Exploration au fin fond de la jungle
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Publié :17/6/2007 14h36
Dernière mise à jour :1/1/2008 12h06 1433 vues
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Ce dimanche, au bout du bout de l'une de ces rues livides de ces banlieus tristes au terminus moribond d'un métro où on ne peut même pas se perdre car destination bien improbable, des mots forts et sonores résonnent encore dans l'arrière-cour d'un entrepôt glauque. Un jour si vous croisez Imbert, OnglesNoirs ou VendeurEnclume, écoutez bien, vous entendrez peut-être l'écho de votre ame muselée, vous consommererez un peu de ce produit rare, absent des linéaires supermarchands, des émotions.
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Resurerection
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Publié :11/6/2007 14h10
Dernière mise à jour :25/9/2009 14h15 1380 vues
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Troublé, souvent ému, parfois choqué je suis à la lecture de certains cris ou crises d'amour lors de mes péligrinations par ici de blogs en blogs. Je pense à particulier à sorpresa55 ou à princess_ou_ange. Ecrire ses états d'âmes est la meilleure des thérapies, plus efficace que 10 ans au psy. Du moins cela a été ma démarche, réussie merci. Ecrire pour soi, et encore plus pour les autres, oblige à la sincérité, ne supporte pas la superficialité. Travail d'archéologue en quête de reconstituer la mosaïque d'une histoire, d'une vie ou le plus souvent d'un massacre ! Travail de spéléologue à la recherche du coeur le plus profond d'une abîme, source de toutes les résurgences, jusqu'aux moindres sombres grottes et enclaves.
J'ai souvent eu envie de réagir à certains mots et maux certains. Par pudeur, respect, je préfère le faire ici de manière plus impersonnelle, plus distante.
Réagir pour faire partager ma propre expérience, celle de feu mon enfer sentimental, un grand marécage affectif où plus on gesticule, plus on s'enfonce inéluctablement, fatalement, jusqu'au moment où dans un sursaut d'instinct de survie, on se décide à tourner la tête pour trouver la porte de sortie, belle et grande, évidente, là, juste là, à sa portée !
Elle a é ma passion, ma confiance et mes espérances, jusqu'à mon identité. Elle m'a coupé la tête, les bras et les couilles, et tout donné en pâture à la vindic public. J'ai du tout défaire de 20 ans de construction méticuleuse, acharnée, patiente. J'ai du me torcher avec les pages écrites de mon idéal amour. Je me suis arraché les yeux pour essorer dans les chiottes jusqu'à la dernière des larme, et hop, un bon coup de chasse d'eau. Je me suis émietté le cerveau sur la table de la cuisine pour en extraire les moindres traces de mes sentiments passées, un travail d'orfèvre. Je me suis lavé les souillures aux égouts de la ville, bains de boues et ablutions, et les gros rats morts sont devenus mes amis. J'ai ouvert la braguette de mon coeur pour en sortir le gros sexe trop à l'étroit pour exprimer toutes ses turgescences ... Gros nettoyage ! Faut bien gratter jusqu'au fond de la casserole les traces les plus tenaces. Mais quel soulagement in fine, même si parfois mes mutilations bien cicatrisées restent une peu douloureuses, tel le mutilé d'un bras pris d'une démangeaison tenace à vouloir se gratter la main absente. Mais aujourd'hui, je ne suis plus dupe.
Amour ! Foutaises ... Quel triste mot, il a son actif plus de destructions, de perditions que toutes les catastrophes naturelles réunies
Juste un concept abstrait, suranné, pour draper d'un voile de soie chatouillantte la réalité d'un transfert, d'une dépendance, soumission ou aliénation vers l'autre. Cette belle idée, je la range au rayon des belles inventions à coté des autres bibelots et autres objets de manipulation des esprits qui encombrent les étagères du haut - Dieu, Vertu, Mariage, Civisme, Abnégation ...
Tout comme toute couleur est un subtil mélange des 3 couleurs fondamentales, une relation se construit des 3 composantes que sont désir physique, affection sentimentale et considération intellectuelle. Si l'une de ces composantes fait défaut, l'histoire prend un ton bien fade, et les paysages et horizons de multicouleurs prennent des teintes de bichromes à monochromes.
Amour est juste un mot "joker" utilisé à toutes les sauces, usurpé ou galvaudé, posé là pour s'épargner l'effort ou l'angoisse de l'analyse de la réalité d'une relation, pour s'y accrocher coûte que coûte par une trop grande peur du vide en dehors. Il faut un peu vouloir retrouver une âme d'artiste pour pouvoir lâcher une oeuvre accomplie à laquelle on a tout donné de soi, pour la ranger au placard ou la confier au musée où elle finira de se ternir. Et enfin affronter un autre thème, retrouver une créativité et inspiration, prendre le risque de se tromper, ou pas, rebondir toujours vers ses aspirations les plus hautes, démarche un peu égoïste qui ne peut s'encombrer de poids morts. Amour, c'est un Nous qui se construit sur l'inspiration du moment, et surtout pas par l'abandon d'une part de soi.
Ce n'était là bien sur que mon humble avis.
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Qui ? Who ? Enigme ...
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Publié :6/6/2007 15h24
Dernière mise à jour :3/8/2007 14h59 1449 vues
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Vous avez une bise de la part Baba O'Riley et une main au cul de la part de Tommy ... depuis le palais des sports, et ce n'est pas un match de volley ...
Pour ceux qui n'ont rien compris, aller faire un tour à la fnac au rayon W et achetez vous un cerveau tout neuf.
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J'aime ces surprises l
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Publié :6/6/2007 10h23
Dernière mise à jour :7/10/2007 4h39 1241 vues
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Ce WE j'avais concocté un programme top pour mes , pour leur WE/2. Timing de précision, pas un trou et joli panel de découvertes dans des ambiances hautes en couleurs et d'accès très libres ...
Malgré tout ce professionnalisme, l'imprévu s'est invité au programme. En flânant du côté de StEmilion entre 2 spectacles planifiés, j'ai été surpris par un "tiens la grande porte du musée forain est ouverte !?" Lieu un peu secret, pourtant toujours et tristement fermé. On s'approche du molosse à l'entrée qui oh surprise nous laisse passer avec un large sourire.
Moment magique, nous sommes passés dans un autre monde, pas un musée froid et poussiéreux, mais en enchevêtrement de jardins et de salles mystérieuses, fantasmagoriques. Un conte de fées où on se prend à imaginer croiser Alice dans ce pays de merveilles ... absolument somptueux, invitation à la rêverie, à l'imagination de grandes fêtes ici costumés, d'époque ...
Bref à ne surtout ne jamais manquer, si l'occasion se reproduit, à moins que j'ai effectivement complètement rêvé !
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Merci Arno, trop bon
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Publié :4/6/2007 14h40
Dernière mise à jour :25/9/2009 14h13 1390 vues
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Ce soir j'ai pensé à vous tous - surtout à vous toutes pour être honnête - lorsque la musique à atteint son paroxysme dans une ambiance débridée à souhait, quel pieds, ça vaut tous les orgasmes, et je vous imaginais ce soir ici à vous faire un petit plaisir morbide, lubrique ou fantaisiste, romantique ou pragmatique, à vous défoncer les phantasme à la recherche de la cam du bel hidalgo bien membré ou de l'inconnu mystère caché derrière sa petite fiche énigmatique ...
Enfin bref, n'oubliez pas les autres plaisirs de la vie. Pour ceux qui non rien compris, aller faire un tour à la fnac au rayon A et achetez vous des oreilles toute neuve.
bonne nuit.
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GLORIA
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Publié :28/5/2007 4h40
Dernière mise à jour :25/9/2009 14h12 1247 vues
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Ce soir j'ai rendez-vous !
Fébrile, à la fois inquiet et impatient, comme un qui a rancart avec sa première, là-bas derrière l'église, et qui tourne en rond à se refaire, répéter la scène pour être sur de rien rater.
Ce soir, je m'en vais me faire la plus grosse des défonces, mais pas pour une partie de jambes en l'air, pour un grand orgasme d'émotions mélodiques ...
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Alors, bien ou mal-lechée
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Publié :21/5/2007 14h39
Dernière mise à jour :5/8/2010 11h04 1285 vues
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Quel plaisir savoureux un bon cunni, et pas que pour vous miss !
Essentiel la préparation du chantier, tout comme il faut savoir bien graisser un fond de tarte pour réussir un joli gâteau bien moulé, bien gonflé.
Déjà bien s'installer, le minou offert sur son piédestal, l'invité complice voudra observer la belle oeuvre, toutes ses subtilités pour comprendre comment mieux l'apprivoiser, un véritable travail d'artiste en prise à l'inspiration. Le petit doigt timide tente l'exploration des lieux en quête des mystères érogènes de la corolle endormie, il s'aventure délicatement dans les moindres recoins pour dégager prudemment, préconieusement les fragiles pétales de la rose endolorie, en prenant soin d'humecter son passage d'un doigt mouillé à la source qui s'éveille aux moiteuses envies naissantes.
Patiemment, le petit visiteur curieux redessine les contours des monts tourmentés, vallées escarpées et gouffres profonds de cet étrange paysage qui devient hospitalier, familier ... jusqu'à éveiller l'impatience du bouton d'or. Curieux d'un tel branle-bas, l'objet de toutes les convoitises se gonfle intrigué d'envies de caresser le passage de l'hôte de ces lieux ... L'animal traqué est pris au piège, il est à point, bon à être gobé, suçoté, léché, grignoté tel un bonbon à la menthe forte qu'il faut malaxer, retourner, saliver pour en savourer toute la fraîcheur. La langue prend le relais et entre en jeu pour de grand slaps qui s'élancent généreusement depuis la source ténébreuse jusqu'au monticule glorieux en empruntant les vallées qui s'inondent, pour en faire, refaire l'ascension par toutes les faces ... Mais toujours les sens en éveil, à l'afût(*) d'un frémissement, à l'écoute d'un gémissement, la bouche gloutonne explore le domaine conquis en quête d'une résonance, d'un message, de la clé qui ouvre grandes les portes vers l'extase, en laissant jamais le petit animal prendre son souffle, s'habituer et s'apaiser à une caresse trop flatteuse. Assidu, impétueux, le navigateur alpiniste finit par vaincre les derniers retranchements de l'assiégé jusqu'à le faire monter au paroxysme du plaisir .... Aaaaaaaah !
Quelques instants à chanceler, à surnager dans les limbes... Et selon les appétits, c'est là qu'intervient le maître-queue pour fignoler, limer et laminer la belle oeuvre conquise ... pure gourmandise !
A demain pour la variante levrette léchée qui ouvre à d'autres perspectives, ou alors tout sur la recette de la moule-fritte chantilly ..
Aux plaisirs
(*) : ils m'agacent, ils remplacent "a f f" par passion, d'où la faute d'orthographe volontaire, aucun scrupule !
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Paris je t'aime
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Publié :9/9/2006 15h01
Dernière mise à jour :7/10/2007 4h34 1115 vues
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Paris je t'aime. A peine 3 ans, l'exil, un sac à dos, 1 duvet, 2 slips et 3 babioles ... tu m'a accueilli comme on reçoit un clandestin, un déraciné - avec indifférence. Et puis vite le coup de foudre pour la maîtresse des lieux malgré la froideur de son sein. Et puis vite aussi le contre-coups, le doute, errements à vouloir tout explorer de tes jardins secrets, de tes intimités, de tes jeux nocturnes ... tu m'a fais marcher, je t'ai cherché, ton âme profonde, pas celle des cartes postales, pas celles du flux et reflux de tes visiteurs en troupeaux bigarrées qui n'osent pas sortir de tes grands boulevards ou qui s'adrénalinent aux vitrines de pigalle. Je t'ai prise par tous les bouts, de haut en bas, par devant et par derrière, de l'aurore à l'aube, du in au out, et réciproquement ... Aujourd'hui je sais tes petites habitudes, tes grands phantasmes, tes mauvaises et bonnes manières, tes moments où tu est belle ou gaie ou charmeuse ou émouvante ou joueuse ou détestable, tes bonnes et mauvaises humeurs. Je sais comment te prendre, t'emmener vers les plaisirs précieux, ceux qui grave la mémoire et tatoue le coeur. Je me sens chez moi chez toi, parce que je sais que j'en finirais jamais de te découvrir, de m'émouvoir de tes surprises ‒ tu m'a fais connaître finalement l'amour parfait, celui qui fait vibrer, vivre coûte que coûte pour voir comment demain sera beau.
Paris je vais te faire une infidélité pour mon premier amour d'ados, je n'ai jamais pu l'oublier. Ses éclats de rire, ses coups de blues, ses parfums bruns, ses lèvres rouges... me manquent. Tellement de choses à se raconter, toutes mes dernières expériences, ma vie toute neuve rutilante. Je luis parlerai de toi, de ma passion pour toi, il n'y a pas tromperie. Bonheur de savoir revoir bientôt ma douce Amsterdam, ses reflets de jeunesse dans ses canaux infinis, le temps suspendu, la liberté absolue ... l'éternelle poésie de jouvence.
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Mes derniers phantasmes, pour le moment
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Publié :24/7/2006 14h26
Dernière mise à jour :30/7/2009 10h39 1244 vues
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une soirée ce soir au Bataclan avec Patti Smith, et demain, et demain de demain, et demain de demain de demain, ... style histoire sans fin
un super plan gastronomique où la partie de jambes en l'air ne serait que l'hors-d'oeuvre d'un menu complets d'éclates, fromage ET dessert, sans oublier le trou normand
une nième zone à ma carte d'orange, metro destination terminus Amsterdam
m'endormir le nez dans une foufoune à suscoter un clito en guise de nin-nin
être noir pour chanter le blues, arabe pour danser le raï, gitan pour délirer un jazz manouche, du CBGB pour jouer le rock, ... chinois pour manger du riz à la baguette
être une femme, juste un instant (pas plus, faut pas pousser) juste pour voir l'effet que ça fait
aller chercher ma xxxxx à la sortie du lycée en ptcruiser jaune, avec les flammes sur les côtés, là où 25ans plutôt j'embarquais mes premiers amours à bord de ma 2cv noir mythique ...
mettre une musique, une jolie mélodie, à certains de mes textes
retrouver mon premier amour d' pour lui expliquer que maintenant j'ai fini d'être con
la resurrection de Jim
tout percevoir de la péosie de Rimbaud à l'esprit de Nietzsche
à suivre
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Nous vivons une epoque formidable
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Publié :9/7/2006 5h40
Dernière mise à jour :7/8/2010 8h02 1175 vues
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Ce matin, l'esprit encore embrumé des vapeurs mélodieuses d'une nuit de concert mega-gigantesque, qu'elle ne fut pas ma surprise en partant en quête de mes croissants domicaux de découvrir mon quartier qui se prépare à recevoir le plus grand événement de ce début de siècle : la "Grande Finale".
L'arabe du coin a sorti son stock de drapeau bleu-blanc-rouge, du petit jusqu'au plus grand, et fait son article, le regard qui peine à dissimuler une certaine fierté (à moins que ce soit l'idée de faire un bon chiffre !), à la foule prise d'une frénésie d'acquérir l'objet indispensable à la grande messe païenne qui se prépare pour les dieux du stade.
Tiens surprise ! Ma pizzeria habituelle affiche clairement sa préférence nationale qui n'est pas celle que j'imaginais. Je découvre que mon pizzaiolo n'est pas si italien que ça malgré son accent (à moins qu'il fasse quelques concessions pour vendre sa marchandise ce jour).
Arrivé au boulanger, l'ardeur n'est pas dans l'habituelle bousculade. Ce matin, la queue a des reflets bleutées, et les palabres ont d'autres sonorités : "Tu va LE voir où ?", "Tu fais quoi après ?" ... Même la serveuse, une belle des Îles, a adopté un maillot bleu qui ne lui va pas du tout (petit effort de la bonne commerçante).
Même le gros obèse a enfilé son t-shirt de l'équipe (il n'a pas du faire du sport depuis bien longtemps). Au moins un grand jour pour lui, il va pouvoir être dans le ton général plus facilement, peut-être même échanger quelques impressions footballistiques avec des inconnues qui le dédaignent en d'autres circonstances.
Et puis cette femme croisée dans la rue, habillée le haut bleu, le bas rouge et un pull blanc negligemment enroulé autour de la taille. Je doute de l'effet d'une simple coïncidence, d'autant qu'elle était "moche" ainsi !
Quelle déception ! Pourquoi vous les femmes vous mettez vous à adopter les travers de la gente masculine. Prenez garde, bientôt vous aller vous mettre à pisser debout et à en mettre plein autour de la cuvette ...
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Je m'interroge ?
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Publié :4/5/2006 4h32
Dernière mise à jour :17/6/2007 14h20 1306 vues
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Je m'interroge ? Ma philosophie de la vie ma conduit à aborder ma relation aux femmes comme celle d'un libertin, dans l'esprit des romantiques et humanistes des siècles derniers avec une idée forte d'amour conjugué avec liberté. Ce site est très orienté soit gros plan sexe, soit orgies monstres, soit visage anonyme cachant un peu de honte dans la démarche. N'existe t'il pas une autre voie d'accomplissement de soi ? La qualité n'est t'elle pas possible ? J'avoue être un peu perplexe et perdu ici. Je me demande un peu comment procéder : soit afficher ma bite mais elle ne correspond pas à toute ma personnalité (!), soit mon visage mais je ne conçoit pas de me retrouver parmi des sexes soit au garde-à-vous, soit béants.
Un avis ? Un encouragement ? Ou une invitation à aller voir ailleurs !
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