Songes ...
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Publié :19/5/2009 11h32
Dernière mise à jour :9/10/2009 12h56 1230 vues
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Etrange,
cette envie retenue de franchir son aura, toucher sa mélodie, pénétrer sa danse, s'envoler sur ses rythmes, flirter la caresse à sentir la chaleur de ses envies
Envoûtante,
cette curiosité pour ses jardins secrets à s'y rêver fouler les pieds nus son gazon épais, s'enivrer des senteurs subtiles de l'herbe fraîche, s'émerveiller du coquelicot qui doucement s'éveille léché au rayons d'un soleil voyeur, se saouler à boire sa rosée du matin telle une potion magique
Pénétrante,
cette intuition d'aimer déjà ses aimances maîtresses à l'avoir trop imaginer, convaincu d'avoir eu son siège vaincu tantôt à la ruse du de Troie, tantôt à force d'assauts bienveillants
Etrange
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Anthologie de sexualit
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Publié :12/8/2008 12h26
Dernière mise à jour :9/10/2009 12h53 1101 vues
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L, Laurore Boréale
Cette nuit là, nuit de rêves, tu es venu chez moi, à l'improviste mais cela paraissait tout naturel. Tu est rentrée, sans un mot tu t'es dirigée directement dans ma chambre, toi étrangement familière en ces lieux, nos attitudes paraissaient s'inscrire dans un rite déjà bien établi !!!
Méticuleusement, sans l'ombre d'une hésitation, d'un quelconque doute, tu t'es mise à nue, puis tu a plongé sur la couette de ma couche, tu t'es allongée de tout ton être, sur le ventre, tous les membres déployés, les cuisses largement ouvertes ... Tu semblais déjà t'émouvoir de la caresse de l'air léger qui t'envahissait, à moins que ce soit l'idée naissante à ton esprit du rituel qui devait suivre ...
Je t'ai suivi dans tous tes gestes, à les accompagner, les encourager en me délestant également de mes vêtements trop lourds. Tu a glissé un doigt le long de ta raie aux merveilles comme pour en indiquer le chemin, et je t'ai vu tout doucement te donner ces premiers frissons de désirs, prémices tout au bout de ton doigt expert.
Voyeur bien opportun, je contemple ce charmant tableau érotique, une oeuvre bien vivante, observe attentionné, et bien intentionné, les moindres détails de ta sensualité pour en découvrir l'âme profonde. Je te suis, a me caresser, sans trop savoir si ces caresses sont imaginées, ou réelles, ou les deux ! Et je te sens confortée par cette présence dressée au seuil de tes fesses offertes sur l'hôtel aux plaisirs, telles une promesse aux délices à venir.
Je te caresse, tendrement, méticuleuse, longuement, le temps s'est suspendu au creux de mes mains explorant la douce chaleur de ta peau frémissante. Tout mon corps, tous mes membres, toute ma bouche participent au massage de tes désirs pour en modeler les plus belles envies. Lorsque le grand voyage de mon sexe sur ton corps croise le chemin de tes mains ou de ta bouche, tu lui prodigue quelques douceurs pour l'encourager dans ses fougueux élans.
Telle une fatalité, une destinée bien tracée, mon sexe à trop s'égarer dans le creux de tes fesses entrouvre la porte de ton intimité douillette. J'entends ce gémissement qui m'invite à pénétrer l'intérieur, je sens son humidité m'en rafraîchir l'extrémité trop excitée de tant de voluptés. Je m'y sens bien et m'y installe bien profondément et en parcours toute l'étendu dans un grand va et vient incessant que tu accompagne et amplifie.
Il me semble que nous sommes restés ainsi accrochés toute la nuit, moi pendu à tes lèvres onctueuses et toi remplie, comblée de mon membre gonflée de l'orgueil de se savoir ton hôte intime
J'en avais rêvé !!!
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Anthologie de sexualit
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Publié :25/4/2008 23h11
Dernière mise à jour :6/5/2009 11h42 1158 vues
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C, Charmeuse de Serpents.
Etrange ce X qui à lui tout seul fait le lien de exotique à érotique. Elle est un grand voyage entre un Orient proche et extrême, sur un fond de saveurs mélodieuses et d'images rougies d'évocations troublantes, à vouloir s'imprégner des mystères de ses esthétismes. Zen, en silence sous un fond sonore, elle m'a laissé un doigt en explorer les contours subtils, en redessiner les formes généreuses jusqu'à explorer ses profondeurs sensibles, son ying et son yang à la fois, elle dans une passivité lascive.
Dans un élan soudain, elle s'est agrippée à mon flambeau ardent comme un navire sortie de la tempête s'agrippe à une bite d'amarrage les yeux rivés sur le phare du port. Naturellement, elle l'a enveloppé de sa bouche si suave pour en éteindre le feu, allumé par elle-même cette pyromane. De ses caresses gustatives si pénétrantes, elle a réussi à mon grand étonnement à en arracher une offrande, abandonnée bien volontiers à sa gloutonnerie.
Assurément, elle ne m'a dévoilé que les quelques fragments de son âme profonde. De son énigme à peine défleurée, il reste tant à percer, à transpercer au marteau -piqueur si nécessaire !
A suivre ...
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Anthologie de sexualit
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Publié :22/4/2008 13h38
Dernière mise à jour :25/5/2008 11h39 1139 vues
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M, Marathonienne Nymphopatique.
Un petit bout surexcité, a peine le bout de ses seins effleuré, et hop, la voila lancée sa machine aux envies, le bouton ON bloqué en zone rouge, plus d'alternative possible, va falloir aller jusqu'au bout du programme. En machiniste consciencieux et assidu, je connaissait la méthode pour apaiser la mécanique de précision de ses bouts sensibles qui s'emballaient si vite.
Le rite était bien établi, repli stratégique dans sa chambrette, là nos fringues giclaient en explosion atomique. Je me vautrait sur le dos et sans l'ombre d'une hésitation, elle m'attrapait le sexe encore troublé hagard pour l'engloutir dans sa bouche humide, à le sucer généreusement, avec force et persuasion, en prenant soin de bien mouiller l'extrémité chauffée au rouge par sa conviction. Elle connaissait l'issu pour elle de ce laminage méthodique, sa récompense, un beau sexe bien raide, dressé bien haut bien en vue de sa concupiscence. Et hop, elle me l'enfourchait direct, ce totem dressé à sa gloire, avec un éclair de fierté et de gourmandise dans ses yeux, tout au fond de son volcan en ébullition pour se lancer, ma sportive, dans son grand marathon de frotti-frotta, tournicoti-tournicota, un pticoup par ici, un grandcoup par là ... Le temps s'allongeait pour une grande balade de petites foulées en sprints frénétiques tout là haut aux sommets de mes envies, mettant à profit l'éternelle durée de mes duretés pour elle.
A son arrivée au terme de son grand périple, transie de ses ardeurs, j'accueillais ma championne effondrée à quatre pattes pour lui servir son trophée attendu et bien mérité, ces grands coups de butoir, longs et forts qu'elle me gémissait pour mettre fin à son supplice érogène, jusqu'aux derniers soubresauts à faire péter le bouchon du champagne des vainqueurs
A suivre ...!
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Anthologie de sexualit
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Publié :22/4/2008 13h31
Dernière mise à jour :9/8/2010 1h58 1151 vues
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I, Introspection Junkie.
Fabuleux nos têtes à queue en tête à tête sans queue ni tête. Chacun bien calé sur son ouvrage, comme on savait s'entraîner l'un l'autre à plus de gourmandises débordantes à se léchouiller goulument, à s'égarer jusqu'aux idées les plus obscures sur ce grand terrain de jeux largement ouvert, impudiquement offert.
C'est là qu'elle me fit découvrir mon attribut homophile au bout de sa langue et de son doigté pas farouches, à lui rendre bien naturellement cette troublante découverte jusqu'à s'en décupler les sens réciproquement.
Les envies bien à vif, bien accroché chacun à son trophée, dans ce meli-mélo étrange, le tableau se finissait toujours, par je ne sais quelles contorsions, sur elle en levrette et moi bien armé pour entamer un siège assidu de ses arrières en quête de tous ses trésors enfouis. C'est là qu'entrait en scène le jeu voyeur de miroirs complices. Elle, bien installée donc à quatre pattes, suivait sans rien perdre les détails de l'action prolongée sur ses deux belles fesses entaillée d'une subtile raie, son propre film porno en direct live, moi, mon rôle bien en main, me jouant de tous les délices de son séant mis en scène, grand offert à l'acteur de ses fantasmes.
J'y mettait toute mon énergie et mon attention à y construire le plus fantasque des scenario, jouant de l'intrigue à m'égarer sur ses paysages sensibles, à lui tenir la réplique sur ses exclamations orgasmiques, jusqu'à lui servir son moment fort, fort attendu, le coup de théâtre final dans son envie sodomique exacerbé ...
Nous finissions toujours par un entracte apaisant, accroupi à poil sur le rebord de sa fenêtre, à s'échanger un pétard sous les yeux interloqués de sa chatte, à s'assoupir un peu de ses moments torrides tout en dissertant, et prolongeant, l'érotisme des débats frénétiques ...
A suivre ...!
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Faut que je vous raconte ...
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Publié :6/4/2008 13h05
Dernière mise à jour :25/11/2009 13h51 1287 vues
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Faut que je vous raconte cette expérience bien singulière, celle qui conventionnellement rentrerait dans la catégorie des pièces de théâtre, sans pour autant ressembler à aucune. 8 heures durant dans un lieu des plus chaleureux, des tableaux ont défilé, chaque fois pour nous servir de ces moments forts, ceux d'une vie sous toutes ses facettes, et facéties, à s'articuler dans un grand balais d'images de sentiments, des tranches de vie qui finissent par bousculer nos propres souvenirs jusque dans leurs derniers retranchements.
Les éphémères, d'Ariane Mnouchkine, n'ont rien d'éphémères, dans les traces qu'ils laissent, si ce n'est sur la fin proche de ses représentations. A curieux averti ... ça vaut la peine de sacrifier une après-midi caddy à Carrefour et une soirée de (...) en canapé Télé.
Mon humble avis
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Si je devais avoir un Dieu, il serait elle ...
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Publié :31/3/2008 14h23
Dernière mise à jour :9/10/2009 12h49 1302 vues
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Un 28 mars, boulevard Raspail, non loin du cimetière Montparnasse, bonne compagnie pour Charles ...
Une Expo, attendue de si loin, un Hommage si essentiel pour un personnage si unique, un Repère dans ce Paris si sublimé, en ce lieu si chargé.
Pas un muséum froid et poussiéreux, mais la rencontre d'un parcours de vie, un univers hospitalier bien vivant où elle-même déambule dans ce lieu intériorisé à ses images, sans prétentions, à reclasser ses photos, distribuer les commentaires. Leçon de modestie pour tous ces placebos de Stars qui n'aurait pas su faire sans une bonne escorte de gorilles, de midinettes en transe et autres paparazzis. Inattendu, inespéré a priori de la croiser là. finalement si naturel de l'y retrouver ainsi, familière dans son "salon" reconstitué. A tout vouloir nous offrir de son être, jusqu'à sa présence et de celle de ses proches.
Ce hello échangé au bout d'un large sourire m'a démystifier ce monstre sacré. Elle est m'a cousine d'Amérique, ma famille lointaine avec laquelle je partage plus qu'une généalogique moribonde ; des valeurs fortes vivaces que les années n'ont pas perverties.
Et cette soirée qui se prolonge pour un moment de poésies et musiques en famille, sa famille et nous les quelques plus fidèles passionnés en possession du privilège de ce moment. Résonance sur ses mots, ses mélodies, de celles qui transpercent, inondent, transportent, résonnent l'âme profonde le long d'un grand voyage jamais abouti. Impossible à raconter, tout comme les subtilités délirantes d'un rêve bien trop prenant.
I dream Patti as she dream Arthur.
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G
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Publié :1/1/2008 14h02
Dernière mise à jour :7/8/2010 8h03 1367 vues
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Je m'en irais quêter la plus belle fleur de Paris pour aller la déposer délicatement telle une offrande, à la tombée de la nuit, sur le le lit de Jim encore endormi du côté du Père Lachaise
je caresserais son bouton d'or sur un rythme languissant, lui le regard médusé mais comblé, jusqu'à ce que la rosée du matin vienne s'y déposer
j'arroserais à l'aube naissant copieusement ma rose offerte, abandonnée, pour graver ainsi une pensée éternelle à sa mémoire, pour qu'il souvienne enfin la poésie qu'il a tant enflammé jadis.
Hummm comme c'était bon
Dédié à une Melody de passage, par laquelle naquit cette belle idée (A LA LECTURE DE SON PROFIL)
(j'en profite pour te rabattre des lecteurs : Melody_Nelson)
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Les connes, et les autres
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Publié :30/12/2007 12h50
Dernière mise à jour :2/7/2008 12h51 1627 vues
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Ce soir, je ne suis pas mécontent de ma prouesse, en 5 mails, bien inspirés (faut dire qu'elle m'a pas mal déliré et déluré), elle était déjà parti me rejoindre en petite tenue les envies à bout, jusqu'au moment où j'ai eu la délicatesse de lui envoyer ma photo, faute d'erreur !!! Chute libre depuis son nuage à imaginer assumer la réalisation de ses fantasmes ?
Mais finalement, ça me va bien. Il y a pour moi 2 sortes de gens, ceux qui adhèrent à mes valeurs, et les autres que je trouve bien superficiellement accrochés à leurs images stéréotypées, leurs lachetés confortables. Peut-être nombriliste comme point de vue, mais je m'en fout. De son côté, elle n'avait rien d'une poupée barbie, rien à revendiquer, si ce n'est une sensibilité à fleur de peau qui m'a séduit, et trompé sur sa triste réalité.
Va au diable avec tes libidos de ménagère de moins de 50 ans, tu vaut pas mieux, moi je ne caresse que les belles idées
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le chant d'une sir
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Publié :28/7/2007 15h24
Dernière mise à jour :3/1/2008 1h05 1422 vues
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Ce soir je suis une petite note de musique qui jaillit des profondeurs de la gorge de cette chanteuse Orient, qui s'en va s'entortiller autour du violon à chatouiller les cordes acérées, qui tchiki boum tchiki boum effrénés sur le djembé jusqu'à devenir ce son qui s'amplifie encore au contact des électrons du synthé, la musique prend de l'ampleur, de l'élan ... plus qu'un choix, vibrer ou se taire, définitivement, descendre ce torrent pétillant de bulles, et se grandir jusqu'à envahir tout l'espace, et se fondre à la lumière ...
une musique à jouir, promis, et sinon vous me mettez en liste noir
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Grosse gal
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Publié :25/7/2007 13h36
Dernière mise à jour :9/4/2008 11h31 1458 vues
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Entre nous, pas moyen de sortir de mon état de membre standard limité en échanges, je suis refusé lorsque je tente de passer à la caisse pour régler mon aubole à ce cher et tendre site ... Donc je vous laisse un moyen de communiquer si le coeur vous en dit (l'idée que vous puissiez pas me chagrine profondément) qu'il faut reconstituer à partir du pseudo sur la "chaudmail" traduit en français, point fr
Bien amicalement
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Fermeture pour cong
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Publié :30/6/2007 17h39
Dernière mise à jour :26/7/2010 22h32 1494 vues
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Je m'envais sur les terres de Dionysos et Aphrodite, me mesurer à Zeus et disserter avec Socrate des choses de la vie en grignotant nonchalamment quelques olives féta.
Je vous fais à toutes un gros bisou frais sur vos lèvres enflammées, jvous raconterais comment aller se faire voir chez les Grecs ...
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3 heures sans débander
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Publié :30/6/2007 17h01
Dernière mise à jour :9/8/2010 22h42 1409 vues
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Ce soir, jme suis fait une grosse orgie, une orgie de mots.
Ce soir c'était le Grand Slam de Bobigny
Ce soir, la poésie s'est déculottée et nous a montré son cul, sans pudeur, sur toutes ses facéties. Le poète m'a turlutter l'esprit, et j'ai bandé des émotions.
La poésie slammée, une pornographie de la vie ...
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