Prends cette rose aimable comme toi........
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Publié :15/2/2007 2h05
Dernière mise à jour :10/3/2007 9h59 3333 vues
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Voici un poème de Ronsard qui m’a été envoyé hier par quelqu'un d’hyper gentil , il se reconnaîtra et je le remercie encore. Je tenais à vous le faire partager :
Prends cette rose aimable comme toi ...
Prends cette rose aimable comme toi Qui sers de rose aux roses les plus belles, Qui sers de fleurs aux fleurs les plus nouvelles, Qui sers de Muse aux Muses et à moi. Prends cette rose, et ensemble reçois Dedans ton sein mon coeur qui n'a point d'ailes; Il vit, blessé de cent plaies cruelles, Opiniâtre à garder trop sa foi. La rose et moi différons d'une chose: Un soleil voit naître et mourir la rose, Mille soleils ont vu naître m'amour, Qui ne se passe et jamais ne repose. Que plût à Dieu que mon amour éclose Comme une fleur ne m'eût duré qu'un jour!
Pierre de RONSARD
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Notre d
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Publié :13/2/2007 14h24
Dernière mise à jour :10/3/2007 10h01 3382 vues
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Dire à son valentin qu’on l’aime Qu’il est notre amour pour la vie Que pour lui notre cœur bat Si fort que même les tremblements de terre à côté s’en effraient Si tendrement que même une plume parait rude à la place Si magnifiquement que même le plus beau des trésors brille sans éclats Que notre amour pour lui est le plus précieux Le plus riche de sentiments Le plus importants Qu’il est l’oxygène de notre vie Que sans lui nous ne respirons plus Qu’il nous tient et nous fait perdre la tête Que la seule direction que l’on connaisse c’est celle qui va vers lui Que pour lui on fait abnégation du passé Que l'on regarde vers l’avenir Que l’on rit aux éclats comme des perles qui sautillent en tous sens Que nos yeux scintillent comme des étincelles de lumières Que l’on nage comme des poissons ivres d’amour Que l’on vole comme des oiseaux vers les nuages gorgés de soleil
Que sans lui on n’est plus rien Sans son amour , on se meurt Que son amour pour nous est la terre fertile qui nous abreuve……
Mon amour, JE T’AIME
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Les amoureux
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Publié :12/2/2007 8h36
Dernière mise à jour :16/2/2007 6h41 3187 vues
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Ils sont l’un à côté de l’autre Ils se font des baisers de temps en temps La tête de l’un repose sur celle de l’autre Ils sont isolés comme si le monde extérieur n’existait pas Hormis eux Hormis leur amour Ils ne vivraient pas l’un sans l’autre Ils sont resplendissants d’amour De douceur Et tellement éclaboussants de beauté On les envie presque L’un attend toujours l’autre pour manger Ils se sont fait un petit nid d’amour Un nid où ils s’aiment Et leur cris d’amour se perd Dans le silence de la pièce En un mot Ils s’aiment Ils s’aiment d’un amour profond D’un amour indestructible D’un amour hors du commun D’un amour infini Ils ne sont rien l'un sans l’autre Ils sont perdus Et leur amour est tellement fort Que si l’un devait mourir L’autre ne survivrait pas à son amour Il se laisserait emporter par la mort Pour rejoindre l’autre dans l’autre monde
Ce sont mes magnifiques inséparables Mes beaux oiseaux bleus
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Constatation
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Publié :10/2/2007 14h23
Dernière mise à jour :17/2/2007 9h36 3082 vues
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Les gens les plus constipés sont souvent les plus chiants !
Dites à quelqu'un qu’il y a 300 milliards d’étoiles dans l’univers et il vous croira, mais dites lui que la peinture n’est pas sèche et il aura besoin de toucher pour en être sûr
L’intelligence Artificielle n’a aucune chance en face de la Stupidité Naturelle !
La fidélité, c’est quand amour est plus fort que l’instinct
Les femmes préfèrent être belles plutôt qu’intelligentes parce que , chez les hommes, il y a beaucoup plus d’idiots que d’aveugles !
Ça prend deux ans pour apprendre à parler ; mais toute une vie pour apprendre à la fermer.
L’âge mur de l’homme s’apparente à celui des poires. Dans les deux cas, c’est la queue qui lâche.
Le sexe c’est comme une partie de carte. Si tu n’as pas un bon partenaire il vaut mieux avoir une bonne main.
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correspondance entre Alfred de Musset et George Sand (2)
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Publié :9/2/2007 15h02
Dernière mise à jour :17/2/2007 9h35 3070 vues
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Musset s’empressa de répondre…..
Quand je met à vos pieds un éternel hommage, Voulez-vous qu’un instant je change de visage ? Vous avez capturé les sentiments d’un cœur Que pour vous adorer forma le créateur. Je vous chéris, amour, et ma plume en délire Couche sur le papier ce que je n’ose dire. Avec soin de mes vers lisez les premiers mots : Vous saurez quel remède apporter à mes maux.
Mais ici il faut lire que le premier mot de chaque ligne….
Quand je met à vos pieds un éternel hommage, Voulez-vous qu’un instant je change de visage ? Vous avez capturé les sentiments d’un cœur Que pour vous adorer forma le créateur. Je vous chéris, amour, et ma plume en délire Couche sur le papier ce que je n’ose dire. Avec soin de mes vers lisez les premiers mots : Vous saurez quel remède apporter à mes maux.
Un grand classique mais qui nous fait rire quand même à chaque fois et qui moi m'impressionne par sa qualité de texte
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Correspondance entre Georges Sand et Alfred de Musset (1)
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Publié :9/2/2007 5h47
Dernière mise à jour :13/2/2007 8h14 3067 vues
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A lire du début à la fin pour comprendre l’humour de cette lettre
D’abord celle de George Sand et demain la réponse de Musset
Je suis très émue de vous dire que j’ai Bien compris l’autre soir que vous aviez Toujours une envie folle de me faire Danser. Je garde le souvenir de votre Baiser et je voudrais bien que ce soit La une preuve que je puisse être aimée Par vous. Je suis prête à montrer mon Affection toute dessertissage et sans cal- Cul, et si vous voulez me voir aussi Vous dévoiler sans artifice mon âme Toute nue, venez me faire une visite. Nous causerons en amis, franchement. Je vous prouverai que je suis la femme Sincère, capable de vous offrir l’affection La plus profonde comme la plus étroite En amitié, en un mot la meilleure preuve Que vous puissiez rêver, puisque votre Âme est libre. Pensez que la solution où j’ha- Bite est bien longue, bien dure et souvent Difficile. Ainsi, en y songeant j’ai l’âme Grosse. Accourez donc vite et venez me la Faire oublier par l’amour ou je veux me Mettre.
Romantique n’Est-ce pas ?
Maintenant relisez la lettre de Sand mais en sautant une ligne à chaque fois …
Je suis très émue de vous dire que j’ai Bien compris l’autre soir que vous aviez Toujours une envie folle de me faire Danser. Je garde le souvenir de votre Baiser et je voudrais bien que ce soit La une preuve que je puisse être aimée Par vous. Je suis prête à montrer mon Affection toute dessertissage et sans cal- Cul, et si vous voulez me voir aussi Vous dévoiler sans artifice mon âme Toute nue, venez me faire une visite. Nous causerons en amis, franchement. Je vous prouverai que je suis la femmeSincère, capable de vous offrir l’affection La plus profonde comme la plus étroite En amitié, en un mot la meilleure preuve Que vous puissiez rêver, puisque votre Âme est libre. Pensez que la solution où j’ha- Bite est bien longue, bien dure et souvent Difficile. Ainsi, en y songeant j’ai l’âme Grosse. Accourez donc vite et venez me la Faire oublier par l’amour ou je veux me Mettre.
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Quelle couille.........
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Publié :8/2/2007 1h10
Dernière mise à jour :13/2/2007 8h15 3105 vues
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En tout cas je suis contente d’être une femme quand je vois la photo. Quand on dit messieurs que vous portez tout le poids du monde , quelle illustration ici.
Avez vous remarquez que souvent on emploie le mot couille pour plein de citations.
Tout le monde connais l’expression avoir les cartouches plus longues que le fusil, se dit souvent des testicules qui pendent.
Souvent c’est employé en terme vulgaire :
Il y a une couille dans le potage, pour désigner un embêtement
Être un couilles molles, ne pas avoir de dynamisme
Être casse couilles, et dieu qu’il y en a. Mais c’est pas juste nous les femmes ne pouvons pas le dire, ou alors vous êtes des casses ovaires, ça ne le fait pas
Avoir mes couilles sur ton nez te ferait une jolie paire de lunettes, ne pas avoir la même vision que l’autre
Puis il y a les citations :
L'argent, c'est la couille des familles. [Henri Pichette] et celle de la vie je rajouterai
Le corps humain est un royaume où chaque organe veut être le roi ; il y a chez l'homme 3 leaders qui essayent d'imposer leur loi, cette lutte permanente est la plus grosse source d'embrouille, elle oppose depuis toujours la tête, le coeur et les couilles. [Grand Corps Malade] eh eh dur choix
Testis unus, testis nullus : on ne va pas bien loin avec une seule couille. [Pierre Desproges]
Tous les cosmonautes sont formels : les couilles ne pendent pas en apesanteur. Elles flottent. [Professeur Choron], messieurs si vous devenez vieux vous voyez ce qu’il vous reste à faire, un petit tour en apesanteur
La tête perdue, ne périt que la personne ; les couilles perdues, périrait toute nature humaine. [François Rabelais]
L'homme, le matin, il tousse, il crache. Le midi, il pète, il rote. La nuit, il ronfle, il bave et le reste du temps, il se gratte les couilles. [Philippe Léotard] je comprend pourquoi je préfère être une femme
Ah messierus sans vos testicules que deviendriez vous, certains passent même leur vie à se rassurer qu'ils sont toujours au même endroit, toujours la main dessus . Et souvent avouez que la première chose que vous faite en vous levant c'est justement de vous gratter les couilles. Moi je préfère les vider
Bon ça va finir par partir en couille tout ça...
Vous connaissez d’autres expressions ou autres phrases ainsi employées???????
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Les c............
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Publié :7/2/2007 12h03
Dernière mise à jour :19/2/2007 5h14 2987 vues
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Quelqu’un a dit, je ne sais plus qui :
Si on devait enfermer tous les cons dans un placard, il n’y aurait pas grand monde pour fermer les portes……….
Parfois on se sent vraiment con dans une situation donnée, mais en général on a jamais l’impression d’être un con, même le plus con. Mais nous ne sommes con qu’aux yeux des autres jamais aux nôtres
Cela me rappelle le film « dîner de cons » il est vrai que l’on est toujours le con de quelqu un.
Le pire c’est qu’en vieillissant on a l’impression que les cons pullulent de plus en plus, ou alors c’est nous qui devenons de plus en plus con
Et vous qu’en pensez vous ? Oui je sais une question à la con….
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La vie, un paysage ?????
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Publié :5/2/2007 12h22
Dernière mise à jour :8/2/2007 8h36 3110 vues
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Oui la vie est comme un paysage qui se déroule sous nos yeux.
Petit déjà, nous marchons dans la prairie de notre enfance et nous cueillons les marguerites du savoir qui formeront notre vie future. Nous foulons plus ou moins chaotiquement ces herbes en essayant de ne pas se faire piquer aux ronces, mais si nous tombons , nous nous relevons et avancerons toujours. Les prairies sont plus ou moins belles pour certains. Il y en a qui viennent des marécages où il faut survivre. De toute façon il y a toujours une plus belle fleur plus loin qui nous donne envie d’avancer.
, il y a la mer de l’apprentissage. On saute les vagues comme des chiens fous, plongeant la tête la première à la recherche de nouvelles expériences. On commence à faire connaissance avec la dure réalité, parfois la mer nous rattrape au risque de nous noyer, mais nous surnageons et parfois une île accueillante vient calmer nos ardeurs, reposer le guerrier qui va repartir à l’attaque de la vie. Nous sommes fiers de la braver, de pouvoir se maintenir hors de l’eau seul
Puis vient l’âge le désert de l’adulte avec ses longues traversées. Les grains de sables qui nous font pleurer. Une dune du travail qui peut en cacher une autre, et encore une autre, même, si on crois que c’est la dernière. Nos pas difficiles, mais nous avons pas le choix d’avancer. Un cactus de temps en temps nous abreuve, mais toujours au loin nous espérons l’oasis de la paix et de la stabilité. Mais au dessus de nous plane les charognards, qui attendent que nous tombions pour mieux venir fondre sur nous pour nous achever. Oh partout où l’on va les charognard sont les mêmes, on les vois, s’approchant de plus en plus près, prêt à utiliser n’importe quelles ruses pour que vous soyez isolés de tout soutient. Puis quand vous commencer à faiblir ils vous achèvent. Mais si vous avez la chance de trouver avant un oasis, alors vous vous reposer, vous profitez pleinement de cette vie stable, vous vous abreuvez à la source du plaisir. Mais il faut toujours économiser, de façon a ce que l’eau reste abondante pour prévenir l’avenir, protéger sa famille.
Puis il y a la montagne de la maturité Nous escaladons les sommets où l’on contemple derrière nous notre passé où l’on se pose les questions du bon choix du chemin. On essais encore de regarder devant. Mais l’ascension est difficile, peu de force, la lassitude. Nous nous faisons doubler par la jeunesse. Mais si on atteint enfin le sommet, l’horizon devant nous est clair, asseyons nous pour nous reposer deux secondes avant de repartir d’un pas plus traînant mais ferme, avec l’assurance de l’homme qui a acquis de l’expérience et de la sagesse.
Puis il y a la forêt de la vieillesse. Qui nous attire en ces lieux sombres mais paisibles. Les jeunes pousses vous laissent de la place mais elles sont à l’passionût quand même. Vous êtes l’arbre le plus immense celui qui a vu, celui qui a vécu, qui a enduré les temps variés, les beaux, ceux plus houleux, les dures réalités. Vous appréciez l’oiseau qui vient se poser, un écureuil qui vient jouer, tout devient un émerveillement, on prend le temps de regarder, et le temps passe nous laissant des rides sur nos écorces. On perd ses feuilles et de sa prestance et devient comme un bois mort, inutile. Faisant partie du paysage, mais que l’on ignore pratiquement. Et puis vient un jour, un jour pas comme les autres, où l’on sombre dans le néant, où l’on est déraciné de la vie. Mais nous ne sommes pas tout à fait mort puisque notre savoir se perpétuera avec la jeunesse
La vie un paysage ?un paysage que nous façonnons certainement mais que le temps façonne aussi pour nous…..
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L'ignorance...
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Publié :3/2/2007 12h05
Dernière mise à jour :12/2/2007 1h34 3314 vues
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dites moi, que vous inspire cette phrase ?
Ne regrette pas d'être ignoré mais d'être ignorant.
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Et si on gagnait au loto
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Publié :31/1/2007 22h57
Dernière mise à jour :6/2/2007 10h51 3431 vues
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Et si on gagnait au loto, mais une forte somme, au loto européen. Une des grosses sommes mises en jeu.
Que ferions nous ? Voici la question que je me suis posée, et cela m’a fait partir dans mes rêves, je m’imaginais:
D’abord je crois que j’arrêterai de travailler Pourquoi pas je me consacrerais exclusivement à ma famille.
Puis je ferais construire la maison de mes rêves avec un atelier qui serait mon endroit secret pour peindre et faire tout ce dont j’ai envie. Bien entendu la lumière y entrerai à flot. J’aurais une maison raisonnable avec suffisamment de chambres pour mes avec chacun sa salle de bain, plus une chambre d’amis, une grande salle à manger pour recevoir tous nos amis, et une cuisine spacieuse où je ferais la cuisine et oui ça je le ferais encore , j’aime bien cuisiner.
Je donnerais de l’argent à mes , mais pas n’importe comment en fait je placerai sur des comptes et ils ne les recevraient qu’une partie de suite ,une autre à 30 ans on ne sait jamais si l’idée leur en prenait d’avoir tout dépensé avant, une autre à 40 ans l’âge supposé de la sagesse, et une autre à 45 ans là où les études des leur coûteraient chères.
J’en donnerais aussi à ma famille et à ma belle famille(bon je serais généreuse même si certains me cassent les pieds) à mes amis cela va de soit.
Puis ensuite on partagerait le restant avec mon mari mais il resterait quand même pas mal si on gagnait dans les plus grosses sommes. Mon mari ferait ce qu’il voudrait de sa part
On voyagerait, en fait quand les seraient élevés on partirait du moins de mai jusqu’une septembre on sillonnerait la France et les autre pays, la soif de connaissances. Mais entrecoupé d’escales chez nous quand même. On aurait deux ordis, eh oui un pour moi un pour mon mari.
La voiture, bof je garderai celle que j’ai elle me convient, et puis je ne suis pas voiture du moment qu’elle roule.
Je ferait un don à ma petite commune, à l’école du coin, aux associations caritatives surtout au restos du cœur et les hospitalisés. Pour que leur parents puissent être auprès d’eux
Puis le reste je le placerais pour vivre des intérêts.
Ce n’est qu’un rêve , mais c’est beau de rêver quand même.
Et vous que feriez vous si vous gagniez au loto ?
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le diablo qui nique l'ange
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Publié :30/1/2007 6h45
Dernière mise à jour :12/2/2007 1h28 3744 vues
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Bon une imitation de diablotange, du moins un essais, je ne suis pas aussi bonne que toi dans ce domaine, ce n’est pas mon style, mais n’y vois aucune méchanceté ni de similitudes avec des faits ayant existés etc...... bises et rions ensemble !!!!!
Hier je planais avec mon cesna 185 monomoteur. J’étais comme un aigle, sans aucune arrogance, j’étais intouchable… nananère.
J’étais à la recherche d’une p’tite blondasse, d’une pofiasse, mais ça ramait sec. De la haut je passais mon temps à scruter la gente féminine à la recherche d’une louloute qui semblait bonne à copuler entre 16 et 50 ans. Mais rien, n’importnawack aurait fait l’affaire, j’avais pas mal de spermatozoïdes à injecter avec ce missile à tête fouineuse que j’avais entre les jambes et je ne voulais pas rester les bras ballants , et la queue à l’air.
A long time, je l’ai apperçue, une Marie Madeleine qui avait l’air très sympa. Et ben ! P’tain ! C’était temps yerk yerk yerk.. Je me suis positionné parrallèle à la binoculaire au sol de façon à atterrir.
Quand je me suis posé et rangé mon matériel je me suis retrouvé nez à nez avec bobonne. Bon elle avait l’air un peu grande ourse mais j’ai osé l’accolade. Je lui ai demandé « tédou , céla première foi que tu viens ? » et nan nan nan….
Après les présentations et après m’être occupé de sa choupinette j’ai voulu un enculage dans sa turbine à chocolat, wouhaaaaaa, les odeurs vagabondaient. Bon je vais y coller. Après avoir écarté les poils, calibre H2B, PAN c’était tipar.
Ah si les termites d’passion me voyaient, ils n’auraient pas voulu être dans la même crèmerie pour le même youplaboum. Sur la tête de ma progéniture je préférais être seul sinon ils se seraient demandés cékoi cette bobonne. Et voilà Ok pour le final. Yerk yerk yerk
Trognon ton p’tit cul lui dis je avant de partir hasta la vistaaaaaaaaaaaa miss
C’est moi le champion yerk yerk yerk
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Sa d
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Publié :28/1/2007 12h57
Dernière mise à jour :3/2/2007 10h43 3614 vues
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Comme une soie qui glisse sur une peau nue, dévoilant de par sa texture le corps ainsi offert, qu‘elle épouse à merveille.
La femme est plongée dans sa pensée, dans le souvenir de lui. Son corps n’est qu’attente de ses caresses, frémissant, mais il ne viendra pas Il ne viendra pas la prendre dans ses bras, il ne viendra pas glisser sa main le long de son ventre qui l’appelle. Il ne viendra pas enlever délicatement cette soie pour venir saisir un de ses seins dans sa bouche gourmande. Pour réveiller ce corps à ses caresses, sous sa main qui devient maîtresse, sous sa bouche qui devient geôlière de son plaisir. Elle ne se cambrera pas dans l’attente frémissante de l’envie, dans le plaisir latent de lui appartenir, de ne former plus qu’un avec lui, de se fonder avec lui , ne former qu’un corps à corps.
Oui mais voilà, il ne viendra pas, ainsi en a-t-elle décidé
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