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Vacances
Publié :25/7/2012 2h43
Dernière mise à jour :28/5/2015 10h33
4623 vues

Mon Maître à pu se libérer; sa femme est partie au Canada chez son . Il a loue avec un autre couple Maître Travesti une petite maison au milieu de nulle part dans les Cévennes. J'ai pris mes habits masculins pour le voyage, mais il m'a bien prévenue : une fois la-bas, c'est " à poil" ou " en ". Me voilà donc avertie. J'ai donc emmené les vêtements adéquats. Le lieu est sublime : vue magnifique; pas de voisins à moins d'un kilomètre, bref l'endroit idéal pour passer 15 jours avec deux esclaves à disposition. L'autre couple est intéressant; lui je le connaissais, mon Maître m'ayant déjà prêtee à lui. Début de la cinquantaine, grand, mince, costaud avec un sexe de belle dimension et surtout, lorsqu'il éjacule une quantité impressionnante de sperme. "Elle" je la vois pour la première fois. Très efféminée, 40 ans environ. C'est une nouvelle conquête et Maître G. Ne la "possède" que depuis quelques mois. "elle" a fait la route en et lorsque je la vois, toute mignonne avec sa mini jupe et ses talons hauts perchés, je ne puis m'empêcher d'espérer que nos deux Maîtres nous forcent à gouiner ensemble. Arabella et moi faisons vite connaissance et je sens intuitivement que nous allons bien nous entendre. Le programme est vite déterminé par nos Maîtres : matin nous faisons ménage et cuisine, après midi détente et visites et en soirée traitement au gré des fantaisies de nos Maîtres. Hier soir donc, premiers traitements. Arabella et moi devons servir le souper entièrement nues. Nos Maîtres s'amusent en nous faisant bander par attouchements précis. Nues, le sexe en érection, nos Maitrs rient de nous voir ainsi puis décident qu'Arabella en tant que nouvelle sera la victime de la soirée avec interdiction de jouir. J'ai droit à un traitement de faveur et Arabella reçoit l'ordre de me sucer jusqu'à jouissance et d'avaler tout. Très passive, je suis un peu gênée d'être ainsi mise dans un rôle actif. Arabella à une langue de feu qui se tourne autour de mon sexe, puis elle m'engouffre au fond de sa gorge, me caressant avec douceur les testicules. Dix minutes de ce traitement et je jouis dans sa bouche avec une force que je ne me connaissais pas. Arabella avale tout et me dit merci. Je n'ai pas l'habitude de ce genre d'accord. Les Maîtres se sont plu dans ce rôle de voyeur qui ne leur ressemble pas mais leur a donné une vigueur exceptionnel et après nous avoir mis à genoux, nous avons reçu leurs assauts respectifs. L'énorme sexe de Maître G. me déchira l'anus mais je mis un point d'honneur à ne pas paraître souffrir; il jouit ensuite dans la bouche d'Arabella une quantité impressionnante de semence. Pour ma part, c' est sur mon visage que je reçus le liquide de mon Maître!
Bon début de vacances...mais voyons ce que sera demain!!!
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Souvenirs
Publié :19/3/2012 10h32
Dernière mise à jour :6/11/2014 8h26
4616 vues

Il ne fait pas beau dehors et je suis seule...l'envie me prend de raconter quelques souvenirs de jeunesse. Je n'étais pas encore travesti " à temps plein", mais j'aimais m'habiller en et me promener ainsi en ville ou à la campagne. Bien maquillée, une perruque brune, mon visage efféminé et l'illusion était parfaite. Un jour, me baladant ainsi près d'un parc, une voiture s'arrêta et deux jeunes commencèrent à me draguer. Ne sachant que faire, je souriais un peu bêtement, me demandant comment j'allais leur échapper. L'un d'eux sortit de la voiture et chercha à m'embrasser. J'étais malgré tout excitée et je lui rendis ses coups de langue. Il me proposa de les suivre dans la voiture mais je refusai disant que je ne voulais pas être la proie de deux mecs. Il fit signe à son copain de partir et m'attira dans un petit bois. J'étais très mal à l'aise; je voulais bien l'embrasser (cela m'excitait...), éventuellement le sucer mais j'avais très peur qu'il ne veuille aller plus loin et qu'il s'aperçoive que j'étais un mâle. À l'époque, l'homophobie était pire qu'aujourd'hui. Des que nous fumes hors de vue, je m'empressai d'ouvrir son pantalon, me disant que je le faisais éjaculer, il n'irait pas plus loin. Les choses ne se passèrent pas comme je le pensais; il repéra la bosse sous ma mini jupe et se mît à me masser.
- Sacrée , si j'avais su que t'etais un mec, j'aurais pas fait autant de manière et on t'aurait baisée toute la nuit à trois ou quatre. Montre ton cul que je te remplisse de foutre.
A l'époque le Sida n'était pas encore très connu et c'est donc sans aucune précaution, ni aucune lubrification qu'il s'introduisait assez sauvagement en moi. Je criai de douleur et cela l'excita très fort. Il me lima pendant quelques minutes, puis je sentis sa semence gicler en moi. Je pleurais de douleur et n'avais vraiment
pas eu de plaisir à ce contact bestial.
- T'as de la chance que je ne t'abandonne pas a poil; files et que je ne te revois pas dans le coin sinon tu passeras à l'abattage et je te ferai baiser par tous les mecs du quartier.
Je ne le fis pas dire deux fois ; j'eus à peine le temps de me rajuster, pris mes talons hauts en main et c'est en pleurant que je rejoignis le Métro le plus proche. Plus jamais je n'ai traîne dans ce coin...
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Souvenirs
Publié :19/3/2012 10h31
Dernière mise à jour :25/4/2024 19h55
4412 vues

Il ne fait pas beau dehors et je suis seule...l'envie me prend de raconter quelques souvenirs de jeunesse. Je n'étais pas encore travesti " à temps plein", mais j'aimais m'habiller en et me promener ainsi en ville ou à la campagne. Bien maquillée, une perruque brune, mon visage efféminé et l'illusion était parfaite. Un jour, me baladant ainsi près d'un parc, une voiture s'arrêta et deux jeunes commencèrent à me draguer. Ne sachant que faire, je souriais un peu bêtement, me demandant comment j'allais leur échapper. L'un d'eux sortit de la voiture et chercha à m'embrasser. J'étais malgré tout excitée et je lui rendis ses coups de langue. Il me proposa de les suivre dans la voiture mais je refusai disant que je ne voulais pas être la proie de deux mecs. Il fit signe à son copain de partir et m'attira dans un petit bois. J'étais très mal à l'aise; je voulais bien l'embrasser (cela m'excitait...), éventuellement le sucer mais j'avais très peur qu'il ne veuille aller plus loin et qu'il s'aperçoive que j'étais un mâle. À l'époque, l'homophobie était pire qu'aujourd'hui. Des que nous fumes hors de vue, je m'empressai d'ouvrir son pantalon, me disant que je le faisais éjaculer, il n'irait pas plus loin. Les choses ne se passèrent pas comme je le pensais; il repéra la bosse sous ma mini jupe et se mît à me masser.
- Sacrée , si j'avais su que t'etais un mec, j'aurais pas fait autant de manière et on t'aurait baisée toute la nuit à trois ou quatre. Montre ton cul que je te remplisse de foutre.
A l'époque le Sida n'était pas encore très connu et c'est donc sans aucune précaution, ni aucune lubrification qu'il s'introduisait assez sauvagement en moi. Je criai de douleur et cela l'excita très fort. Il me lima pendant quelques minutes, puis je sentis sa semence gicler en moi. Je pleurais de douleur et n'avais vraiment
pas eu de plaisir à ce contact bestial.
- T'as de la chance que je ne t'abandonne pas a poil; files et que je ne te revois pas dans le coin sinon tu passeras à l'abattage et je te ferai baiser par tous les mecs du quartier.
Je ne le fis pas dire deux fois ; j'eus à peine le temps de me rajuster, pris mes talons hauts en main et c'est en pleurant que je rejoignis le Métro le plus proche. Plus jamais je n'ai traîne dans ce coin...
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Renouveau
Publié :19/3/2012 4h11
Dernière mise à jour :18/4/2013 12h53
4718 vues

L'annee 2011 fut une catastrophe pour moi. Mon Maître m' à répudiée, me préférant une petite frappe de 25 ans. Être un travesti seul n'est pas facile a vivre surtout au delà de 40 ans. Dans les clubs, on ne sait pas sur qui on tombe, répondre à des annonces est aléatoire car la plupart du temps on tombe sur des obsédé qui ne pensent qu' à baiser un soir, quand à draguer seule, c'est vraiment dangereux.
J'ai répondu à plein d'annonces, souvent sans suite, quand enfin, début janvier...miracle...quelque chose qui me semblait sérieux. Un homme, début de la soixantaine, veuf et grand amateur de BDSM. Peu d'expérience avec des travestis, mais intéresse par cette nouvelle expérience. Afin de faire connaissance, il m'invite au resto, me recommandant de m'habiller en homme. L'entretien dépasse bien : c'est un homme cultive, très bien conserve pour son âge et très autoritaire. Il est frappé par ma soumission et l'ordonne de venir chez lui le lendemain, en sexy pour voir ce qu'il peut faire avec moi.
Rentrée vite du boulot, je m'applique à prendre un bain de mousse, à soigner mon épilation, à me maquiller soigneusement et a choisir mes vêtements les plus sexys. Il habite une belle maison isolee à la campagne avec un grand jardin. Le jardin était couvert de neige et il faisait un froid de canard. Je sonne à la porte en me demandant si une fois de plus je ne vais pas tomber sur une aventure d'une nuit...Il me fait enlever mon manteau et l'ordonne de me mettre au milieu du hall, les bras sur la tête. Commence alors une inspection minutieuse de mon corps. Un à un, il enlève mes vêtements et je me retrouve en porte jaretelles, le sexe tendu devant lui. Il me pince les seins, me branle doucement le sexe, introduit un doigt dans mon anus et son examen devant être satisfaisant, il me fait mettre à genoux devant lui et me donne ses instructions.
- Je suis dispose à te prendre comme esclave, mais à mon usage exclusif. Je te ferai un contrat d'esclavage par lequel tu me reconnaitras comme ton seul et unique Maître. De mon côté, je n'aurai pas de relations avec d'autres travestis, mais avec toutes les femmes que je veux. Comme tu vis seule, je pourrai à loisir te fouetter, quitte à laisser des traces puisque tu n'as de comptes à rendre à personne. Tu seras à ma disposition exclusive tous les jours de la semaine à partir de 18h et tous les week-ends. Pour le reste, on verra. Alors ou tu me dis : oui Maître j'accepte ou tu rentres chez toi!
- Oui Maître j'accepte.
- Bien suis moi a quatre pattes.
Descendre ainsi les escaliers ne fut guère facile, mais je me retrouvai dans une grande cave voûtée, encombrée d'une série d'instruments que je n'allais pas tarde à connaître avec précision!
Cette première séance fut une vraie réussite et un vrai délice pour moi et je crois que mon nouveau Maître l'apprécia également. Pour quelqu'un qui n'avait pas l'expérience des travestis, il mania mon sexe, bourra mon anus avec une compétence incroyable. Pour son âge il était d'une verdeur certaine; après une longue séance de flagellation, de torture des seins et de caresses voluptueuses il me sodomisa longuement, éjaculant à remplir le préservatif. Puis il me retravailla le sexe avec des pinces et des cordes, me refouetta longuement avant d'ejaculer une fois encore mais dans ma bouche cette fois.
- tu es une bonne esclave...tu veux jouir toi aussi?
- oh oui Maître, par pitié, autorisez-moi a jouir.
- je n'ai pas souvent suce des hommes, mais je ne considère plus comme tel...tu es une féminisée et je ne veux plus te voir chez moi qu'habillee en .

Il me fit un long massage du sexe, me disant de ne jouir que lorsqu'il me le permettrait. Excitée comme j'étais, je ne pus obéir à cet ordre et vint un moment ou n'en pouvant plus j'explosai entre ses mains divines. Il y avait longtemps que je n'avais plus joui ainsi.
- Pardon Maître, mais je ne pouvais plus résister à vos caresses et merci Maître.
- tu sauras bientôt ce qu'il en coûte de me désobéir. Comme c'est la premiere fois, je te pardonne. Tu es bonne à baiser et je pense que certaines de mes esclaves féminines se feront un plaisir d'oublier quelque temps leur soumission et de te traiter comme une ...ça les changera. Je viendrai chez toi demain voir ta garde-robe et éventuellement te faire une liste de vêtements ou accessoires à acheter.

Ainsi commença ma relation avec Maître T. Depuis deux mois je suis son esclave et je suis une esclave heureuse!

Cynthiaî
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Comblée
Publié :27/1/2011 8h44
Dernière mise à jour :27/9/2013 5h44
4868 vues

Aujourd'hui, je suis pleinement comblée. Mon Maître m'a emmenée dans un Club BDSM et j'ai été exhibée à moitié nue toute la soirée. J'étais attachée à un poteau à côté du Bar et ceux qui passaient ne pouvaient s'empêcher de passer leur main entre mes jambes, de me pincer les tétons ou de branler mon sexe. Ainsi des femmes, des hommes et des TVs ont touché toutes les parties de mon corps. C'était super excitant.Mon maître regardait de loin et semblait satisfait de mes réactions. Au fur et à mesure que le soirée avançait, j'étais de plus en plus excitée et je bandais très fort. Une très jolie Noire s'amusait de voir un homme habillé en et attaché à un poteau. Elle s'est acharné sur moi jusqu'à ce que j'éjacule en couinant. Elle riait du bon tour qu'elle m'avait fait...mais j'étais pleinement heureuse d'autant que mon Maître, excité comme moi m'a fait longuement l'amour lorsque nous sommes rentrés.
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Le marché aux esclaves - suite
Publié :2/12/2010 12h53
Dernière mise à jour :26/8/2013 6h20
4904 vues
Je suis nue, offerte, devant cet inconnu.
- J'ai payé...je fais de toi ce que je veux. Je reçois une paire de gifles et suis entraînée dans une cave voutée d'aspect médiéval. Les poignets solidement attachés à une poutre, les chevilles entravées et écartées par une barre de fer, l'homme me bande les yeux. Je ne vois rien...les bruits m'inquiètent; que me réserve-t-il? Je ne puis m'empêcher de penser avec amertume à mon Maître qui doit être occupé de jouir de la jeune esclave qu'il a acheté pour quelques heures. Cela me rend folle de jalousie. Au milieu de mes cogitations et sans avoir rien entendu, mon ventre est tout-à-coup cinglé par un magistral coup de fouet. Secouée par la surprise, je ne réagis qu'au deuxième coup, aussi violemment appliqué.
- Arrêtez Maître, s'il vous plait...cela fait trop mal.
- Ta gueule, salope...je te dis que j'ai payé pour toi...trop d'ailleurs et j'en veux pour mon argent.
Et la correction continue : mon ventre, mes fesses, mon dos et même mon sexe sont frappés tour à tour. Je dois avoir des marques sur tout le corps.
Il me détache les poignets et me pousse le ventre contre une table ou un établis...les yeux toujours bandés, je ne vois rien.
Ma bouche est ouverte et un sexe mou y pénètre aussitôt.
- Suce-moi correctement...fais-moi bander sinon on recommence le fouet!
Je ne me le fais pas dire deux fois et m'applique à lui donner du plaisir. Je sens son sexe grossir et remplir ma bouche à étouffer.
Puis, après s'être couvert d'un préservatif, il me pénètre avec violence et après une longue séance de baise, il se vide en moi.
Repu, il m'nferme dans une cave où je passe la nuit nue sur la paille.
Comme convenu, mais sans m'avoir permis de me doucher, il me ramène à mon Maître. Je n'ose lui demander comment fut sa nuit avec la belle esclave. En tous cas et malgré mes efforts de séduction, il ne me toucha pas ce jour là, et jamais je ne suis parvenue à connaître les détails de sa nuit.
La jalousie reste ancrée en moi.
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Le march
Publié :16/3/2010 8h28
Dernière mise à jour :23/11/2012 2h32
4893 vues

Vendue comme esclave! Même dans mes fantasmes les plus osés, je n'ai jamais pu imaginer l'aventure que je vivais. Nous participons à un groupe d'amateurs de BDSM qui se réunit une fois par mois dans une ferme proche de la frontière hollandaise et quelques membres ont décidé ce marché aux esclaves. La règle est la suivante : les esclaves sont mis aux enchères et la somme ainsi récoltée sert à acheter du matériel BDSM qui comme tout le monde le sait est fort coûteux. L'acheteur dispose de l'esclave de 22h à 12h le lendemain. Sur la cinquantaine de membres, 6 ont décidé de mettre leur soumise ou leur soumis aux enchères. Quatre femmes, un homme et un travesti très féminin : moi. Le tirage au sort fait que je serai mis en vente le 4ème. Les deux premières sont des femmes, l'une de +/- 30 ans et l'autre ayant dix ans de plus. L'une est nue sur la scène, l'autre vêtue d'une jupe très mini et chaussée de cuissardes noires. Les enchères montent vite et la "vente" s'effectue rapidement. Suit l'homme, jeune encore que sa maîtresse exhibe à quatre pattes et promène comme un . Il est enlevé par un couple. Puis vient mon tour et après quelques tours d'enchères, je suis "achetée" par un homme d'une cinquantaine d'années, un peu ventripotent et que je ne connais pas. L'esclave suivante est une superbe de 20-22 ans, qu'on présente entièrement nue et entièrement épilée. Les enchères montent vite et à ma stupéfaction (et à mon désespoir), c'est mon Maître qui enlève le morceau. Je n'ai plus du tout envie d'être l'esclave d'une nuit; la jalousie m'envahit. Sans avoir le temps de voir mon Maître, je suis emmenée dans la voiture de mon acheteur. Il habite une petite maison à une cinquantaine de kilomètres et il ne m'adresse pas la parole de toute la route.
Arrivée sur place, il m'ordonne : "Déshabille toi : garde tes bas et tes chaussures". J'obéis et me retrouve nue devant lui qui me regarde comme du bétail.

Suite plus tard
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La punition
Publié :8/12/2009 3h32
Dernière mise à jour :10/12/2009 10h15
4847 vues

Nous avions loué pour les vacances une petite maison pas loin de la mer; nous étions trois couples : 2 couples hétéro et nous. Tous adeptes de la relation maître/esclave. La grande passion des hommes était la moto et ils partaient souvent tôt le matin pour revenir en fin d'après-midi. Un jour Agnès, la soumise de Jo et moi étions partis à la plage. Nous avions trouvé une grande plage de sable quasi déserte et nous en profitions pour peaufiner notre bronzage intégral. Puis sans trop bien savoir comment, ni pourquoi, nous avons commencé à nous caresser mutuellement. Et sur cette plage déserte, à l'abri de regards indiscrets, nous avons fait l'amour, doucement, longuement.
Je comptais bien sûr garder ce secret entre Agnès et moi et grande fut ma surprise, lorsque le soir, après le dîner, Agnès est venue s'agenouiller près de son maître et lui a dit que nous avions fait l'amour ensemble et qu'elle avait eu une grande jouissance. Nos maîtres respectifs en restèrent un moment interloqués, puis Jo dit d'un ton sans réplique : "Déshabillez-vous tous les deux; contre le mur les mains au dessus de la tête. Nous dûmes alors subir une séance de fouet fort douloureuse, davantage pour Agnès que pour moi car la pauvre suppliait son Maître d'arrêter. On nous envoya au lit comme des pris en faute et nos Maîtres nous dirent que cette séance de fouet n'était qu'un hors d'oeuvre. Le lendemain soir, nous sommes tous partis en voiture vers un parking d'autoroute où de nombreux routiers attendaient la fin du weeek en d pour reprendre la route. Agnès qu'on avait habillée comme une trainée reçut l'ordre de se prostituer auprès de deux routiers. Elle subit donc l'humuiliation de deux refus avant qu'un chauffeur des pays de l'est ne la prenne dans son truck et n'en fasse sa chose. Après ses deux passes Agnès était en pleurs et rejoignit la voiture.
"Maintenant à toi", dit mon Maître. La voiture pénétra dans une petite route forestière; roula longtemps et s'immobilisa finalement dans un chemin de terre.
"Tu sors et tu te fous à poil; tu gardes juste ton string et tes bottes; tu seras plus sexy pour les sangliers".
On m'attacha à un arbre, le ventre contre le tronc.
"On reviendra demain matin, voir si les sangliers ne t'ont pas transformé définitivement en ".
Et la voiture redémarra.
Seule, attachée à cet arbre, je me dis que je n'avais qu'à attendre le matin pour qu'on vienne me délivrer.
Tout-à-coup, j'entendis un bruit de moteur lointain et des phares troublèrent la nuit. Une voiture passa assez vite et j'étais soulagée de la voir repartir, quand elle freina pile, fit marche arrière et m'éclaira en plein. Deux hommes en sortirent et se dirigèrent vers moi.
"Trouver une nana comme ça en plein bois, quel bol", dit l'un.
L'autre s'approcha de moi et passa sa main entre mes jambes.
"Eh Bob, c'est pas une nana c'est un mec...".
Ils me détachèrent tout en faisanrt des commentaires sur mes fesses encore striées des coups de fouet.
"Il a pas dû être sage..."
"Courbes toi sur le capot de la voiture"
J'obeis, que pouvais-je faire d'autre. Je fus alors transpercée par le sexe de l'un, ma bouche inondée de celui de l'autre, puis ils changèrent de place et finalement vinrent tous deux éjaculer sur mon visage. Je me dis que mon calvaire allait se terminer et que je n'aurais plus qu'à attendre sagement le retour de mon Maître, lorsqu'ils m'empoignèrent et me jetèrent dans le coffre.
Affolée, je ne pouvais rien faire; la voiture démarra et après de longues minutes rejoignit une villa isolée. Je fus sortie nue de la voiture et menée dans une cave sombre. Quelques instants après, une lumière vive m'éclaira et je vis avce étonnement et soulagement mon Maître, Jo, Agnès et les autres qui me regardaient.
"J'espère que la leçon vous sera profitable, dit mon Maître.
Puis il remercia ses copains qui s'étaient servis de moi, soi disant pour me punir....
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L'attente de l'esclave
Publié :12/11/2009 4h28
Dernière mise à jour :19/12/2009 9h39
4827 vues
Presque nu ou nue, je ne sais quelle genre utiliser...Suis-je un homme? Suis-je une femme ou un être hybride. J'ai un pénis d'homme, des seins naissants, des cheveux longs et je me sens femme intensément...mon Maître m'interdit même de porter en sa présence des vêtements masculins...j'utiliserai donc le féminin; presque nue, les bras attachés à une poutre dans cette cave glauque faiblement éclairée par une lampe nue, j'attends...plus d'une heure déjà que dans le froid naissant j'attends le bon vouloir de mon Maître. Peur, curiosité, désir, angoisse, impatience, je ne sais quel est le sentiment qui prédomine. Ce que je sais c'est que j'accepte ma condition d'esclave.
Une porte s'ouvre là-haut; des pas résonnent sur l'escalier. L'approche de mon Maître, l'approche de ce qui m'attend provoque une érection immédiate. Il arrive...il entre, beau comme un dieu dans son pantalon de cuir noir et son tee-shirt moulant. Il esquisse un sourire en voyant mon sexe tendu qui dépasse du minuscule string qui l'enveloppe. Il ne dit rien; cela fait partie de son personnage. Il me toise du regard avant de porter ses mains sur mon corps. Je frissonne dès qu'il me touche le sexe. Une grande envie d'amour m'envahit...j'ai envie qu'il me pénètre violemment, qu'il s'abandonne en moi avec toute sa force et puis qu'il se vide dans mon corps...mais je sais que j'ai encore longtemps à patienter et à souffrir dans la jouissance.
Il prend son temps, me pince douloureusement les seins et y attache des pinces serrantes. Je gémis légèrement sous la pression, sachant bien que la douleur viendra tout à l'heure, lorsque les pinces seront brutalement retirées. Il m'enlève mon string révélant toute mon érection. Afin de me punir de cette incongruïté, il orne mes testicules d'une quinzaine de pinces à linges. PUis il m'en attache aux oreilles et même à la langue. Grotesquement écartelée et revêtue de ce bizarre accoutrement, j'ai honte. Honte d'être ainsi son esclave, son amante, exhibée sans pouvoir esquisser un geste. Mon Maître n'a cure de mes sentiments...et c'est une brûlure lancinante qui secoue tout mon être. Le fouet vient de s'abattre sur mes fesses. Je compte les coups, sachant qu'il ne s'arrêtera pas avant vingt. J'ai les larmes aux yeux, je gémis, je crie...mais je sais qu'il restera insensible. La flagellation terminée, il quitte la pièce me laissant pantelante. Combien de temps est-il parti? Quelques minutes, pas davantage mais quand il revient, les pinces qui ornent mon corps commencent à être très douloureuses. Alors se munissant d'une cravache, il cingle les parties de mon corps pour faire tomber les pinces. La douleur est forte, mais le plaisir n'est pas loin. Cette fois, je pleure sans aucune retenue. Puis d'un coup, c'est le bonheur...mon Maître me détache et me fait mettre à quatre pattes. Je sens une main qui s'insinue entre mes fesses et qui lubrifie mon anus d'un gel puissant. Puis brusquement je sens son sexe qui s'arrête un instant à l'entrée de mes entrailles avant de s'y introduire sans ménagement. Le va et vient s'accentue...il me défonce littéralement. Quel bonheur nous avons eu de nous promettre solennelement fidélité après un test HIV. Il n'a pas besoin de préservatif et c'est sa semence qui se répand en moi. Je suis au bord de l'orgasme, mais je sais que je ne puis jouir sans la permission de mon Maître. Il se met à me caresser avec douceur et tendresse jusqu'à ce qu'enfin, j'explose dans ses mains en hurlant mon plaisir. Décidemment, j'aime mon Maître. Etre esclave est un choix...la douleur est un plaisir...la jouissance une souffrance.
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Du Travesti
Publié :10/11/2009 2h05
Dernière mise à jour :26/8/2013 6h20
4928 vues

Ayant depuis plusieurs moi des relations suivies avec mon compagnon G., celui-ci alla chercher, un week end de très mauvais temps, quelques cassettes vidéos (c'était avant les DVD). Une cassette de "She Males" m'émoustilla un peu, une autre me laissa indifférente, mais la troisième me troubla énormément. Il s'agissait d'une assez jolie d'ailleurs que son amant décidait d'initier au SM. Exhibition, bondage, fouet, pinces...la totale. G. s'aperçut vite que j'éytais profondément troublé et que ces scènes provoquaient chez moi une érection formidable.
- Tiens, me dit-il, tu serais intéressé par le BDSM?
Je ne connaissais pas encore le terme, mais il m'expliqua de quoi il s'agissait. Bien qu'unpeu réticent, j'étais très curieux de ce genre de pratique et je lui répondis un peu évasivement : -- Pourquoi pas?
- Bien, on en reparlera.
A quelques temps de là, il me téléphone un soir et me dit :
- Tu te mets tout de suite en petite tenue sexy, tu prends un bandeau et quand je sonne, tu te mets le bandeau sur les yeux, tu te mets à genoux devant la porte et tu attends...j'exige que tu fasses exactement ce que je demanderai.
Et aussitôt, il coupa.
Assez excitée, je me hâtai d'obéir à ses ordres. Je mis donc mes beaux bas rouges, mes bottes noires à talons aiguilles, un tout petit string noir et un soutien assorti.
A peine habillée, si on peut appeler cela habillée, on sonne.
Je m'exécute, mets le bandeau sur les yeux, entrebaille la porte et me met à genoux devant celle-ci.
L'ascenseur s'arrête à l'étage et tout-à-coup la panique m'envahit. G. n'était pas seul... J'entendis les pas sur le palier, et la porte s'ouvrit. Impossible de savoir qui était là; Etait-ce seulement mon compagnon? Je n'osais pas bouger lorsque des mains se mirent à parcourir mon corps. "On" pinçait cruellement mes tétons, "on" massait mes testicules et "on" branlait mon sexe. Avoir plusieurs mains qui vous agressent de différents côtés procurent un sentiment d'impuissance et d'acceptation. Une voix que je reconnus avec soulagement être celle de G. me dit : "Ouvre ta bouche"; et aussitôt un sexe l'envahit. Je l'engloutis au fond de ma gorge et memit à le sucer avidement. Puis un autre sexe s'infiltra entre mes jambes et bientôt me défonça l'anus. Quelle sensation : prise des deux côtés à la fois. Je haletais de plaisir et aussi sans doute d'humiliation. Brutalement les deux sexes se retirèrent et firent place à une sensation assez désagréable à premier abord : mes fesses étaient cinglées de coups de ceinture...puis ce fut mon entre-jambes et bientôt mon sexe lui-même. Des pinces furent fixés à mes tétons et pendant que l'un de mes tortionnaires continuait ses coups de ceinture, l'autre vint se planter devant moi, força ma bouche et la remplit d'une bonne quantité de sperme.
- Alors salope, tu aimes cela hein, me dit G.; nettoies avec ta langue le sexe de mon copain et que ce soit clean.
Je m'exécutai...puis j'entendis G. qui disait : "Bon allez, salut, à la prochaine" et la porte s'ouvrit et se referma. Je n'ai jamais su qui était le deuxième personnage mais G. me dit qu'il était satisfait de moi et que vu mes réactions, il pensait faire de moi une bonne esclave. Il précisa que nous allions en reparler et qu'il allait préparer un "contrat d'esclave" afin que je sache à quoi m'attendre, puis qu'il allait commencer mon dressage qui risquait de durer longtemps.
Etais-je d'accord? Des sentiments contradictoires m'envahissaient.
Bien sûr, j'avais apprécié le scénario, mais aimerais-je cela suffissament pour en faire le quotidien? Je demandai donc réflexion mais laissai G. préparer son contrat.
Nous en reparlerons.
Cynthia
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De l'homosexualit
Publié :9/11/2009 8h16
Dernière mise à jour :25/4/2024 19h55
4819 vues

J'ai eu mes premières expériences homosexuelles il y a une quinzaine d'années. Puis mon mariage a éclaté et j'ai recherché du côté homosexuel ma nouvelle vie. Après quelques années de papillonnage, j'ai rencontré G. C'était un bel homme début de la quarantaine, sûr de lui et dominant. C'est rapidement devenu mon compagnon attitré. Nous n'habitions pas ensemble, mais nous nous voyions 2 à 3 fois par semaine. J'étais l'élément féminin du couple et il me donnait bien du plaisir. Un jour, il m'a dit qu'au fond, il aimait bien les femmes et m'a proposé pour agrémenter nos rencontres que je porte de la lingerie féminine. Il m'apporta donc bas, porte-jaretelles, petites culottes affriolantes et soutien-gorge, le tout bien sûr à ma taille car je fais près de 1m80. Il s'amusait à me voir évoluer dans l'appartement dans ces tenues et j'avoue qu'au début j'en éprouvais un peu de honte. Il m'emmena avec lui dans un magasin spécialisé et nous en sommes sortis avec une garde-robe complète et des chaussures adéquates.
- Voilà, me dit-il, je ne veux plus jamais te voir en habit d'hommes mais désormais tu seras ma petite .
Il m'emmena alors chez une dame qui m'appris tous les secrets du maquillage et en attendant que mes cheveux ne poussent, m'acheta une superbe perruque.
Sans doute aurais-je dû réagir et ne pas accepter d'être féminisé de la sorte, mais sans doute inconsciemment y trouvais-je beaucoup de plaisir.
Nos premières sorties me firent littéralement paniquer. Se retrouver en rue ou dans un établissement, même spécialisé, vêtu en femme, fut assez long à accepter....mais, je voulais conserver l'amour de G. et j'acceptai tout ce qu'il exigeait de moi. D'autres hommes me firent la cour, car tout compte fait, je ne suis pas mal en femme, mes faux seins faisant illusion.
Le jour, au boulot, personne ne se doutait de quoi que ce soit, mais dès 18h, je redevenais la soumise qui plaisait tant à G.
Cynthia
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BDSM et TV
Publié :27/10/2009 12h44
Dernière mise à jour :5/3/2010 12h27
4936 vues

J'ai définitivement opté pour le travestisme. Me sentir femme au travers de mes vêtements et attributs féminins me donnent une sentation jamais ressentie auparavant. Mais voilà : je me sens soumise et même davantage. Etre l'objet féminisé d'un Maître implacable...tel était mon fantasme. J'ai fini par le découvrir au hasard d'une rencontre et je suis devenue volontairement "sa chose". Tendre un jour, cruel le lendemain, il fait de moi son jouet. Longues séances de fouets, de torture des seins ou du sexe, d'humiliations diverses ou même de prêt à d'autres hommes et puis le lendemain, tendresse, amour et douceur...quel contraste, mais aussi quelle excitation de ne pas savoir le matin ce que sera la journée ou la nuit. Je ne cèderais ma place pour rien au monde. Mon Maître, faites de moi ce qui'il vous plaît...je suis votre esclave.
Cynthia
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