de parler. Et je continuer de la regarder.

Je devrais détourner le regard ; j'ai peur de cette émotion nouvelle. Des ailes me brûlent dans le dos qui me poussent à me lever, à lui parler. Mais la peur du rejet, la honte de ce trouble ému ou je ne sais quoi avorte mon envol. Et je l’imagine sourire ; et je sens un désir précis juste entre mes jambes. Je cois qu'elle me regarde ; et mon cœur se blottit dans ma poitrine. J'entends le tintement de sa tasse sur la soucoupe ; et des papillons tourbillonnent dans mon ventre. Mon cerveau reconstitue son odeur ; et je rougis. Mon ouïe fantasme le rauque de sa voix ; et je n'ose.

Ma collègue a prononcé le nom du patron. Je transpire, je balbutie une réponse évasive, je reviens dans la réalité immédiate. Mais toujours au fond de moi les répercutions de l'onde de choc, l'écho réverbéré de cette folie. Je vaudrais l’enserrer dans mes bras, la respirer, je voudrais être avec elle, je voudrais qu'elle m'enveloppe, je voudrais lui parler, je voudrais... Une porte s'ouvre en moi sur des possibles insoupçonnés, sur un horizon immense. Et pas la force.

Mon trouble ne me quitte pas. J'ai chaud aux oreilles. Je me trouve ridicule et je suis fâchée de penser à elle. Et je la regarde. Mon soutien-gorge me scie les côtes tout à coup. Le tétons me démangent. Les petites perles que j'ai mises de part et d'autre de mon clito deviennent inconfortables. Là quelque part entre nombril et pubis une douleur vrille mes entrailles. Une langue de carton colle à mon palais. Impossible de déglutir
8 commentaires
est-ce de l'amnésie ?
Publié :10/12/2015 12h57
Dernière mise à jour :11/12/2015 3h05
17187 vues
Je songe à consulter :
- je suis fauchée comme les blés. à moins de trouver le job qui me permettra d'allier vie professionnelle, vie familiale, vie sociale et vie secrète (se pomponner en secret, avoir deux garde-robes -mâle et femelle-, sortie des les bars glauques etc.) je resterai fauchée pour un long moment.
- et puis je souffre d'amnésie. je n'ai pas reconnu une amie, j'ai oublié son visage, je n'ai pas reconnu son parfum ni sa voix, j'ai oublié que j'avais couchée avec, j'ai même oublié que j'avais adoré ça, et puis, oh, j'ai oublié ma culotte.

la situation n'est pas brillant. il faut que je sorte de ce bar interlope. la résolution est d'autant plus importante que mon amie -alias mon kidnappeur de culotte- a les mains qui papillonnent dangereusement près. autant demander à une au régime de résister à une pâtisserie. mais je dois fuir ce savoureux gâteau, on ne se laisse pas peloter, on ne recouche pas avec une qui vous a fait jouir et à qui on a montré qu'on ne l'avait pas reconnue. ça fait mauvais genre.
oui nous avions couchées ensemble,
oui c'était un super agréable moment d'égarement
oui elle pouvait garder ma culotte,
oui une fois les choses mises à plat, nous pouvons être amies.
mais c'est elle qui me drague ouvertement,
mais c'est elle qui me fait danser pour que j'ai chaud et boive,
et c'est elle qui tout à l'heure va m'inviter dans sa voiture

je n'ai rien prémédité, je suis aussi ivre que possible. elle me provoque parce que je ne l'ai pas reconnue. je sais qu'elle le sait, sinon pourquoi passer son temps à me provoquer ? je dois fuir.

les probabilités pour passer un moment magique après avoir bu une demie bouteille de tequila, sont nulles. autant que la probabilité de se retrouver à minauder avec votre kidnappeur de petite culotte.

La poisse. parce que je rêve de ressentir ses mains sous ma jupe, son haleine dans mon cou, ses lèvres sur mon sein, sa langue dans ma bouche, son vibro dans mon plus intime. la poise. je ne l'ai pas reconnue. et elle me le fait payer, longuement.
0 commentaires , 1 En cours
Cunni au chocolat
Publié :27/11/2015 23h44
Dernière mise à jour :19/3/2016 12h10
17547 vues
à l'approche des fêtes

1. introduire délicatement le chocolat dans le vagin, ni trop loin ni trop peu ; attention du chocolat, rien que du chocolat, rien d'abrasif comme le praliné ou autre.

2 . masser délicatement l'extérieur de la vulve ; en fait lui donner le temps de fondre. et je ne précise pas qui fond, la réceptrice ou le contenu

= voilà ! dégustez! déguster par aspirations, en léchant, avec les lèvres, avec le et les doigts...
Vous m'en direz des nouvelles... vous en tant que dégustateur, et vous aussi en tant qu'incubatrice...
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Voici comment les choses se passent
Publié :25/9/2015 8h14
Dernière mise à jour :7/12/2020 21h32
15602 vues

Aujourd'hui, j'avais prévu de m'habiller. dessous crème, top en soie beige, mini jupe bordeau, escarpins pas si hauts mais petits talons, vernis pieds et mains et maquillage automnale, parfum, bagues, boucles aux oreilles, collier. La totale ; pas possible si fréquemment, pour que je me réjouisse deux jours à l'avance ...
Et puis le moment est venu et je suis passée au super marché. Là , j'ai été tentée par du cerf avec des nouilles en promo. J'ai pensé à un Cahors dont j'avais vu la publicité, mais je me suis rabattue sur un chablis. une salade et ce sera parfait.

J'ai sifflé ma bouteille , bouffer mon cerf, ma salade et... je suis restée en homme. quatre heures après, je suis encore pompette. mais je me sens bien. bon ! je regrette la sensation de la soie sur ma poitrine, je fais attention pour marcher droit ; mais le plaisir d'être sans contrainte, libérée me convient.
Il n'y a pas de moralité. je suis bien, sans être en femme, sans autre artifice que l'alcool. je suis bien.
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Il y avat le roman à l'eau de rose ; il y a le roman à l'eau bleu
Publié :21/9/2015 23h32
Dernière mise à jour :2/10/2015 20h27
15886 vues
Isabelle Alonso
Roman à l’eau de bleu, Paris, Robert Laffont, 2003, "2° édition, revue et augmentée, Éditions Héloïse d’Ormesson 2012)
¨
L'auteure évoque un monde d'inégalités ou la femme occupe le devant de la scène ; mais sans esprit revanchard, sans la violence accusatrice auxquels le féminisme nous (m' ) a habitué. Elle grossit le trait ; mais avec humour, sans les crocs d'une chienne de garde. Et c' est cette longanimité que j'ai apprécié.

L'argument :
Un monde où les femmes ont l'hégémonie. Les hommes sont relégués au statut de géniteurs, d'hommes d'extérieur (bons à s'occuper du bricolage et du jardin), quelquefois d'objets sexuels. Les hoministes (masculin de nos féministes) aimeraient bien un peu plus d'égalité ; mais les femmes ne se rendent compte de rien habituées à ce qu'il en soit ainsi et habituées à bénéficier de la prépondérance.
Alonso s'amuse à inverser les normes de nos sociétés ; elle rend perceptible ces petits riens qui ne choquent plus personne et surtout pas nos contemporaines.
An début de roman lire, je cite, "elle fait beau". Cela fait un effet étrange ; à la fin, je ne m' y étais pas habituée !
Comme l'indique le début de la quatrième de couverture "Imaginez un monde où les femmes ont toujours eu le pouvoir ..."

Bien sûr, elle flatte ma perversité :
Homme objet, désirable et pas seulement désiré mais irrésistible dont la préoccupation principale est de plaire. La mode de ce parisianisme-là est l'épilation de la poitrine en forme de cœur. On y porte de collants ultra moulants. Les vêtements masculins sont soyeux, colorés, parés de dentelles et fanfreluches. Les dessous masculins comportent des ampliformes
"Une braguette particulièrement expressive apparut dans son radar visuel alors même que Bernardine semblait absorbée dans la conversation. Un paquet de rêve... Moulé, maintenu, lourd, se balançant doucement au gré de la démarche... La position assise était idéale pour ce genre de repérage. Elle attarda son regard prédateur sur cette émouvante protubérance, et se demanda à quoi pouvait ressembler le porteur d'un aussi intéressant relief. "

Souvent on plaint les hommes de ce monde inversé. Alonso prend plaisir à choquer en abordant les violences sexuelles et autres maltraitances que subit le sexe dominé. Alors on sourit souvent, devant la stupidité de certains clichés et inégalités, à imaginer aussi ces hommes considérés comme trop occupés à plaire pour s'intéresser à la politique !

mais il nous parle aussi :
de la jeunesse, ses aspirations et ses rébellions ; de la vie de couple ; des relations entre générations ; de la vieillesse ; et de la solidarité au sein d'un même sexe que ce soit fraternité ou sororité.

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