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HISTOIRE 5 cela fesait longtemps que je n'avais rien posté cadeaux les amis =)
Publié :3/5/2017 8h23
Dernière mise à jour :21/4/2019 4h11
1908 vues

J'étais mariée depuis des années et mon mari me délaissait.
Pourtant j'étais une vraie poupée, avec une taille de guêpe et des fesses à damner un saint. Ma chevelure sombre coulait jusqu'au bas de mes reins et mon regard était de braise.

Un jour, alors que je participais à un repas qui avait lieu dans un jardin, je sentis un pied se coller au mien sous la table autour de laquelle une dizaine de personnes étaient assises.
Je retirais machinalement mon pied. Le pied revint se coller contre le mien.

Je levais les yeux de mon assiette et croisait le regard de mon voisin de table. C'était un homme que je connaissais bien.
Il était beau, brun aux yeux verts et avait au moins quinze ans de plus que moi.
Son regard était neutre, il continuait à converser normalement.
Et son pied touchait anormalement le mien.

Il faisait chaud. Je dégraffais davantage la petite robe légère que je portais.
Mon mari me regarda sévèrement. Il n'aimait pas que je montre mes atoûts.

Je me levais sans réfléchir et me dirigeais vers la grande maison.
Arrivée dans un sombre recoin du vestibule je m'adossais contre le mur frais.
Mon voisin de table me rejoignit aussitôt.

Nous nous jetâmes littéralement l'un sur l'autre.
Je sentais ses mains et sa bouche s'approprier tout mon corps.
Je me collais à lui.
Il me retourna contre le mur, fit tomber ma petite culotte.

Nous ne faisions pas de bruit, pas un mot ne fut échangé.
Seule notre respiration saccadée emplissait l'air.

Je lui tendis mes petites fesses en me cambrant bien docilement.
Il saisait mes seins à pleines mains, s'y agrippa et m'embrocha brusquement.

J'eu beaucoup de mal à ne pas crier tandis que sa grosse queue, dure et longue, me clouait le ventre.

Mon mari surgit brusquement devant nous alors que je sentais le foutre me remplir.
L'homme se rajusta tranquillement et sortit.

Je restais là, pétrifiée, le corsage ouvert sur mes seins aux tétons rouges et gonflés.
Ma robe était retombée mais je sentais le sperme couler le long de mes cuisses.

- Tu veux de la bite ? dit mon mari en riant.

- Tu vas en avoir ! Mais bien davantage de bites que tu n'en demanderas ...
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Histoire de sexe 4
Publié :14/4/2016 2h43
Dernière mise à jour :10/5/2017 23h24
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Ça y est, c’est fait. . Depuis le temps que j’en avais envie…. Nous sommes en couple depuis six mois. Il est adorable, attentionné, mais le problème c’est qu’il a un tout petit pénis. . Je n’ai jamais osé lui en parler. Quand je le caresse, son sexe grossit un peu, mais à peine. Il n’atteint pas dix centimètres en érection. Du coup, pendant nos rapports, je ne ressentais presque rien au début, et depuis quelque temps je ne ressens vraiment plus rien du tout. Pour ne pas le vexer, j’ai pris l’habitude de simuler à chaque fois qu’on fait l’amour. Il s’imagine que je jouis comme jamais alors que pour mouiller je suis à chaque fois obligée de penser à d’autres mecs et en particulier à de gros pénis qui me rempliraient entièrement, qui me combleraient.
J’ai tenu comme ça pendant plusieurs mois, mais là ce n’était plus possible, j’avais trop envie d’une vraie bite. J’ai fait la connaissance d’Alain, un étudiant black il y a quelques semaines. Il me tournait autour et je voyais bien que je ne le laissais pas indifférent… Il m’a proposé de boire un verre chez lui. J'ai immédiatement accepté et pour moi c'était clair j'allais me faire sauter.

J’ai dit à mon copain que j’allais voir une copine. Il a dû remarquer que je m’habillais particulièrement court ce jour-là… Une petite jupe noire, un string blanc minuscule, pas de sous-tif et un débardeur sous lequel mes seins pointaient. Au moment de partir, mon copain m’a dit que j’étais vraiment excitante et il a voulu m’embrasser sur la bouche. Comme j’avais mis beaucoup de rouge à lèvres je l’ai seulement laissé m’embrasser sur la joue et je suis sortie avec un petit sourire coquin. Quelque chose me dit qu’il se doutait un peu du but de ma sortie… Mais il est tellement gentil qu’il m’a laissé faire…

A peine arrivée chez Alain, j’ai senti que tout allait se passer très vite. Il me fait la bise en laissant assez longtemps sa bouche contre ma joue. Il me dit que je suis ravissante et m’offre un verre de vin tout en me bombardant de compliments sur mon physique… C’était impossible de résister ! Après un deuxième verre, je me suis montrée assez entreprenante. La conversation a bien vite dérivé sur le sexe… Il m’a demandé, de manière assez crue, si tout allait bien de ce côté-là. En lui parlant, je caressais distraitement le bout de mes seins qui pointaient sous mon débardeur… Et je lui ai parlé de mon copain, de la difficulté qu’il éprouvait à me faire jouir, bien qu’il en ait peu conscience. Il a commencé alors à sourire et en est venu à me demander la taille de son pénis. J’étais gênée alors, j’avais vraiment l’impression de trahir mon copain, mais je lui ai dit de but en blanc qu’il était vraiment petit. Alain en a profité immédiatement en me demandant : « Comment ça, petit ? » et il s’est approché de moi, il ressentait je pense que ma chatte était déjà ouverte prête à l’accueillir.

Quelque minutes seulement plus tard, il avait la main sur le bouton de sa braguette… et je l'entendais dire « Montre-moi », en sortant sa bite… Elle était énorme. Très large, très longue. Il la caressait doucement, découvrant son gland énorme et l’approchant de mon visage. Tout d’un coup, prise d’une pulsion irrésistible, je l’ai avalée d’un coup et je l’ai sucée frénétiquement. Il s’est mis alors, soudainement, à me dire : « T’en avais envie, hein ? » Je ne répondais pas, c’était beaucoup trop bon, j’avais envie de la prendre en entier dans ma bouche mais je ne pouvais pas. Quelle différence avec la bite de mon copain ! Alain a continué à mal me parler, ça m’a excitée incroyablement. Sa bite allait et venait dans ma bouche de plus en plus vite, il a pris mon visage par les cheveux et l’a rapproché violemment de lui pour que j’avale le mieux possible sa grosse bite de black. Ma petite culotte était littéralement inondée...
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histoire de sexe 3
Publié :30/3/2016 3h52
Dernière mise à jour :21/4/2019 4h12
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Belle rencontre à la plage
C’était un dimanche de juillet, avec mon mari Franck, nous allions sur une plage naturiste. Il n’y avait vraiment pas foule ce jour-là.
Nous avons étalés nos serviettes à quelques mètres d’un jeune homme, d’une trentaine d’année que nous avions repéré.
Alors que Franck commence à me passer de l’huile sur le corps, il me glisse à l’oreille « je demanderai bien au mec a côté de finir de te mettre de l’huile ». Rien qu’à cette idée je le sentais durcir.
Je lui ai répondu « pourquoi pas » puis il fait signe à l’homme de nous rejoindre, ce qu’il fit immédiatement.
Franck lui dit « voudriez-vous continuer à mettre l’huile pour moi, car je n’ai pas les mains super douce pour ça » il poursuit « j’espère que les votre le sont » auquel l’homme répond « très douce oui ».
Puis il s’exécuta. Je le sentais très insistant au niveau de mes fesses, voir même un peu dans mon entre fesses, qui devait surement laisser apparaitre mon petit trou.
Au bout de quelque minutes, Franck dit « et bien dit donc ma chérie, tu fais un bel effet à notre ami ». Je me retourne, et en effet il avait une belle érection. Il s’appelait sylvain, beau brun et super sympas.
Apres mettre retournée pour faire le côté face de mon corps, on voyait bien que Sylvain prenait beaucoup de plaisir à m’étaler l’huile et n’hésitait pas à bien passer entre mes cuisses. Il était d’une douceur, c’était trop bon.
Puis Franck sort mon mini vibro et me demande de montrer à Sylvain comment je l’utilise.
De plus en plus excitée, j’ai commencée à jouer avec, en regardant Franck et Sylvain la queue à la main, suivre attentivement le spectacle que je leur offrais.
Nous l’avons invité à prendre un verre dans notre bungalow, qu’il a accepté sans hésitation.
Alors que Sylvain me complimentait sur mon corps, Franck me pris par la main et me fit tourner sur moi-même pour me montrer dans les moindres détails. Franck était très excité de m’exhiber comme ça.
Le sexe de Sylvain commençait à prendre du volume, je lui ai même dit que j’étais impressionnée de la taille qu’elle prenait.
J’ai commencée par le masturber avec douceur puis me suis mise à genou devant lui pour le prendre en bouche et le sucer. J’avais du mal à l’engloutir tout entier, mais un vrai régal. Franck assis sur le fauteuil, n’en perdait pas une miette. Puis viens vers Sylvain et lui tend un préservatif.
Sylvain ne s’est pas fait prié, il a écarté mes jambes puis je l’ai senti s’enfoncer en moi, suivi d’un va et viens de bonheur.
Mon mari l’encourageait avec des « vas-y, baise –là bien à fond », tout cela m’a fait jouir en criant très fort. Sylvain lui a rempli sa capote. Franck lui s’est avancé et a déchargé sa semence sur moi.
Pendant quasiment quinze jours, tous le soir, Sylvain passait prendre et l’apéro et me baiser pour notre plaisir à tous les trois.
Nous avons fini par devenir amis, et nous voyons de temps en temps, pour des ébats grandioses.
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histoire de sexe 2
Publié :7/3/2016 5h45
Dernière mise à jour :25/6/2016 4h39
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Julia est une amie, une amie plutôt intime, une amante, une très belle amante. Elle est d’un âge que l’on dit mûr, qu'elle porte délicieusement bien, ses presque soixante ans. Fine, avec des rondeurs au ventre et à ses fesses, elle est d’une sensualité débridée, très gourmande, coquine et avide…

Son visage porte les ans mais de lui émane une beauté délicieuse. Elle est blonde et porte des cheveux longs. Son regard est perçant, parfois sérieux mais souvent plein de tendresse et de complicité. Elle porte autant le jean’s que le tailleur et cela lui va très bien.

Julia et moi avions décidé de fêter ce coup-là entre nous, sans rien d’autre… Nous avions prévu de manger un petit morceau chez elle puis d’aller boire un verre quelque part… Ce quelque part ne fût pas bien loin, puisque c’est plus tard que nous y sommes allés….

Entre temps, nous nous étions un peu enivrés en mangeant, et nous nous étions excités l’un de l’autre. C‘est Julia qui entama les festivités en me caressant. Elle avait tendu sa jambe sous la table, et frottait son pied au bas de mon ventre, me regardait droit dans les yeux et me demandait directement, un sourire malicieux et complice au visage :

- Tu veux prendre une leçon d’amour ?…
- Tu m’as pas dit que je n’en avais pas besoin ?…

Nous nous sommes levés, et debout, nous nous sommes approchés l’un de l’autre. Nos corps se sont touchés, sa main avait pris de l’avance, elle s’était emparée de la bosse du bas de mon ventre…

- Bin mon cochon, tu bandes déjà, c’est moi qui t’excite ainsi ?
- Oui, tu le sais… je m’étais emparée de ses fesses…

Nos bouches se sont jointes, se sont ouvertes et nos langues se sont mises à danser. Nous étions un peu chavirés, et surtout très excités maintenant… Julia savait parler, regarder, se déplacer, "danser" pour exciter un homme, et elle me faisait souvent monter…

Son corps ondulait avec sensualité, sans retenue, je sentais son mont de vénus au bas de mon ventre, je devinais la chaleur de son sexe irradier au travers des étoffes qui nous séparaient encore… Elle se frottait avec vigueur ainsi tandis que ses fesses subissaient les assauts de mes mains désireuses. Elle se trémoussait, la coquine, je la savais sensible à ces caresses et c’est avec toujours de grands délices que je sentais les rondeurs de son ventre de femme vibrer…

Julia est une femme très coquine, nous étions sortis ensemble, avec "fidélité" pendant quelques mois avant de nous découvrir finalement comme amants occasionnels, mais toujours très fougueux et intenses. J’adorais ces moments où je devinais ses pensées, ses désirs, ses envies. Nous restions quelques temps sans nous contacter, puis… je l’appelais ou elle appelait, et nous nous retrouvions, nous nous arrangions de façon à nous laisser un peu de temps ensemble, ou toute une nuit… seul à seule, et petit à petit, nous glissions. Ce n’était jamais certain, mais souvent, nous arrivions au lit, quand il y en avait un, ou ailleurs, mais souvent, nus…, nous finissions par faire l’amour, ou baiser !

Et dans ces moments, nous nous parlions avec des mots qui nous berçaient plus encore d’excitation.

Mes mains étaient sous sa jupe, toujours occupées à lui malaxer le cul comme je l’aurais fait d’une pâte… je serrais fermement ses chairs, lui caressaient les cuisses, mes doigts s’aventurant en sa vallée… J’effleurais ses fleurs, les deux, elle adorait ! L’effleurer sans aller plus loin la mettait dans tous ses états, je la faisais monter, elle m’avait bien appris ses réactions, ses attitudes et j’en jouais, comme elle jouait des miennes !

Elle s’était débarrassée de sa petit culotte, m’offrant ainsi la douceur de sa peau, la chaleur de ses désirs, l’humidité de ses fleurs, la rondeur de ses chairs enflammées de désirs. Cela faisait certainement un moment que l’air devait jouer sous sa jupe et caresser son nid de plaisirs ! Et cette fois-ci, elle portait des bas, elle savait que j’appréciais cela !

- Mmmmh, j’adore sentir ta queue dans ma main…
- Et moi, Julia, c’est ta chatte que je vais dévorer, comme tu aimes…
- Oui, vas-y, dévores-moi la chatte, je suis en feu !!!
- Moi aussi, je suis en feu…

Oui, elle était en feu ! A ces mots, elle s’est séparée de moi pour me prendre par la main et m’emmener dans la chambre. Cette fois, nous étions chez elle, à l’abri de toute indiscrétion et nous savions que nous pourrions en profiter, pendant quelques heures, sans nous retenir…

Elle s’est allongée sur le lit, sur le dos, écartant ses cuisses immédiatement… Elle m’attira à elle et je dus m’allonger sur elle. Nos lèvres se rencontrèrent, nos langues dansant une folle sarabande encore. Mes mains parcouraient les courbes de son corps, ses seins, son ventre, ses jambes, ses cuisses… Elle s’ouvrait complètement, et me serrait à elle. Je sentais ses mains fermement posées à mon cul, et elle se frottait de plus belle…

J’aurais voulu la pénétrer en cet instant, mais je nous savais trop désireux d’explorer d’autres jouissances. J’adorais passer des heures ma bouche collée à sa chatte, ma langue explorant les moindres plis de sa fleur, et elle aimait particulièrement cela… En fait, elle adorait que nous fassions l’amour, à chacune des fois, nous le faisions autrement et finalement, tant nous faisions l’amour, tant nous baisions, sans retenue que celle de nos plaisirs partagés. A chacune des fois où nos corps s’unissaient, c’était une véritable fête !!!

- Tu m’aimes, hein chéri ?
- Tout ton corps, ta peau, ta chatte, tes seins, ton cul, ton âme vicieuse !
- Baise-moi fort, tu vas pas regretter ce que je vais te faire…
- Tu vas me faire quoi ?
- Je vais te bouffer la queue, quand tu m’auras fait jouir, je vais te branler !

Je me détachais d’elle, l’aidant à se dévêtir.
Elle était nue, sur le dos, face à moi, les cuisses largement écartées, sa chatte toute ouverte, béante… sa chatte m’appelait, je pouvais presque la voir s’ouvrir et se fermer comme si elle me parlait. Elle ne me parlait pas, elle appelait ma langue !

- Donne moi ton cul avant, s’il te plaît, je vais te manger par derrière, ça me rend fou !…

Elle se retourna prestement, ses jambes tombant au sol, me tendant sa croupe de femelle en chaleur. J’étais un mâle devenu fou de désir !… Elle m’offrait son cul et de ses mains pleines de folie, elle s’écartait les fesses, m’offrant la vue de sa petite fleur, de son anus, elle savait que je devenais totalement fou…

Je me déshabillai, mes yeux rivés à son son beau cul !
Je commençai par me débarrasser du bas, libérant ma tige pour la plaquer immédiatement à ses chairs, elle adorait sentir mon bâton vibrer ainsi entre ses fesses. Tout en ôtant le dessus, je parvins à la pénétrer, sans retenue, sans douceur, elle était toute ouverte, et ma queue disparaissait immédiatement en son centre. Elle était bouillante et gluante de désirs, et je m’y enfonçais sans mal.

Parfois, nous y allions avec douceur, lenteur, le temps pour nous de nous préparer au maximum de plaisirs et à d’autres moments, comme celui-ci, nous savions que nous étions prêts, que nous pouvions jouer l’un de l’autre sans fausse retenue… presque avec brutalité…

Je finissais de me déshabiller en lui parlant…
- Tu me sens ? cochonne, vicieuse que tu es ?
- Oui, c’est bon de te savoir en moi… Je deviens folle, fais-moi jouir vite…
- T’aimes ça, hein ?…
- Tu devais pas y aller avec ta langue, cochon ?
- Oui, oui, je finis de me déshabiller, et je te dévore…

En fait, j’étais nu, je m’étais emparé de son cul, et je la pénétrais avec force. Je lui écartais ses larges fesses sans me retenir, découvrant son petit trou du cul, tout rose…

- Tu sais que tu as de belles fesses ?
- Arrête avec ça, fais-moi jouir…
- J’adore ton cul…
- Tu vas voir, tu vas aimer mes doigts !!!

Une fois bien enduits, je me portai à sa raie, et commençai à jouer avec sa petite corolle. A chacun des contacts, nous nous sentions envahis d’électricité tandis que je continuais à lui marteler la chatte de ma queue gonflée et raidie par le plaisir. Je voyais ses fesses onduler, vibrer à chacun de mes coups, et j’entendais ses râles répondre.

- Défonce-moi le cul, vite, mange-moi !…

Je ralentissais nos mouvements de façon à pouvoir lui envahir son autre petit trou. Mon majeur se rendit aux abords de ce trou béant de plaisir que je voyais vibrer de désir. Lui aussi semblait appeler ! Puis je l’enfonçais doucement d’abord, puis intensément, de plus en plus intensément, de plus en plus profondément. Une fois totalement entré en elle, continuant à lui limer la chatte, mon doigt se prit de mouvements. J’entrais et sortais de son anus rapidement, je l’entendais grogner…

- Vicieuse, t’aimes ça, hein ?
- Oui… Plus fort, défonce-moi…

Un second doigt se joignit à la danse et la pénétra sans difficulté. Je lui martelais l’anus de deux doigts agiles, lui écartai ses chairs pour la préparer… Avant de jouir en elle, je voulais continuer à la faire monter, j’adorais quand nous nous comportions comme des affamés de sexe, de cul…

Je me séparai d’elle et m’agenouillai au sol. Mon visage placé à hauteur de ses fleurs, mes mains lui écartèrent ses fesses dodues. Je les embrassais, mordillais ses chairs, reniflant ses odeurs intimes, ses odeurs délicieuses. Je sentais son désir, sa chatte luisait, ses lèvres intimes largement ouvertes… Ses quelques poils n’étaient plus que de simples épis brillants, même à son petit trou. Ma langue s’y fixa, je me raidissais pour parcourir la totalité de son anus.

En même temps, je me branlais contre ses jambes, parfois en y mettant mes mains quand je la lâchais mais ce n’était jamais très long, mes mains revenaient à ses petites broussailles que j’écartais le plus pour aller goûter à son jus, ses jus…

- Tu te souviens d’une promesse que tu m’as faite ?
- Ah oui, laquelle ? parvins-je à balbutier, ma bouche toute collée à sa chatte ou son anus… Je savais très bien de quoi elle parlait, je m’en souvenais de cette nuit…
- Tu me promets de m’enculer ? m’avait-elle demandé une nuit coquine…

Je me souvenais très bien de ce moment, et jamais nous n ‘étions parvenus à cela…

- Tu veux que je te prenne dans le cul ? Je croyais que tu voulais ma langue pour ta chatte ?
- La, c’est bien… je suis bien pour ça ? Hein ? me fit-elle en dandinant son cul devant les yeux…

Je ne pouvais pas dire non, elle était parfaite pour cela, le ventre sur le lit, son cul offert à mes assauts sur le bord du lit… Ma langue fouillait ses trous avec ardeur, les enduisait de ma salive bouillante mêlée de son jus. Elle grognait, couinait, gémissait sans retenue, ondulant son corps de milles vagues frénétiques, me tendant plus ardemment son cul, sa chatte. Elle désirait se faire bouffer tous les trous, et je les dévorais parfois avec douceur, parfois avec force. Ma langue lui pénétrait la chatte, je la lui ouvrais en tirant ses grosses fesses.

- Je vais nous préparer !!!

Je recommençais à la lécher, à parcourir les moindres plis de ses fleurs, les enduisant. Je déposais généreusement quelques gouttelettes de salives entre ses fesses puis je me retirai. De ma main gauche, je la plaquai au lit et de ma main droite, je lui travaillai l’espace d’entre ses belles fesses. Elle avait réussi à se dégager un bras et s’était emparée de ma tige qu’elle massait avec volupté et intensité. Je finissais de lui travailler le petit trou en y pénétrant un puis deux, puis trois doigts. Elle s’écartait peu à peu, je sentais son bel anus vibrer, vivre, se dilater.

- Vas-y, mon chéri, défonce-moi maintenant, je suis prête !!!

Elle se retourna, me présentant son ventre, ses seins. Je lui caressais les petits plis de son ventre généreux, elle se branlait tour à tour les seins puis la chatte. Elle écartait totalement ses cuisses, me présentant sa chatte béante, puis elle se cabra. Posant ses pieds à mes épaules, elle écarta ses fesses, me montrant le chemin de son petit trou anal. J’y descendais, je désirais encore la préparer, la bouffer. Sa chatte était démesurément ouverte, j’y plongeais, ma langue lui parcourant la totalité de ses chairs. Elle était humide et bouillante, et de son jus de femme, mêlé à ma salive, j’en faisais un mélange brillant mais surtout bien lubrifiant.

- Attends, je vais te préparer un peu, je sais que tu aimes…

Elle se redressa, je me levai et ses mains s’emparèrent de ma tige. Elle adorait sentir une queue dans sa main, elle adorait me sentir devenir fou, ivre de plaisir quand elle me branlait. C’est souvent ainsi qu’elle me réveillait, en me branlant, puis en me suçant. Sa bouche ne tarda pas à suivre le mouvement. Elle l’ouvra pour y mettre ma tige, l’enduire de sa salive tout en me malaxant les couilles, les fesses… Elle adorait me prendre les fesses et m’imprimer un mouvement de va-et-vient de façon à me gober la tige. Me branler dans sa bouche l’excitait toujours terriblement, elle grognait de plaisir, de satisfaction et la traiter de cochonne vicelarde, de salope, de vicieuse la mettait dans tous ses états dans ce genre de moments.

Je m’étais emparé de sa tête et l’aidais dans mes va-et-vient, elle me faisait monter avec une intensité indescriptible. Elle arrivait toujours à me faire durcir, sans me faire jouir lorsque qu’elle voulait que la pénètre, en me faisant jouir avec force lorsqu’elle voulait mon jus, mon sperme.

Au tout début, elle n’aimait pas avaler mon jus, mais elle y avait pris goût, mais ce qui l’excitait bien plus encore, c’est de me faire jouir sur son visage. Dans ces moments de délice, elle me branlait avec force et douceur à la fois, ouvrant légèrement sa bouche, mais me tenant un peu éloigné et sentant mon explosion arriver, elle s’activait avec rapidité et presque brutalité jusqu’à ce que mon jus gicle. Elle s’enduisait le visage, faisant en sorte de ne pas fermer les yeux pour regarder ma queue avec plaisir et envie baver, vibrer. Elle adorait que nous embrassions ensuite, nos langues se mêlant, nous échangions ce jus de bonheur, elle ne voulait pas en perdre une goutte…

Cet après-midi, elle ne voulait que me préparer, me durcir !
Me sentant prêt à la prendre, me sentant assez dur et tendu, elle se rallongea et posa ses pieds à mes épaules tout en se branlant la chatte sans retenue. Elle savait qu’elle m’excitait ainsi, j’adorais la voir se comporter comme une salope assoiffée de queue. Elle souleva son cul, écarta ses fesses, m’invitant à la prendre… Ma queue toute luisante de sa salive, son anus tout luisant de la mienne, je m’approchai d’elle.
Son corps fut secoué de spasmes lorsque mon sexe toucha son petit trou. C’était notre première fois, mais ce ne l’était pas pour elle, j’ai pensé. Ce ne l‘était pas pour moi, et je savais comment me glisser en elle.

- Sois doux, chéri, doucement, je n’ai pas l’habitude…
- Ne t’inquiètes pas, ma belle, je vais venir doucement...

La douceur nous envahissait maintenant, après ces quelques moments de folie vicieuse. Un dernier coup de langue entre ses fesses, un dernier baiser à son anus, et je commençai à venir en elle. Doucement, mais avec fermeté, ma queue se logea exactement entre ses fesses. Je sentais son anus à l’extrémité de mon bâton de joie, je le sentais vibrer.

Doucement, je forçais le passage de ses chairs étroites, et me sentais l’envahir. Ses mains se crispaient au gré de mon entrée… mais je la sentais s’ouvrir… Elle se cambrait, et mes mains la prenaient. Sa taille n’avait plus de secret pour moi, je l’avais souvent prise ainsi !

Tout doucement, au gré de nos mouvements, je m’enfonçais en elle, ma queue envahissait son rectum. Elle grimaçait, à la fois de plaisirs et de douleurs, mais elle se cramponnait à moi maintenant, je ne pouvais plus me libérer. Ma queue entrait lentement en elle, son cul se dilatait petit à petit, et ses grognements se faisaient sincèrement les témoins de son plaisir.
Je nous regardais, elle savait que j’aimais cela, nous regarder… et elle souriait…

- Tu aimes ? entendis-je…
- Oui, ma belle, j’adore même… Je ne te fais pas mal ?
- Si, j’ai un peu mal, mais c’est tellement bon aussi… Je savais que ça te plairait de m’enculer, ça te plaît ?
- Oui… ça me plaît terriblement…
- Tant que ça ?
- Oui…
- J’adore quand ça te plaît…
- Je sais, ma coquine, je le sens bien !

Mes mains s’étaient posées à ses hanches, et je m’y cramponnais, l’envahissant tout doucement… jusqu’à ce moment de bonheur de me sentir totalement en elle. Son anus était totalement ouvert, j’étais profondément en elle, ma queue dans son anus. Elle n’avait plus mal maintenant, elle me demandait de la marteler, de lui défoncer le cul… Elle avait commencé à bouger, son ventre s’ondulait, ses cuisses s’écartaient, son cul s’ouvrait…

J’étais debout au bord du lit, cramponné à elle, ma queue raide et tendue à l’extrême dans son intimité rectale.

- J’aime ton cul, Julia, c’est doux, c’est bon !!!
- Arrête de causer, chéri, fais moi jouir, défonce-moi, j’veux sentir ton jus dans mon cul, j’veux que tu jouisses aussi…

Je commençais mes mouvements de va-et-vient en elle, elle s’ouvrait, s’écartait totalement. Elle ne grognait plus maintenant, elle couinait !

- Ohhhh, c’est bon !!!

Elle ne disait que ça, le répétait sans cesse tandis que mes mouvements se faisaient plus rapides, plus brusques.

Je glissais en elle, dans son plus étroit des trous, aucune résistance, elle était totalement ouverte, totalement glissante, accueillante. Je montais sur le lit, difficilement, pour ne pas nous séparer à chacun de nos mouvements furieux de douceur et d’intensité. Elle se cabra encore plus, son ventre presque à la verticale de son visage, recourbée totalement, offerte… Mes mains étaient posées à ses cuisses, je la maintenais ouverte et je la martelais sans aucun ménagement maintenant. J’étais sur le lit maintenant, et je la voyais se branler la chatte, j’aurais aimé la manger mais je ne pouvais pas, je l’enculais !!!
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histoire de sexe
Publié :7/3/2016 5h36
Dernière mise à jour :30/3/2016 3h32
6078 vues

Ce weekend, mon épouse fête ses trente ans. Pour l’occasion, j’ai décidé de lui offrir en cadeau, un fantasme qu’elle a depuis qu’on est marié.
A savoir, inviter un homme, qui la prenne devant moi. C’est vrai, que depuis quelques temps, cette envie s’est estompée. Elle n’en parle plus.
C’est pourquoi, j’ai décide de réveiller ce vieux démon.
Ce soir, mon épouse Carole est vêtue d’une simple nuisette, sans rien dessous, comme je lui ai demandé. Comme je lui demandé aussi, de s’épiler la chatte.

-Je ne comprends pas Marc, dit-elle, aurais-tu une idée derrière la tête.
-Mais pas du tout ma chérie…ah, tiens…on sonne à la porte, bouge pas.
Kevin, mon pote, mais rentre. Tu tombe bien, c’est l’anniversaire de ma femme. J’ai mis du champagne au frais, tu vas trinquer avec nous....
-Ah ouais, bon anniversaire Carole, dit Kevin en l’embrassant.
-Merci, répond mon épouse en le toisant de la tête aux pieds.

Mon épouse connait bien Kevin. Elle le trouve très séduisant, d’une virilité débordante. Il a longtemps fait parti d’un de ses fantasmes.

-Je reviens, dit mon épouse, je vais mettre une tenue plus décente.
-Mais pourquoi, tu es très bien comme ça, et puis Kevin sait ce que c’est.
Asseyons-nous, sur le canapé. Chérie, installes toi là, entre nous deux.

Mon épouse hésite, puis accepte. Dès lors, il me faut trouver le moyen de l’emmener à ce pourquoi j’ai invité Kevin. Tout en discutant, je pose une main sur sa cuisse, remonte sous la nuisette. Elle se tourne vers moi, fait les gros yeux, et me murmure à l’oreille.

-C’est quoi ton plan salaud, dit-elle, que je m’offre à ton copain, c’est ça ?
-Si tu le souhaites ma chérie, t’es pas obligé, c’est toi qui décide.

Carole n’a pas le temps de répondre, que déjà, la main de Kevin se glisse sous la nuisette. Carole écarte les jambes, pour faciliter le passage.
Kevin sait pourquoi je l’ai invité, pour baiser ma femme. Carole me prend les lèvres, pendant que mon copain lui caresse la chatte.

-L’enfoiré, gémit-elle, il gratte ma petite chatte…ouah…
-Laisse toi faire ma chérie, c’est ton anniversaire, profites-en…

Mon épouse se tord sur le canapé, sa respiration s’accélère, elle gémit de plus en plus fort. Je lui ôte sa nuisette, la met entièrement nue.

-Mais que t’arrive-t-il ma chérie, t’es bien excitée.
-Ce salaud…il a enfoncé deux doigts dans ma chatte…hou…il me branle…il a décalotté mon clitoris…il me le doigte…oh oui…je vais jouir…

Soudain, elle se cambre en prenant appuie sur ses pieds. Elle a un terrible orgasme, du jamais vu eu avec moi. Carole se tourne vers Kevin, qui a ôté ses vêtements. Elle se penche, saisit sa queue, la décalotte, puis la prend en bouche. Lentement, elle commence à la sucer.

-Hum, qu’elle est belle cette queue…j’aime sucer les grosses bites.
-T’aimes ça hein, râle Kevin, vas-y, régales toi.

Je suis tout excité de voir ma femme tailler une pipe à mon copain. Je ne suis pas surpris, quand au bout de quelques minutes, je le vois cracher dans sa bouche. Carole avale tout le jus, sans perdre une goute.

-Hum…c’est bon…t’avais une grosse envie…salaud…
-T’inquiètes, poursuit Kevin, tu en auras encore.

Ce n’est pas fini. Kevin la force à se mettre à genoux sur le canapé. Il veut la prendre en levrette. Carole me regarde, attend mon feu vert. J’acquiesce des paupières pour la rassurer.
Je vois l’énorme bite de mon copain taquiner le petit bouton de mon épouse, puis je la vois coulisser dans sa chatte entièrement ouverte.

-Oh mon chéri, tu as vu ton copain comme il me baise…comme il est monté…oh putain…tu te régales de voir ta femme se faire prendre par un autre mec…vicieux que tu es…

Après cinq minutes d’intense va et vient, Carole à un terrible orgasme, le deuxième de la soirée, elle hurle de plaisir. Elle se tord le cou pour donner un baiser à son partenaire, puis le couple s’écroule sur le canapé.

Le matin, Carole me rejoint au petit déjeuner. Elle ne peut cacher les cernes sous les yeux, suite à une nuit de folie

-Alors ma chérie, lui dis-je, je t’ai trouvé bien agitée cette nuit.
-C’est ton copain, ce salaud, si tu savais…il m’a tout fait. Il m’a branlé, doigté mon petit bouton, il a laissé sa queue toute la nuit dans ma chatte. Je ne sais pas combien de fois il m’a fait jouir. Il a du éjaculé au moins cinq fois. Je me demande si on n’a pas joui en somnolant.
-Je t’avais dis que c’était un baiseur.
-Un baiseur, un phénomène tu veux dire, je ne sais pas s’il lui arrive de débander.
-Mais je n’en doute pas ma chérie, c’est pour ça que je l’ai choisi pour ton anniversaire. Mais je trouve que tu ne t’es pas trop exprimée, j’ai compris que tu étouffais tes cris. Je ne dormais pas tu sais, je t’ai entendu gémir.
-Tu ne dormais pas. Si j’avais su, je t’aurai taillé une pipe pendant qu’il me baisait. Et moi qui n’osais pas me lâcher, par respect pour toi.
-Tiens, voila Kevin, justement on parlait de toi.
-En bien j’espère, répond Kevin…bonjour vous deux, bien dormi.
-Bien dormi ? Carole, pas trop apparemment. Je pense qu’elle a besoin d’un remontant, tu ne pourrais pas lui donner le biberon…hein ma chérie.

Carole ne se fait pas prier. Elle dénoue la serviette de bain. Kevin apparait, entièrement nu, la bite déjà en érection. Ma jeune épouse saisit la queue, la décalotte, la prend en bouche, et commence à sucer.
-Ouah, râle Kevin…c’est vrai qu’elle est bonne…elle suce bien.
-Elle adore tailler des pipes, poursuit Hervé, elle aime bien avaler aussi.

Après avoir avalé la semence de Kevin, celui s’habille. Il nous remercie, pour cette agréable nuit érotique. Il prend congé, après avoir donné un tendre baiser à Carole. Il me semble même voir une larme couler sur la joue de mon épouse. Elle se retourne, passe ses bras autour de mon cou.

-Merci mon chéri, me dit-elle, tu m’as fait un merveilleux cadeau. Mais je regrette que tu n’aies pas participé.
-C’était ton cadeau d’anniversaire mon amour, je ne pouvais le partager.
-Tu es un merveilleux mari, je t’aime mon amour.
-Nous ne sommes pas obligés d’attendre ton prochain anniversaire. Kevin est souvent disponible. On peut l’inviter quand tu veux.
-C’est vrai, bondit Carole, tu ferais ça pour moi. Allons au lit, tu as droit à une récompense. Je vais te faire plein de gâteries...
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