Un léger rayon de soleil ...
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Publié :2/9/2017 10h31
Dernière mise à jour :21/1/2022 12h55 1575 vues
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Après une semaine de dur labeur, rien de tel qu un rayon de soleil pour se détendre un peu... Que du bonheur
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vacances
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Publié :31/7/2017 6h11
Dernière mise à jour :28/1/2022 23h00 1668 vues
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Qu il est bon d'être en vacances ! ...
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Brassens 2 ;)
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Publié :30/6/2017 5h13
Dernière mise à jour :29/4/2024 4h11 1739 vues
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Je veux dédier ce poème A toutes les femmes qu'on aime Pendant quelques instants secrets A celles qu'on connait à peine Qu'un destin différent entraîne Et qu'on ne retrouve jamais
A celle qu'on voit apparaître Une seconde à sa fenêtre Et qui, preste, s'évanouit Mais dont la svelte silhouette Est si gracieuse et fluette Qu'on en demeure épanoui
A la compagne de voyage Dont les yeux, charmant paysage Font paraître court le chemin Qu'on est seul, peut-être, à comprendre Et qu'on laisse pourtant descendre Sans avoir effleuré sa main
A la fine et souple valseuse Qui vous sembla triste et nerveuse Par une nuit de carnaval Qui voulu rester inconnue Et qui n'est jamais revenue Tournoyer dans un autre bal
A celles qui sont déjà prises Et qui, vivant des heures grises Près d'un être trop différent Vous ont, inutile folie, Laissé voir la mélancolie D'un avenir désespérant
Chères images aperçues Espérances d'un jour déçues Vous serez dans l'oubli demain Pour peu que le bonheur survienne Il est rare qu'on se souvienne Des épisodes du chemin
Mais si l'on a manqué sa vie On songe avec un peu d'envie A tous ces bonheurs entrevus Aux baisers qu'on n'osa pas prendre Aux cœurs qui doivent vous attendre Aux yeux qu'on n'a jamais revus
Alors, aux soirs de lassitude Tout en peuplant sa solitude Des fantômes du souvenir On pleure les lêvres absentes De toutes ces belles passantes Que l'on n'a pas su retenir
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s faire enc... ;)
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Publié :30/6/2017 4h52
Dernière mise à jour :1/7/2017 1h16 1649 vues
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La lune s'attristait. On comprend sa tristesse On tapait plus dedans. Ell' s' demandait quand est-ce Qu'on va s' rappeler de m'enculer.
Dans mon affreux jargon, carence inexplicable, Brillait par son absence un des pires vocables C'est : "enculé". Lacun' comblée.
Lâcher ce terme bas, Dieu sait ce qu'il m'en coûte, La chos' ne me gên' pas mais le mot me dégoûte, J' suis désolé d' dire enculé.
Oui mais depuis qu'Adam se fit charmer par Eve L'éternel féminin nous emmerde et je rêve Parfois d'aller m' faire enculer.
Sous les coups de boutoir des ligues féministes La moitié des messieurs brûle d'être onaniste, L'autre d'aller s' faire enculer.
A force d'être en butte au tir des suffragettes En son for intérieur chacun de nous projette D'hélas aller s' faire enculer.
Quand on veut les trousser, on est un phallocrate, Quand on ne le veut point, un émul' de Socrate, Reste d'aller s' faire enculer.
Qu'espèrent en coassant des légions de grenouilles ? Que le royaum' de France enfin tombe en quenouille, Qu'on coure aller s' faire enculer ?
Y a beaux jours que c'est fait devant ces tyrannettes, On dans' comm' des pantins, comm' des marionnettes Au lieu d'aller s' faire enculer.
Pompadour, Montespan, La Vallière et j'en passe Talonnèrent le roi qui marchait tête basse Souhaitant aller s' faire enculer.
A de rar's exceptions, nom d'un , ce sont elles Qui toujours min' de rien déclenchent la bagatelle ; Il faut aller s' faire enculer.
Oui la plupart du temps sans aucune équivoque En tortillant du cul ces dames nous provoquent, Mieux vaut aller s' faire enculer.
Fatigué de souffrir leur long réquisitoire Ayant en vain cherché d'autres échappatoires, Je vais aller m' faire enculer.
D'à partir de ce soir cessant d' croquer la pomme J'embarque pour Cythère en passant par Sodome, Afin d'aller m' faire enculer.
Afin qu'aucun' de vous mesdames n'imagine Que j'ai du parti pris, que je suis misogyne, Avant d'aller m' faire enculer
J'avoue publiquement que vous êtes nos égales, Qu'il faut valider ça dans un' formul' légale, J' suis enculé mais régulier.
En vertu d' quel pouvoir, injustes que nous sommes, Vous refus'-t-on les droits que l'on accorde aux hommes, Comme d'aller s' faire enculer.
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Brassens
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Publié :30/6/2017 4h50
Dernière mise à jour :5/7/2017 23h45 1666 vues
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Si vous y tenez tant parlez-moi des affaires publiques Encor que ce sujet me rende un peu mélancolique Parlez-m'en toujours je n'vous en tiendrai pas rigueur Parlez-moi d'amour et j'vous fous mon poing sur la gueule Sauf le respect que je vous dois
Fi des chantres bêlant qui taquine la muse érotique Des poètes galants qui lèchent le cul d'Aphrodite Des auteurs courtois qui vont en se frappant le cœur Parlez-moi d'amour et j'vous fous mon poing sur la gueule Sauf le respect que je vous dois
Naguère mes idées reposaient sur la non-violence Mon agressivité je l'avait réduite au silence Mais tout tourne court ma compagne était une gueuse Parlez-moi d'amour et j'vous fous mon poing sur la gueule Sauf le respect que je vous dois
Ancienne trouvée n'ayant connu père ni mère Coiffée d'un chap'ron rouge ell' s'en fut ironie amère Porter soi-disant une galette à son aïeule Parlez-moi d'amour et j'vous fous mon poing sur la gueule Sauf le respect que je vous dois
Je l'attendis un soir je l'attendis jusqu'à l'aurore Je l'attendis un an pour peu je l'attendrais encore Un loup de rencontré aura séduite cette gueuse Parlez-moi d'amour et j'vous fous mon poing sur la gueule Sauf le respect que je vous dois
Cupidon ce salaud reste chez lui qui n'est pas rare Avais trempé sa flèche un petit peu dans le curare Le philtre magique avait tout du bouillon d'onze heures Parlez-moi d'amour et j'vous fous mon poing sur la gueule Sauf le respect que je vous dois
Ainsi qu'il est fréquent sous la blancheur de ses pétales La marguerite cachait une tarentule un crotale Une vraie vipère à la fois lubrique et visqueuse Parlez-moi d'amour et j'vous fous mon poing sur la gueule Sauf le respect que je vous dois
Que le septième ciel sur ma pauvre tête retombe Lorsque le désespoir m'aura mis au bord de la tombe Cet ultime discours s'exhalera de mon linceul Parlez-moi d'amour et j'vous fous mon poing sur la gueule Sauf le respect que je vous dois
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poésie
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Publié :27/6/2017 10h09
Dernière mise à jour :29/4/2024 4h11 1703 vues
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Un horizon vaste et vide rien qu'un horizon, sans rien autour en émerge la première éphéméride bientôt suivie d'autres et d'autres encore jusqu'à former une tour suspendue dans le rien * Éclot alors chaque fleur et s'ouvrant révèle un œil et doucement meurt jusqu'à ce que le rien ne contienne que des yeux et quelques feuilles qui n'ont pas tout à fait fini de naître * Et au milieu des yeux encore toute mordorée de bourgeons vêtue de nuages et de pâles feux tiède et palpitante comme un coeur de papillon flotte une âme d'ambre blond qui regarde * Mais il n'y a rien à regarder et bientôt l'âme s'ennuie alors les yeux commencent à se fermer l'âme palpite plus doucement l'âme s'endort tombe la première nuit et c'est le premier rêve * Nébuleux et doux il passe sur l'horizon et le rien tout d'un coup respire et son souffle résonnant à peine hante le rien du premier son et le rien devient un tout * Qui s'anime de parfums et de tout un tas d'êtres vivants et de choses et de machins avec des ailes et des cornes avec des plumes et des dents de tout un rêve enfin qui s'étale sur l'horizon * Il pousse alors à l'âme des oreilles et une bouche et un nez pour mieux entendre les merveilles pour les sentir et les goûter et des tentacules pour pouvoir les toucher qui deviennent des doigts * Et les doigts se multiplient et s'agrègent en grappes qui se tordent qui se plient qui s'accrochent et qui s'agrippent qui palpent et qui caressent et qui piègent et qui attrapent les rêves qui passent à leur portée * Une infinité de mains se tendant aussi loin qu'il est possible de rêve cueillent les rêves sans fin pour les tenir devant les yeux et les porter aux oreilles et les mettre dans la bouche et les avaler et l'âme s'en nourrit * En avalant chaque rêve l'âme grossit insensiblement elle les cueille sans trêve et bientôt elle est immense s'ouvrent alors les bourgeons et chaque pétale blanc est un monde encore humide de rosée * Sur chaque monde s'ébroue une vie au poil encore mouillé à la robe maculée de boue mais à l’œil vif et clair à la voix forte déjà impatiente de se souiller de civilisation * Et chaque goutte de rosée devient une mer ou un océan et chaque irrégularité devient une montagne ou bien un continent ou bien une île ou un volcan et ils se tapissent de verdure * On y trouve des dragons dans les calmes forêts des sirènes dans les lagons dans les clairières des champignons dans les montagnes des pavots des herbes druidiques dans les marais et sur un pétale on trouve des êtres humains * Ceux-ci construisent des ville ils élèvent des troupeaux et cultivent les champs ils peuplent les déserts et colonisent les îles créent des œuvres d'art et des bibliothèques tombent amoureux et malades font la guerre et des et chacun d'eux contient une petite âme d'ambre blond * Et chacune rêve et se nourrit de l'oniroplasme ambiant et soupire et pleure et sourit et s'invente un univers un tout miniature et ça et là un rêve de devenir cosmonaute
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Un groupe d'amis musiciens... j'adooore ce morceau !
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Publié :26/6/2017 12h45
Dernière mise à jour :4/7/2017 22h21 1705 vues
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Eh petite conne j'ai bien vu ton jeu J'ai bien vu comme , tu bougeais les yeux Et ça me plait ! Ce n'est pas bien catholique que de lâcher de tels attaques Faut croire que c'est ta technique pour que je craque Pour que je craque une fois , il en faudrait bien plus que ça Faudrait qu'tu me parles de poésie d'amour de foot et puis aussi , de toi ! Mais si tu m'allumes , tu te brûles,et je te crame,c'est ridicule Retire donc tes gros sabots tu t'fais mal au dos Et si tu lis,entre les lignes tu pourras voir des choses indignes Sur toi sur moi en vérité ce qui n'existe qu'en pensées
Avec ma copine,tout se passe très bien,elle aime les coups de pine De plus on s'entend bien Elle reste fidèle,bein moi j'fais pareil Enfin quoique j'me rappelle d'une fois J'l'avais trouvé dans de beaux draps,même que c'était ceux d'un gars Elle m'avait dit très sereine ,"T'inquiète pas c'est toi que j'aime" J'ai passé l'éponge,sur ce doux mensonge Une faute est si vite arrivée,si vite pardonnée Le tourbillon de la vie facilite l'oubli de ces petits détails de la vie conjugale L'art divinatoire,les phrases éculées,le contrat de claques,la courroie détraquée ça me déplaît ,ah j'oubliais,je ne suis là pour personne Et qui s'annonce,une jolie baronne Ah j'oubliais,le carrosse bein il est complet Après tout cela,que rajouter d'autre,tu n'es pas une sainte,moi pas un apôtre Un soir de faiblesse,je voulais de la fesse,alors j'ai commis mon larcin Dans une soirée qu'avait l'air de rien mais où l'alcool était bien C'était pas le soir de la saint valentin J'me souviens d't'avoir demandé de ne jamais rien raconter Mais Petite Conne aime la place publique ,elle y fait son marché et crée la polémique Qui n'échappe jamais, a toi,a toi...
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Petite chanson sympa... le -20 risquent de ne pas connaître
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Publié :25/6/2017 4h03
Dernière mise à jour :19/11/2017 23h59 1751 vues
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Amour et Cul s'en vont par paire Sur un petit chemin de terre Main dans la main, le cœur joyeux La couille dure, le poil soyeux Les zoziaux gazouillent à tue-tête Herbes et vaches se font des couettes Amour et Cul vont à la mer Sous de gais rayons de lumière Amour est beau, Cul est mignon L’un se fait mie, l’autre quignon Cul veille Amour, Amour serre Cul Ils avancent bras dessous dessus Comm' deux jumeaux ou deux aimants Amour et Cul s'en vont gaiement
Amour et Cul roulent part terre Aux ronces écorchent leur derrière Peau contre peau, le cœur battant La couille mûre, le poil brillant Les fraises mouillent de plaisir
Arbres et fleurs sont morts de jouir Amour et Cul déploient leurs ailes Sur l'échelle du septième ciel Amour est tendre, Cul est cochon L'un se fait tache, l'autre torchon Cul baise amour, Amour lèche cul Ils craquent suintent et soufflent et suent Comm' deux jumelles, deux Arlequins Amour et Cul ne font plus qu'un
Amour et Cul vont solitaires Sur deux ronds-points sans espace vert Loin dans le coin, le cœur sans yeux La couille vide le poil vitreux Un rat mort se tape un cafard Chair et Béton chient du clochard Amour et Cul vont à l'égout Sous les flots salis de dégoût Amour vomit, Cul désespère L'un s’y pourrit, l'autre s'y perd Cul sans Amour, Amour sans Cul S'enfoncent en des voies sans issue Comme deux trésors orphelins Amour ni Cul ne sont plus rien
Amour ni Cul ne sont plus rien!
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