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Exhib
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Publié :2/3/2016 8h04
Dernière mise à jour :22/10/2017 23h45 21335 vues
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Hmmm montre moi
Subreptice
Hooo montre toi
Quel délice
Tu as vu ?
Belle actrice
Je t’ai vu
Tentatrice
Et je t’ai regardée
Chaude épice
Et tu as révélé
Chère complice
Tes douceurs satinées
Au supplice
De ne pas y toucher
Pan qui glisse
L’air de pas y toucher
Corruptrice
Regards se sont croisés
Ta malice
Promesses à peine voilées
Les prémisses
De joies plus incarnées
Libératrices.
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Parking public, un soir d_hiver
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Publié :29/2/2016 9h31
Dernière mise à jour :30/12/2017 15h37 21241 vues
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Parking public, un soir d'hiver....
Est-il plus grande jouissance
Après que nos langues enlacées
Ton regard brillant de la transe
Et quémandeur et enfiévré
Glissant un doigt dans ta béance
De tes essences toute inondée
Des vitres plus de transparence
Nos chaleurs ont opacifiées
Leur verre d’une buée intense
Passants, allez, ouste, passez
Faites donc grande diligence
Alors que ma belle est penchée
Jouant de mon exubérance
Positions pourtant malaisées
Il nous faut calmer cette urgence
Tandis que mes trois doigts crampés
Induisent en toi les tréssaillances
De ta langue râpe et veloutée
Déesse, fais jaillir ma laitance
Extase des joies simultanées.
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Le porno c est creatif...
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Publié :19/2/2016 10h11
Dernière mise à jour :3/6/2019 11h17 21769 vues
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...enfin la créativité du porno s'arrête bien souvent au titre du film !
20000 vieux sous mémère
Alerte à Malaucul
Analgeddon
Autant en emporte le gland
Baise Hur
Baise-moi si tu veux
Blanche Fesses et les sept seins
Chacun cherche sa chatte
Change de trou, ça fume
Chapeau melon et bites de cuir
Chérie, j’ai agrandi les godes
Conan le fornicateur
Couche-toi dans le sable et fais jaillir ton pétrole
Coupe-toi les ongles et passe-moi le beurre
Culiméro
Cyrano de Vergerac
Da Vinci Gode
Da Zizi Code
Desperate Sex Wives
Destination vaginale
Écarte tes cuisses, je trouve plus ma montre !
Écarte tes roseaux que je pêche au large !
Encule-moi si tu peux
Enculons nous dans les bois
Erections municipales
Gode save the gouine
Gorilles dans la brune
Jamais sans ma bite
James Bande 00 Sexe
La croisière s’enfile
La levrette fantôme
La prise de la pastille
La ruée vers Laure
La vérité si je bande
Laisse tes mains sur mon manche
Le bon, la brute et le trou béant
Le bon la broute et fourre son gland
Le con, la et le truand
Le fabuleux vagin d’Amélie Bourrin
Le plus dur est derrière toi
Le tour du monde en 80 trous
Les aventuriers du derche poilu
Les vieux sur la vieille
Merlin l’emmancheur
Out of Patricia
Parle pas la bouche pleine
P’tits culs pour gros cubes
Porn wars
Position : Impossible
Pour qui sonne le gland ?
Pour une poignée de braquemarts
Prenez la queue comme tout le monde
Quand les mamelles s’en mêlent
Rasta kékette
Robinson suce Zoé
Rodéo sur Juliette
Rustine Powers
Sire Anus de Vergerac
Suzanne ! Ouvre-toi !
Tata nique
Total rectal
Toutes les catins du monde
Tous sur ma mère
Tous les trous sont permis
Trois bites chez une copine
Trois hommes et un cul fin
Trois zobs et un cul fin
Un durex™ pour trois
Un morpion nommé Wanda
Une chatte sur un doigt brulant
Vaseline pour les zobs secs ou pompe funèbre
Vicères au poing
Viens chez moi, j’enfile une copine
Verge, seins, G, et tout X
V.i.o.l. au dessus d’un nid de cocus
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69 ? Non 6 puis 9
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Publié :17/2/2016 5h16
Dernière mise à jour :23/10/2017 12h07 22236 vues
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Tu me l’avais bien dit
Que tu aimais le vit
Tu me l’avais décrit
Mais lorsque je le vis
Bon Dieu ! Ce fut inoui
Quelle pipe mes amis
Fichtre, foutre, oh ouiiii
Quoi une telle envie ?
Que d’y penser je jouis
Comment te dire merci ?
Et moi que crois tu donc ?
Que j’étais fanfaron ?
Quand parlant de ton con
D’abord de sa vision
Avec ostentation
De ton exhibition
Puis son exploration
De ma langue en action
Tout autour de ton Mont
Et puis un doigt au fond
Ou deux, bien sûr, pardon
Tu montes dans les tons
Graves puis aigus profonds
Liquides était ton nom
Quoi, une reddition
Il n’en est pas question
Active mon garçon
Oh douces contractions !
Une telle jubilation
Joies sans contrefaçon
Nous avons joui et puis
Lèvres et langues unies
Ensemble nous avons ris
Tes yeux me remercient
Mes yeux te remercient
Et nous continueront
Ainsi à l’infini…..
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Femmes, femmes, femmes
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Publié :15/2/2016 2h32
Dernière mise à jour :3/6/2019 11h01 22356 vues
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Pour faire écho au post de nico_dine : Lectures du week-end (1), voici quelques conseils donnés aux femmes et aux jeunes hommes dans les années 60 et 70.
Je ne sais pas pourquoi, j’aime mieux Pierre Louÿs que les Carnot !
Au service de l’amour. Un livre propre, clair, net. Edition féminine, d’Edith Canot et du Docteur J. Carnot (1979).
On peut y découvrir les suggestions suivantes dans le chapitre « quelques indications destinées à la jeune épouse » :
« Pour faire plaisir à son mari, la jeune épouse s’exercera à devenir une bonne ménagère. Tout sera bien propre dans la maison »
« Elle se perfectionnera dans le métier de cuisinière… ils [les maris] aiment que les mets soient bien préparés. »
« Combien de femmes s’imaginent qu’elles peuvent impunément se montrer à leur mari dans les tenues les plus négligées ! Elles commettent là une erreur. »
« Est-il besoin de dire qu’une femme ne doit jamais fouiller dans les poches de son mari. »
« Chère Madame, surveillez vos nerfs… essayez d’être toujours raisonnable, surtout quand vous avez l’envie de bouder ou de pleurer ».
La version destinée aux jeunes hommes, Au service de l’amour. Un livre propre, clair, net. Édition pour les jeunes gens, (1962), dans le chapitre « quelques conseils et quelques indications pour le futur mari» :
« Tu seras indulgent en te rappelant que les femmes, au point de vue sexuel, sont beaucoup moins favorisées que les hommes. »
« Choisit une qui ait une bonne santé. »
« Ne te laisse pas trop éblouir par les signes extérieurs de la beauté… cela n’a qu’un temps. Le corps s’alourdit et perd de sa grâce. Les traits s’empâtent. Le teint se flétrit. »
Enfin des extraits d’un soi-disant manuel scolaire catholique d’économie domestique publié en 1960 qui circule sur Internet, il s’agit d’un faux mais l’esprit est bien là :
Enfin ceci pour se remettre de tout ça :
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Genres, Sexes, Amours
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Publié :14/2/2016 2h35
Dernière mise à jour :3/6/2019 11h02 22257 vues
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Les genres, les sexes, les amours, l’âme-sœur, des questions vieilles comme l’humanité.
Vision de Platon, il y a environ 2500 ans
Jadis la nature humaine était bien différente de ce qu'elle est aujourd'hui. D'abord il y avait trois sortes d'hommes : les deux sexes qui subsistent encore, et un troisième composé de ces deux-là ; il a été détruit, la seule chose qui en reste c'est le nom : il s'appelait androgyne, parce qu'il réunissait le sexe masculin et le sexe féminin.
En second lieu, tous les hommes présentaient la forme ronde ; ils avaient le dos et les côtes rangés en cercle, quatre bras, quatre jambes, deux visages attachés à un cou rond, et parfaitement semblables ; une seule tête qui réunissait ces deux visages opposés l'un à l'autre ; quatre oreilles, deux sexes, et le reste dans la même proportion. Ils marchaient adoptant une station droite, comme nous, et sans avoir besoin de se tourner pour prendre tous les chemins qu'ils voulaient. Quand ils voulaient aller plus vite, ils s'appuyaient successivement sur leurs huit membres, et s'avançaient rapidement par un mouvement circulaire, comme ceux qui, les pieds en l'air, font la roue.
Leurs corps étaient robustes et vigoureux et leurs courages élevés ; ce qui leur inspira l'audace de monter jusqu'au ciel et de combattre contre les dieux.
C’est alors que Zeus examina avec les dieux le parti qu'il fallait prendre. L'affaire n'était pas sans difficulté : les dieux ne voulaient pas anéantir les hommes car alors le culte et les sacrifices que les hommes leur offraient auraient disparu ; mais, d'un autre côté, ils ne pouvaient supporter une telle insolence. Enfin, Zeus s'exprima en ces termes : «Je crois avoir trouvé un moyen de conserver les hommes et de les rendre plus retenus. Je les séparerai en deux : par là, ils deviendront faibles ; et nous aurons encore un autre avantage, ce sera d'augmenter le nombre de ceux qui nous servent : ils marcheront droits, soutenus de deux jambes seulement.
Après cette déclaration, le dieu fit la séparation qu'il venait de résoudre ; Il coupa chaque homme en deux parties égales. Il commanda ensuite à Apollon de guérir les plaies, et de placer le visage et la moitié du cou du côté où la séparation avait été faite : afin que la vue de ce châtiment les rendît plus modestes. Apollon mit le visage du côté indiqué, et ramassant les peaux coupées sur ce qu'on appelle aujourd'hui le ventre, il les réunit à la manière d'une bourse que l'on ferme, n'y laissant au milieu qu'une ouverture qu'on appelle nombril. Quant aux autres plis, qui étaient en très grand nombre, il les polit, et façonna la poitrine et laissa seulement quelques plis sur le ventre et le nombril, comme des souvenirs de l'ancien châtiment.
Cette division étant faite, chaque moitié cherchait à s’unir de nouveau avec celle dont elle avait été séparée ; et, lorsqu'elles se trouvaient toutes les deux, s’enlaçaient mutuellement, ardemment, dans le désir de se confondre à nouveau en un seul être, qu'elles finissaient par mourir de faim et d'inaction, ne voulant rien faire l'une sans l'autre. Quand l'une des deux moitiés périssait, celle qui subsistait en cherchait une autre, à laquelle elle s'unissait de nouveau, soit que ce fût la moitié d'une femme entière, ce que nous appelons maintenant une femme, soit que ce fût une moitié d'homme : et ainsi l’espèce s’éteignait.
Mais Zeus, pris de pitié, imagine un autre expédient : il met par-devant les organes sexuels, car auparavant ils étaient par derrière : on concevait et l'on répandait la semence, non l'un dans l'autre, mais à terre ; comme les cigales.
Zeus mit donc les organes par-devant, et, de cette manière, il rendit possible un engendrement mutuel, l’organe mâle pouvant pénétrer dans l’organe femelle.
Si, dans l’accouplement, un homme s’unissait à une femme, des en étaient le fruit, et l’espèce se perpétuerait. En revanche, si le mâle venait à s'unir au mâle, la satiété les séparait bientôt, et, se calmant, se tourneraient vers l’action et ils se préoccuperaient d’autre chose dans l’existence.
De là vient l'amour que nous avons naturellement les uns pour les autres : il nous ramène à notre nature primitive, il fait tout pour réunir les deux moitiés et pour nous rétablir dans notre ancienne perfection, pour guérir notre nature humaine. Chacun de nous n'est donc qu'une moitié d'homme qui a été séparée de son tout. Ces moitiés cherchent toujours leurs moitiés. Les hommes qui proviennent de la séparation de ces êtres composés qu'on appelait androgynes aiment les femmes ; et la plupart des hommes qui trompent leur femme appartiennent à cette espèce, à laquelle appartiennent aussi les femmes qui aiment les hommes et trompent leur mari. Mais les femmes qui proviennent de la séparation des femmes primitives ne font pas grande attention aux hommes, et sont plus portées vers les femmes : à cette espèce appartiennent les lesbiennes. De même, les hommes qui proviennent de la séparation des hommes primitifs cherchent le sexe masculin.
La cause en est que notre nature primitive était une, et que nous étions un tout complet. On donne le nom d'amour au désir et à la volonté de retrouver cet ancien état. Primitivement, comme je l'ai déjà dit, nous étions un ; mais depuis, en punition de notre iniquité, nous avons été séparés par Zeus.
PLATON, Le Banquet (extraits)
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Mais qu_est_ce donc ?
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Publié :13/2/2016 9h02
Dernière mise à jour :22/10/2017 22h24 23325 vues
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Qu'est ce que c'est ?....
Photos précédentes :
Gagnante n°1 : PerleDeSoie
Gagnante n°2 : Nico_Dine et Annie_34
Gagnante n°3 : PerleDeSoie et Caro91fr
Gagnant n°4 : Profcoquin27bis
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Citations bis
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Publié :13/2/2016 6h53
Dernière mise à jour :1/10/2018 10h19 22066 vues
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Le sexe, c'est comme la belote, si t'as pas un bon partenaire, faut avoir une bonne main...
Coluche
Ou pas !
Je suis pour l'égalité des sexes, je prendrai moi-même les mesures.
Thiery Le Luron
Le sexe masculin est ce qu'il y a de plus léger au monde, une simple pensée le soulève.
Frédéric Dard
Ou une image….
Ne te moque pas de la masturbation ! C'est faire l'amour avec quelqu'un qu'on aime...
Woody Allen
Une partouze, c'est l'amour avec un grand tas (A).
Jean-Loup Chiflet
Une fois, j'ai fait l'amour pendant une heure cinq. C'était le jour du changement d'heure.
Garry Shandling
Tiens, déjà vu ?
Les Français se masturbent plus souvent qu'ils ne se lavent les dents, car ils n'ont pas toujours une brosse à dents sous la main.
Wolinski (sans « y » !)
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