Temps de cul?
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Publié :22/1/2015 19h51
Dernière mise à jour :3/5/2015 10h45 6684 vues
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En tout cas, ce n'est pas le temps de coucher les fesses à l'air! L'humidité n'a absolument rien de sensuel dans ce temps-ci. Y fait beau mais c'est encore frette en mautadine!
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Je peux comprendre, mais mon être refuse!
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Publié :3/1/2015 17h39
Dernière mise à jour :3/1/2015 18h08 7065 vues
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À cette époque, comme aujourd’hui je sais pourquoi. Mais mon coeur est d’accord avec ces paroles naïves. La paix, l’amour, le partage sont tellement plus beaux. Paix et amour pour 2015! (Oh oui... Et beaucoup de bon sexe bien fait)
People are people (Depeche mode - 1984) People are people so why should it be You and I should get along so awfully So we're different colours And we're different creeds And different people have different needs It's obvious you hate me Though I've done nothing wrong I never even met you So what could I have done I can't understand What makes a man Hate another man Help me understand People are people so why should it be You and I should get along so awfully Help me understand Now you're punching and you're kicking And you're shouting at me I'm relying on your common decency So far it hasn't surfaced But I'm sure it exists It just takes a while to travel From your head to your fist I can't understand What makes a man Hate another man Help me understand
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2015!
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Publié :31/12/2014 9h47
Dernière mise à jour :3/5/2015 10h43 7244 vues
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Bonne année 2015 à tous et toutes! Que du cul comme vous l'aimez, en quantité et en qualité... Soyez tous et toutes très zeureux zé zeureuses durant l'année à venir!!!
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Ah pis... WTF?
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Publié :27/12/2014 23h45
Dernière mise à jour :3/5/2015 10h42 6922 vues
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Je renonce à me cacher. J'ai envie de me montrer la face pis je vais le faire. Je n'ai rien à cacher ni personne à craindre... Tiens, j'ai l'air de ça lorsque je suis reclus dans mon antre, à l’abri des regards indiscrets… Avec mes vieilles barniques (lunettes en joual) de travail.
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Ça prend un homme qui n'est pas gêné
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Publié :25/12/2014 19h22
Dernière mise à jour :3/5/2015 10h40 6869 vues
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Mon Noël 2014 est certainement le moins traditionnel de toute ma vie. Par le passé, même lorsque je travaillais les jours ou les soirs de Noël, je revenais à la maison et il restait toujours un petit quelque chose de « normal » : de la tourtière, du ragout de patte, des atacas, de la dinde, de la « sauce à la volaille »…
Cette année, rien! Maudite marde!!! Hier, 24 décembre, nous avons bouffés du spag, puis tout le monde s’en est retourné à son ordi ou sur ses consoles de jeux… On n’a même pas distribués de cadeaux. Tout le monde se boudaient.
Ce midi, 25 décembre, nous sommes allés manger au resto. Du Grec! Puis on est revenus manger de la buche (une sorte de truc glacé au yogourt en forme de buche – c’était très bon mais pas vraiment une "buche de Noël") chez mes beaux parents. Suivant le dessert, nous nous sommes dirigés vers le salon pour la distribution des cadeaux (de l’argent)! J’étais très déçu.
C’était ce à quoi je pensais lorsque ma m’a prise en photo (Celle que je vous présente sur ce post). Alors que tous le monde jasais de trucs actuels comme les nouvelles applications découverte par ma nièce, j’avais cette petite chanson qui me trottait en tête :
Paroles de La Grand' Côte (La Bottine souriante)
Sur la grand' côte elle est montée Sur la grand' côte elle est montée Elle a perdu son tablier Ti ta ti dla dla dla lam Ti ta ti dla dla dla lam
Elle a perdu son tablier Elle a perdu son tablier C't'un homme passant qui l'a ramassé Ti ta ti dla dla dla lam Ti ta ti dla dla dla lam
C't'un homme passant qui l'a ramassé C't'un homme passant qui l'a ramassé Ça prend un homme qui n'est pas gêné Ti ta ti dla dla dla lam Ti ta ti dla dla dla lam
Ça prend un homme qui n'est pas gêné Ça prend un homme qui n'est pas gêné De d'mander les filles pour les embrasser Ti ta ti dla dla dla lam Ti ta ti dla dla dla lam
De d'mander les filles pour les embrasser De d'mander les filles pour les embrasser C't'ait pas une chanson qu'j'voulais vous chanter Ti ta ti dla dla dla lam Ti ta ti dla dla dla lam
C't'ait pas une chanson qu'j'voulais vous chanter C't'ait pas une chanson qu'j'voulais vous chanter C't'ait un p'tit reel, j'vas vous l'reeler Ti ta ti dla dla dla lam Ti ta ti dla dla dla lam
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Motte man’her à plotte pou nowel!
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Publié :20/12/2014 18h38
Dernière mise à jour :27/12/2014 23h58 6529 vues
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Cette expression québécoise, bien que souvent qualifiée de trop vulgaire, fait souvent plaisir à recevoir comme cadeau de Noel. Pensez-y messieurs! Donner fait souvent autant plaisir que recevoir.
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Aimons-nous!!!
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Publié :6/12/2014 10h16
Dernière mise à jour :7/12/2014 7h05 7160 vues
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Je viens de terminer comme une phase narcissique aigüe. En tout cas, c’était ce à quoi ça pouvait ressembler. Je ne suis pas certain de ce que c’était en fait. Une chance que ce ne fut que momentané.
Bien entendu, ceux qui me connaissent savent bien que je m’aime beaucoup… et avec raison. Humblement mais consciencieusement, je suis effectivement un être exceptionnel. Cela n’empêche pas aux autres de se démarquer et de tenter d’atteindre mon niveau. C’est tout à fait compréhensif. Je suis de nature ouverte et pluraliste. Je veux bien donner la chance aux autres. Ils y ont droit. Alors, bonne chance à vous!
Je m’aime! PS : Faites-en autant… Aimez-mouwah!!!
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Les vacc-seins.
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Publié :17/11/2014 15h51
Dernière mise à jour :21/11/2014 13h21 7849 vues
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Aujourd'hui, comme à tous les ans depuis 2004, je suis allé me faire vacciné pour l’influenza. À toutes les fois que j’y vais une petite anecdote me reviens en tête. Je me surprends moi-même de ne jamais vous avoir fait part de cette petite histoire liée au vaccin. Je vais le faire maintenant et se sera fait une fois pour toutes. Il y a environs cinq ans, toute la famille sommes allés nous faire vacciner. Mon a toujours été terrorisé par les aiguilles. Mais à ce moment là, soit dans sa 16e année, il voulait donner l’image d’un dur. Je gardais toujours un œil sur lui alors que l’infirmière s’occupait de moi. Mon infirmière me dit de tendre le bras alors que je regardais mon et sans m’en apercevoir ma main a glissé dans la blouse de l’infirmière, sous le bonnet du soutien gorge… En plein dans le mile! Étonnamment, je suis rester une bonne seconde et demi avant de la retirer de là.. Mal à l’aise, bien évidemment. Je sais que vous me connaissez, je suis pervers, mais je vous jure, croix de bois/croix de fer, que ce n’était absolument pas volontaire! Même si la jeune infirmière était jolie, que son beau petit sein ferme était d’une très grande douceur et qu’elle n’a pratiquement pas réagit. Par contre, pour ma part, sur le coup, j’étais vraiment très mal à l’aise. Mais c’est tout de même un beau souvenir. Maintenant vous savez! Mon autre souvenir des vaccins : Je sais que demain mon bras gauche me fera très certainement mal. Mais ce n’est pas grave, puisque je suis droitier.
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Le processus d’anonymatisation est enclenché!
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Publié :11/11/2014 5h41
Dernière mise à jour :10/12/2014 23h49 7280 vues
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Je me suis toujours fait un point d’honneur de me présenter sur passion sans censure, sans cacher qui je suis ou ce à quoi je ressemble en vrai. Mais comme je l’ais annoncé à plusieurs reprises depuis l’année dernière, des obligations professionnelles m’obligent maintenant à être plus « discret » sur passion. C’est donc à regret que je retire toutes les photos de la magnificence de ma personne, du moins, toutes celles qui peuvent clairement m’identifier aujourd’hui. Oui je sais, ça sera difficile pour vous. Je suis vraiment désolé de vous priver de ce doux plaisir pour vos yeux. Sachez que j’en suis vraiment désolé! Dany
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L’île fantasmatique du Dr Gland (Fiction, première partie)
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Publié :3/11/2014 11h35
Dernière mise à jour :14/11/2014 15h10 6664 vues
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Salut! Je ne peux me présenter pour des raisons évidentes de sécurité. Je suis journaliste d’enquête et l’histoire que je vais vous présenter ici a été censurée par mon employeur, dont je cacherai aussi le nom pour le protéger, lui aussi. En décembre de l’année dernière, j’ai reçu un télégramme m’invitant à une « importante rencontre » dans un petit bar de la rue Wellington, à Verdun. Je devais y rencontrer le soir même, vers 22 :30, une demoiselle prénommée Suzie. Le mot précisait que je devais être seul et que mon rendez-vous serait vêtue d’une petite robe noir, étroite aux genoux. Sans plus. Ça m’intriguait. Je travaillais depuis plusieurs mois sur une histoire de disparitions multiples impliquant des personnes aux mœurs douteuses et je me suis demandé si cette Suzie n’y était pas mêlée. J’ai donc prévenue mon directeur de rédaction –« Blaise »: ce n’est pas son vrai nom, mais je trouve tellement que ça lui va bien. Il a le teint très pâle, les cheveux noir en broussailles, coupés cours mais tellement trop long sur le dessus. Il est névrotique, toujours une cigarette à la bouche, toujours en train de taper nerveusement sur son clavier, sans jamais produire aucun foutu texte publiable. « Blaise » me fait signe de la tête, puis précise que je ne dispose que d’un budget limité à mon billet de métro et à une consommation non alcoolique. J’arrive en retard au petit bar en question. En entrant, je remarque plusieurs vieilles affiches de spectacles et de groupes musicaux ringards, sur un mur du portique. A l’intérieur, un long comptoir usé s’impose dans ce décor morose de plusieurs grades de noirs et de gris. La barmaid, une fausse blonde à la coiffure Marilyne, tatouée des pieds à la tête me regarde en silence. Elle a un piercing en forme de « U » dans le nez qui, en combinaison avec ses grands yeux hagards et sa bouche entre ouverte, lui donne un air de vache stupide. Il ne lui manquerait qu’une grosse chiquée de gomme pour parfaire le tableau. D’un traveling rapide, je me rencontre que la place est pratiquement vide. Il n’y a qu’une femme assise seule à une table ronde, en retrait de la pièce. Probablement Suzie. Je me dirige vers elle avec un regard circonspect. - (MOi) Suzie? Je présume! - (SUZIE) Bingo! T’es un vrai génie « Watson ». Qu’elle me répond d’un air hautin presque méprisant. - (MOi) Je peux m’assoir? Elle lève les yeux au ciel pour me donner l’impression que je suis encore plus imbécile à ces yeux qu’une pomme verte sur un banc de parc. Diplomate, je m’assois en face d’elle en chuchotant : - (MOi) Je présume que oui… Elle me regarde en clignant rapidement des yeux avec un dédain insultant. « (MOi) Bon ça va.. » me dis-je à moi-même, « (MOi) …elle me fait le coup de la personne sans importance qui croit détenir le secret des dieux… ». Je soupire, souri candidement et la regarde droit dans les yeux en attendant qu’elle poursuive. Après tout, c’est elle qui « invite ». - (SUZIE) Tu prends quoi? - (MOi) Heuuu… je ne bois jamais en mission, un Coke fera l’affaire… Sans succomber à cette petite blague plate, elle regarde en direction de la barmaid qui s’active aussi tôt. Sans le laisser voir, je suis surpris que cette dernière ait comprit ma commande, compte tenu de la distance qui nous séparent du bar. Je regarde Suzie dans les yeux, mais j’étudie discrètement sa physionomie. Femme dans la quarantaine avancée, les cheveux noir tirés aux épaules. Elle porte une robe noire aux genoux comme prévu, avec une culotte de assez évidente, des bas noirs, des bottes noires aux chevilles. Elle est assez mal maquillée. Un peu trop de crayon noir aux yeux qui se poursuit bien au-delà de la paupière, trop de rouge à lèvre, trop rouge, sur une bouche déjà trop charnue avec de très grosses babines. Alors que la barmaid m’apporte mon Coke, Suzie entame la conversation : - (SUZIE) Mon nom est vraiment Suzie, mais on me surnomme « La Mygale ». Je remercie la barmaid d’un sourire et prend une bonne gorgée de Coke alors que Suzie poursuit. - (SUZIE) On me surnomme ainsi parce que j’ai des « talents particuliers »; j’immobilise mes proies, puis je leur suce tout l’intérieur jusqu’à ce qu’ils ne soient plus que des coquilles vides. Me dit-elle avec un petit sourire mi-fier, mi-vicieux. Pendant ce temps, j’entends la barmaid barrer la porte d’entrée et, me semble t’il, éteindre l’éclairage avant. Une pointe de nervosité s’empare de moi à ce moment. J’imagine, l’espace d’un instant, voir sortir deux molosses de la porte du bureau pour me faire la fête. Je prends encore une autre grande rasade de Coke avant de répondre : - (MOi) OK! Et ça me concerne en quoi? Je regarde nerveusement la barmaid qui retourne derrière son comptoir et je poursuis en ricanant nerveusement : - (MOi) Ça ferme tôt ici! - (SUZIE) Non pas plus tôt qu’il m’en faut. C’est une réunion privée entre toi et moi. - (MOi) OKkkey! Alors vous avez quelque chose d’important à me dire, si je comprends bien… - (SUZIE) A te faire aussi mon lapin. Ne soi pas stressé, ça te fera pas mal. Au contraire même. Attends un peut encore que le venin fasse son effet. De fait, j’ai l’esprit qui s’embrouille soudainement comme si je venais de caller une série de shooters de shnaps à une fête de fin de session mémorable. La barmaid se dirige vers nous et me tend la main. Je me lève et m’appuis sur la chaise. Suzie s’agenouille devant moi et me déculotte à moitié alors que la barmaid me regarde d’un air habitué tout en me tenant par le bras. Abrutis par je ne sais trop quelle drogue, je me laisse faire alors que Suzie me fait déjà une fellation comme je n’en ai jamais eu au paravent. Je pousse un « (MOi) Hennn! » de satisfaction et souri bêtement à cette sensation extraordinairement délicieuse. Par moments, de son fond de tête je constate une légère décoloration qui dénonce une chevelure argentée. Peut m’importe. Les grosses lèvres charnues de « La Mygale » font leur effet et j’explose d’une éjaculation généreuse dans sa bouche. Ça ne l’arrête pas pour autant. Elle poursuit son travail de vas et vient alors que la barmaid me flatte le bras, mais sans émotions; comme une infirmière adjointe réconforte un patient à qui on fait une piqure particulièrement longue et douloureuse. Du coup, c’est un peu ce que je ressens. Une sorte de bien-être qui s’accompagne d’un inconfort et d’une faiblesse grandissante. « La Mygale » poursuit sans relâche. Je ne tiens pratiquement plus debout. J’ai des crampes au ventre. Les hanches me font mal. J’ai vraiment l’impression de me vider de l’intérieur, mais plus rien ne sort. La barmaid me retient par la hanche et me dit : - (BARMAID) …c’est presque fini. Mais il n’en est rien! Suzie suce toujours… Après quelques minutes de ce qui est maintenant une douce mais intense souffrance, « La Mygale » s’arrête enfin. Elle reste en place et donne quelques bisous candides sur le bout de mon gland. Cela provoque sur moi des spasmes incontrôlables accompagnés de « (MOi) Ohh! Ohhhhh… ». La barmaid me rassoit sur la chaise et retourne vers son comptoir. J’ai la tremblote et je crois que je bave. Suzie reprend place en face de moi. - (SUZIE) Tu me crois maintenant? Je fais comme si rien ne venait de se produire et prend une attitude de nonchalance décontracte. Dans les faits, j’ai encore des résonnances du tremblement de terre qui vient de se produire en moi. Mais croire quoi? Évidemment qu’elle porte bien son surnom. Mais ça prouve quoi? Ça mène à quoi? Ne sachant pas quoi répondre (…croire à quoi?), toujours abrutis par « l’effet Mygale », je reprends mon personnage de « dur » et répond : - (MOi) Oui pis? - (SUZIE) Pis… Pis c’est seulement une petite démonstration de ce que moi et Margueritte (en pointant la barmaid d’un coup de tête) allons te révéler. « (MOi) Margueritte… Tiens tiens.. » Me dis-je à moi-même : « (MOi) …je ne me trompais pas, c’est bel et bien un beau nom pour une vache ». Je sort mon calepin de reporter, mes lunettes et mon stilo.. - (MOi) Je vous écoute… (À suivre…)
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Charmeur et profiteur
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Publié :2/11/2014 14h20
Dernière mise à jour :3/11/2014 7h40 6604 vues
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Il y a quelques mois, j’ai repris contact avec une très ancienne flamme, par hasard comme ça, sur un autre réseau social. Ça faisait plus de trente ans que nous ne nous étions pas parlé et nous en avions beaucoup à nous dire, des souvenirs de jeunesse comme l’évolution de nos récits de vie respectifs (professionnel surtout). Nos échanges étaient relativement brefs -moins que 5 minutes en moyenne- et jamais ils ne dépassaient les limites de la « décence amicale ». Nous n’abordions jamais des questions intimes et ça faisait mon affaire. Ce n’était pas le but de ma communication avec elle. Et j’en étais satisfait. Il y a trois semaines elle aborda le sujet. Elle me révélait qu’elle était en peine d’amour depuis un an, date de séparation avec son second mari. Je m’en doutais, compte tenu des annonces typiques de ses posts, sur son profil. Je comprenais qu’elle avait envie et besoin de s’en confier. J’ai patiemment joué le rôle du confident masculin qu’elle ne s’est jamais permit d’avoir. Le mec l’a dompé pour une petite jeune, via texto …à ce sujet, c’est une mode grandissante ou quoi? C’est la troisième fois en moins d’un an que des femmes me révèle qu’elles vivent des ruptures par texto ou par mails. C’est évidemment plus facile à assumer de faire le « salaud virtuel », qu’en face à face. En twouéka! Tout en vidant une bouteille de vin elle se confie à moi. Visiblement, elle est encore très affectée par cette rupture et a tendance à se dénigrer plus qu’elle ne le mérite. Pourtant de mon âge, elle n’a pratiquement pas changée. Elle est toujours aussi belle, s’entraine trois fois par semaine et ne devrait pas avoir de difficulté à se trouver un prétendant. Elle me remercie de mes compliments, tout en précisant qu’elle n’est pas prête à s’engager dans une autre relation et je confirme. Elle ajoute aussi tôt que ma situation matrimoniale, la distance qui nous séparent et mon occupation du temps font que la chose ne serait pas possible entre nous. Je la rassure en lui disant que je n’avais pas d’arrières pensées, ni de plan en tête – et c’est tout à fait vrai. Par ailleurs, comme elle ne m’a jamais donné signe d’intérêt alors que j’étais jeune beau et fringuant, l’idée d’avoir des chances avec elle aujourd’hui, alors que les ravages du temps ont fait leurs œuvres, me semblait encore moins possible. A ma très grande surprise, elle me révélait avoir été l’objet de ses désirs de jeune femme… Elle était tellement froide à mes avances, c’est difficile à croire. Elle me dit que c’était une carapace et qu’elle avait la même attitude envers tous les autres gars. Son physique et ses traits asiatiques ont longtemps meublés mes fantasmes. Elle me révèle alors que j’ai toujours été un grand charmeur, que j’étais beau et que j’en profitais. C’est vrai, mais c’est nettement exagéré. Surtout après ma relation avec ma Chupitou, à laquelle j’étais d’une fidélité indéfectible. Elle me demanda alors à quoi ça aurait pu ressembler une relation ou même une « petite vite » avec moi à cette époque… C’est alors que je lui ai révélé l’existence de mon blog sur passion et d’un post titré Cathou (no I-2-3 et 4) sur le sujet. Elle m’a demandé de pouvoir le lire avant de nous quitter. Et je lui ai envoyé, puis nous nous sommes laissés. Les semaines suivantes ressemblaient aux précédentes. De petites conversations anodines de moins de 5 minutes, mais un peu moins « prudes », quoique toujours en « mode amicaux » et très « correctes ». C’est la première fois que je fais lire un texte de mon blog à quelqu’un qui me connaissait à cette époque. Ça me fait blizzard. Elle me complimente sur mes talents de conteur et souligne que ça lui rappel des souvenirs. Elle se rappelle de mon charme de l’époque et souligne qu’il semble toujours actif. Déformation professionnelle, lui rebondis-je. C’est vrai que je suis une sorte de charmeur professionnel si on considère l’importance de l’élégance et de la bienséance comme des impératifs de mon métier. C’est une question de respect et de crédibilité et j’ai reçu ce commentaire comme un compliment de sa part. Au cours des autres petites conversations subséquentes, j’ai découvert qu’il ne s’agissait pas nécessairement de compliments. Son ex avait un trajet professionnel semblable au miens, dans le même domaine, et j’ai compris qu’elle me confondait avec lui. Le type charmeur c’est pour elle une sorte d’envouteur mesquin et profiteur. La dernière conversation que j’ai eue avec elle fut assez claire à ce sujet. Elle me dit carrément de ne pas jouer à ça avec elle. « Jouer à quoi? » Lui demandais-je. Elle me répondit : « Tu es très fort à ce petit jeu et tu m’as eue! » Je ne cesse de penser à toi et lorsqu’on s’est parlé la dernière fois, j’allais te proposer de venir me voir. Je lui ai rappelé que je la savais encore très fragile et que je n’aurais jamais abusé de la situation. Qu’il n’en avait jamais été question. Je ne lui ai jamais proposé quoique ce soit, je n’ai jamais fais allusion à quelque intention allant dans ce sens et qu’il n’en était pas question. Tout ce que je lui disais semblait être interprété comme une manœuvre de séduction, alors qu’il n’en était rien. Je lui ai dit ne vouloir qu’une amitié toute à fait platonique. Elle me dit que c’est impossible et m’a demandé de sortir de sa tête. Je me suis excusé et lui ais fait la promesse de la laisser en paix. Même si ce n’étais pas moi qui l’abordais, même si je n’ai rien fait pour la « séduire ». Je crois qu’elle est restée accros à mon post de Cathou et qu’elle s’est vue comme le personnage de cette histoire. Si ce n’est pas ça, c’est quoi? Depuis, je me sens comme une sorte de vendeur à pression d’un garage de voiture usagées. Bad feeling, s’il en est un. Je la vois en ligne et je n’oserai plus jamais l’aborder. Ni elle, ni aucune autre d’ailleurs. Je ne suis qu’un monstre!!!
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